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Ils ont fait l'Histoire tome 5 sur 40
EAN : 9782331013249
63 pages
Glénat (08/10/2014)
3.79/5   38 notes
Résumé :
"L'imagination gouverne le monde." Le petit caporal, l'Ogre Corse, L'usurpateur... bien des noms ont servi à désigner Napoléon Bonaparte, pour le fustiger comme pour lui rendre hommage. Aujourd'hui encore, sa personne et l'impact de son règne font débat. Mais tous s'accordent pour dire que la marque qu'il a laissée sur son époque et sur les générations futures est prégnante.

Napoléon est sans aucun doute l'archétype du grand homme ayant bouleversé le ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (18) Voir plus Ajouter une critique
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Ce nouveau tome de la série « Ils ont fait l'histoire », collection de bandes dessinées prenant la forme de biographies historiques à dimension pédagogique, à destination du grand public, et qui espère vraiment que le public scolaire se prêtera au jeu, est consacré au petit caporal qui faillit devenir le maître de l'Europe et du monde : Napoléon Bonarparte !
J'avais pensé que la série avait trouvé son rythme de croisière mainstream, et après un bon Gengis Khan, paf un très bon Napoléon Bonaparte… C'est cool !

Et bien, vous savez quoi ? C'est meilleure bande dessinée sur l'époque napoléonienne que j'ai lue (mis à part peut-être le survival horrifique de Zhang Xioyu dans "Les Chroniques de légion") !
L'enfant de Corse, l'élève de Brienne, le brillant tacticien, l'incroyable meneur d'hommes, l'impitoyable animal politique, l'amant passionné voire romantique, le dirigeant visionnaire habité par un destin… Tout est là dans l'entremêlement des joutes amoureuses, politiques et militaires…
Ce biopic en bande dessinée est découpé en 3 parties, et la partie présente couvre les événements qui courent du siège de Toulon au coup d'Etat du 18 Brumaire de l'An VIII. Il est donc largement consacré à la campagne d'Italie et à la campagne d'Egypte…
La narration de Noël Simsolo est plus ambitieuse que ne l'aurai cru de prime abord car l'histoire de Bonaparte est largement contée au travers des yeux de ceux qui l'ont côtoyé : Barras, Carnot et Talleyrand, Junot, Bourrienne et Murrat, Masséna et Augereau, Bernadotte et Klébert, Monge et Berthelet, Joséphine Beauharnais évidemment mais l'Amiral Nelson également… C'est toute une comédie humaine qui s'amine autour de la légende napoléonienne en gestation ! (Et les auteurs nous indiquent qu'il faudra bien surveiller dans la suite du triptyque 3 personnages clés : Bernadotte, Murat et Talleyrand.)
Si une bonne connaissance préalable de l'Histoire de Napoléon est peut-être nécessaire pour une lecture approfondie de cette bande dessinée et pour profiter de toute ses finesses, force est de reconnaître que c'est suffisamment bien construit et bien raconté pour que tout le monde puisse la découvrir ou la redécouvrir avec un récit qui progresse de scènes en scènes, d'événements en événements.

J'ai vraiment été séduit par les graphismes du dessinateur italien Fabrizio Fiorentino (décidément le réservoir de bons dessinateurs italiens semble sans fin !). le charadesign est soigné : les personnages sont tous immédiatement reconnaissables tellement on s'est inspiré des portraits d'époque, et mine de rien ils sont bien caractérisés car ils disposent tous d'une belle palette d'émotions, à commencer par notre ambigu et ambivalent officier corse :
- Est-il cet homme de principes, en délicatesse avec une figure paternelle qui est passé de la résistance à la collaboration (élément joliment développé en analepse), qui défend l'indépendance de la Corse par rapport à la France avant de défendre l'indépendance de la France républicaine face à l'Europe monarchique en ralliant les idéaux et les discours de la Révolution ?
- Est-il ce vil manipulateur prêt à tout et au reste et qui ne croit à rien sinon à son propre destin ?
La trajectoire Napoléon Bonaparte semble étrangement suivre celle de Jules César (logique avec des Français qui se prennent pour des Romains, nous diraient nos bons amis d'outre-manche… ^^) :
- Napoléon en était-il conscient ? En a-t-il joué ? C'est fort possible…
- Les auteurs en étaient-ils conscient ? En ont-ils joué ? C'est fort probable…
Mais visuellement, ce que j'ai le plus kiffé c'est la manière de condenser le récit en utilisant les scènes de batailles en lieu et place des inéluctables et traditionnelles ellipses… Et quelles scènes de bataille, le trait d'union parfait entre les tableaux de maître dédiés à la chose militaire et la fluidité et le dynamisme des graphismes modernes ! Et pas ou peu de phylactères pour en profiter au maximum : on savoure des scènes de combats âpres, violentes et sans concession… (tout cela m'a rappelé au bon du survival napoléon du réalisateur Daniel Benmayor : "Bruc")

