SYNOPSIS : l'histoire du vaccin a commencé il y a près de deux siècles. Depuis les premiers essais jusqu'au 21ème siècle où le vaccin est devenu incontournable et/ou obligatoire, de nombreux scandales ont ébranlé les postulats sur le système immunitaire. Ce livre fait la somme de nombres études et articles pour nous démontrer que peut être les vaccins nous font plus de mal que de bien.
CE LIVRE EST FORT INTERESSANT, et bien documenté. La démonstration est magistrale, et sa lecture laisse un goût aigre… le lobbying pharmaceutique est sans doute en train de rendre malade l'humanité, qui de bonne foi, se laisse vacciner, « antibiotiser », « pilluler »….
5/5
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Il est important de considérer que les microbes ne sont pas nos ennemis, la plupart sont endogènes, c’est-à-dire qu’ils sont présents naturellement dans l’organisme, et participent au maintien de la vie. Il existe davantage de bactéries dans nos intestins que de cellules dans notre corps et sans ces bactéries, nous ne pourrions pas vivre. Ces constituants cellulaires ne sont pas des « agresseurs venus d’ailleurs » et ne cherchent pas à nous attaquer, ils veulent seulement vivre et ne deviennent dangereux par leur prolifération que lorsque notre organisme est en rupture d’équilibre.
On peut comparer le système immunitaire à un clavier de piano, on pourrait aussi le comparer à une armée qui se met en marche aussitôt qu’un agresseur apparaît à l’horizon. L’immunité se construit peu à peu, au cours des années, au fur et à mesure qu’elle rencontre des « ennemis », microbes, bactéries et virus des maladies infantiles, ou de simples agressions psychologiques. Ces ennemis sont appelés « antigènes » et les armes de l’immunité sont nommées « anticorps ». Chaque antigène donne lieu à la fabrication d’anticorps qui lui sont spécifiques. Une fois que le système immunitaire a produit un type d’anticorps, il le garde en stock au cas où l’antigène se représente.
On s’immisce dans les rapports naturels du système immunitaire avec des virus alors qu’il est parfaitement capable de s’en débarrasser tout seul la plupart du temps, et qu’on remplace une souche par d’autres souches à haut risque cancérigène, ce qui favorise les lésions précancéreuses et les cancers du col de l’utérus. C’est ainsi qu’on risque d’obtenir l’effet inverse de ce qu’on souhaite.
C’est ainsi que non seulement les mensonges perdurent, mais qu’ils grossissent et se multiplient au fur et à mesure qu’ils sont repris. Des multitudes de mensonges répétés à l’envi sont devenus des dogmes qui déclenchent des crises d’hystérie dès lors qu’on ose les remettre en cause.
Le tétanos ne menace aucun enfant né d’une mère en bonne santé, dans un pays où l’hygiène n’est pas remise en cause. La maladie n’est pas contagieuse, elle ne se transmet donc pas par contact d’individu à individu, et, contrairement aux autres maladies infantiles, elle n’est pas immunisante.
Le danger des OGM - Sylvie Simon