La dernière conquête du major Pettigrew

C'est sur les conseils de mon groupe de lecture que j'ai choisi cette oeuvre.
Quelle déception. Il ne suffit pas de participer à un atelier d'écriture à l'américaine pour faire de la bonne littérature.
Le récit est embrouillé, la pseudo originalité des personnages discutable.
Où est l'humour annoncé ? S'ajoutent quelques lourdeurs de traduction
qui obsurcissent le texte, en particulier la scène finale dramatique sur la falaise
que j'ai eu beaucoup de mal à imaginer.
Trêve de commentaires ; je ne veux pas aggraver mon propos.

Je ne sais pas que penser de ma lecture. J'ai été jusqu'au bout. Mais j'ai trouvé le livre trop long. Je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages. Vers la fin, je sautais des paragraphes.

Je ne sais pas comment est l'ouvrage en anglais, mais avec la traduction française, j'ai eu besoin d'un dictionnaire pour certains mots...et pourtant, je pense avoir un bon niveau de vocabulaire.

Bref...je suis déçue.

Le major Pettigrew vient d'apprendre la mort de son frère par un coup de téléphone de sa belle-soeur. Un coup de sonnette, il ouvre sans réfléchir. Il s'agit de Madame Ali, l'épicière du village, qui vient lui apporter son journal – le petit vendeur est malade ! - Très confus et complètement perdu, il se confie à Madame Ali. Cette amitié soudaine va se transformer petit à petit en amour. Pas si simple dans ce petit village de la campagne anglaise où règnent les préjugés, le racisme …
Une histoire toute simple au parfum épicé de tasse de thé.

Déçue par ce roman dont on m'avait pourtant fait les louanges.
Il ne m'a pas paru crédible et s'est vite montré lassant....

Après les nombreuses critiques dithyrambiques, j'ai un peu de mal à avouer
avoir eu des moments de lassitude due à certaines longueurs dans le récit ... et cela, tout en reconnaissant tomber sous le charme de ce Major "so British" et "old fashioned".

le major Pettigrew, noblme représentant des valeurs anglaises un rien surannées, fait la rencontre de l'épicière d'origine pakistanaise de son village. Contre toute attente, ils vont sympathiser, et plus si affinités. Mais la major va avoir rapidement des difficultés à gérer son attirance pour la dame et les commérages des villageoises bien pensantes, et des membres de son club de golf. de même son fils, une sorte de requin de la finance, accepte mal de voir son père courtiser une immigrée. Un livre sympa, plein de gentilles pensées et de tendresse . on sourit devant les contradictions du major, et devant sa maladresse respectueuse et galante. Ceci dit, il y a des longueurs, avec l'impression que dans la première partie du roman il ne se passe pas grand'chose : même s'il est normal que l'intrigue s'installe doucement pour qu'on aie le temps de nous décrire le tableau, il y a un moment où les mondanités traînent en longueur. en fin de roman au contraire, tout se précipite, ce qui est sympathique mais décousu. A part cela, cela reste une lecture sympa et une belle histoire sur le choc culturel