Pour ne rien gâcher, l'historien Jean Tulard, spécialiste du sujet qui est passé par la Sorbonne, l'Institut d'études politiques de Paris et l'Académie des sciences morales et politiques, supervise le tout et nous livre un dossier et un making-off passionnants autant pour le grand public que pour l'amateur d'histoire.
J'ai vraiment hâte de voir comment les auteurs vont mettre en scène les autres moments forts de l'épopée napoléonienne !!!
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Voilà une superbe bande dessinée pour parler de Napoléon. Ce premier tome traite de la période 1793-1799. le récit est intéressant, et les dessins fort beaux. J'ai découvert avec plaisir cette collection de qualité. Un dossier historique en fin d'ouvrage, avec chronologie et bibliographie permet de préciser les connaissances. C'est un bon ouvrage, qui a sa place aussi bien dans les bibliothèques que dans les collèges et lycées.
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Est-il encore besoin d'éditer une énième bande dessinée consacrée à Napoléon ?

Certes l'offre est déjà abondante, mais tous les albums ne peuvent s'enorgueillir de la collaboration de Jean Tulard, le plus grand spécialiste de la question. Qui plus est, nous voici avec la première partie d'une trilogie qui s'annonce sous les meilleurs auspices.

Jean Tulard est connu pour écrire des travaux universitaires qui rompent avec la monotonie des écrits scientifiques. Nous retrouvons cet esprit ici avec un découpage habile. Nous allons rencontrer Napoléon Bonaparte au siège de Toulon avant de le laisser rentrer de l'expédition d'Égypte. Entre temps, nous découvrons son parcours de jeune adulte, sa formation avant de revenir sur son parcours révolutionnaire.

L'album est surtout orienté vers les scènes de batailles, celles-ci tiennent une place très privilégiée même si d'autres thèmes sont évoqués (notamment l'aspect politique). Il ne faudra donc pas s'attendre à une biographie intimiste, malgré quelques événements personnels disséminés ici ou là. L'album s'appuie par ailleurs sur des tableaux de la geste napoléonienne et s'en inspire. le résultat est fantastique !

Tout cela se laisse lire avec grand plaisir. le texte est abondant, dense et riche. Les moins calés sur la période auront sans doute un peu de mal à entrer dans le bain, mais les explications viendront au fil du récit. C'est d'ailleurs ce type d'album que l'on pourra lire et relire avec grand plaisir et à plusieurs reprises. Assurément, il s'agit d'un bel outil pédagogique, renforcé par des explications historiques et des commentaires sur les choix qui ont été faits.

Les dessins sont de toute beauté, même si par moments, des traits perfectibles peuvent être repérés. Ces imperfections ne gâchent pas le plaisir, car planche après planche nous avons l'impression de découvrir dans chaque case, autant de tableaux de maîtres. Quelle beauté ! Et avec cela, l'on nous offre une mise en page dynamique ! Bravo !

