Bien sûr, je l'ai lu à cause des "Tontons flingueurs" mais après quelques similarités au début de l'histoire, "
Grisbi or not grisbi" reste un livre de série noire, une histoire de malfrats racontée avec l'argot des caves. Je n'ai pas trouvé un charme extravagant à la verve d'
Albert Simonin qui ne met en scène ici qu'une histoire assez glauque de règlements de compte. D'accord, c'est la peinture d'une époque et d'un milieu mais les personnages féminins se résument à des putes et anciennes putes, dociles ou vénales. C'est pas vraiment du machisme au second degré et, au bout du compte, ça n'a vraiment plus beaucoup d'intérêt. Peut-être trop daté ...
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