Tout est dit, voici un album exceptionnel qui donne envie de lire la suite et d'en apprendre davantage sur la période. A diffuser largement autour de soi tout en recommandant aux personnes qui sont moins à l'aise avec cette période de faire quelques petits efforts. Ceux-ci seront récompensés.
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Une biographie de Napoléon, avec Jean Tulard grand historien spécialiste du premier empire et Fiorentino au dessin ça ne se refuse pas surtout que c'est un triptyque ce qui va permettre de rentrer (un peu plus) dans les détails et effectivement ce premier tome démarre fort.

Le « scénario » est connu donc pas la peine d'y revenir, d'autres s'en chargent magnifiquement bien, les dessins sont très beaux et surtout on reconnaît bien les personnages, ce qui n'est pas si courant que cela en bd.

Au final, j'ai passé un moment de qualité et toujours ce petit cahier en fin d'ouvrage avec un dossier historique et un « making of » ou les auteurs reviennent sur leurs méthodes de travail. Ce dossier de 6 pages est comme à chaque fois richement illustré et documenté.
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La meilleure BD sur Napoléon, selon Alfaric ? Si vous êtes morose ou déprimé, je confirme ! Lisez alors cet album et vous serez écroulé de rire de la première à la dernière page !
La couverture elle-même annonce déjà la couleur, avec 3 questions essentielles :

1) Comment Napoléon fait-il pour glisser son sabre bien recourbé dans son fourreau presque droit ?
2) Que fait derrière Napoléon ce soldat muni d'une espèce de jouet en bois sculpté en guise de fusil ? Sans parler de la longueur de ses jambes !
3) D'où sortent ces uniformes de carnaval ? de plus, pas de baudrier (sauf un), pas de giberne, pas de fourreau pour le sabre ou la baïonnette !

Et ça continue à l'intérieur de l'album, avec toujours autant de questions.

En vrac : Page 5 : c'est le pont de Ponte Novu, ça ? Allez voir sur place et vous verrez un ancien pont de pierres (même en ruines, ça crève les yeux).
P. 6 case 1 : " Je suis reçu à l'école militaire de Paris à 16 ans ". Ah bon ? Né en 1769, il avait 16 ans en 1784 ? Sans compter que le dessin montre l'école militaire de Brienne, et non celle de Paris !
Allez donc voir au bout du Champ de Mars à quoi elle ressemble !

case 3 : " Un an plus tard je découvre mes autres soeurs ". En 1786, donc. Dans cette case, on voit deux jeunes filles d'au moins 16-17 ans, alors qu'en 1786, les soeurs de Napoléon avaient respectivement 9, 6 et 4 ans. Leurs dates de naissance sont d'ailleurs précisées à la fin de l'album : 1777, 1780 et 1782.
case 5 : " J'apprends mon métier d'artilleur ". On lui apprend à tirer au canon SEUL ? Alors qu'il devait y avoir 11 servants et 2 canonniers pour chaque pièce d'artillerie ?
P. 7 case 2 : " La Corse (...) fait partie intégrante de l'Empire français ". La France était un empire en 1789 ? Dernière nouvelle !
P. 9 case 4 : il reçoit un coup de lance à la cuisse droite ? Tous les biographes parlent de la gauche (Madelin, Castelot, Job dans ses dessins, etc.).
P. 11 : Toute une planche sur le Fort-Carré d'Antibes...alors qu'il n'y fut jamais enfermé ! Il était aux arrêts de rigueur à Nice, chez son hôte, le Comte de Laurenti, qui était intervenu en sa faveur. Deux gendarmes gardaient la porte de sa chambre. Affirmation certifiée dans le journal inédit de J. Laurenti, cité dans la Revue des Deux-Mondes, le 15 novembre 1940.

Nous n'en sommes qu'à la page 11 et les grosses boulettes s'accumulent ! Tout l'album est parsemé d'uniformes plus grand-guignolesques les uns que les autres. Pour les armes, c'est également du grand n'importe quoi (exemple : les gros plans de fusils aux pages 21 et 40. Questions : comment fait-on pour placer ou enlever la baïonnette avec ce renfort en relief au bout du canon ? Où se trouve le système de mise à feu (chien, porte-silex, etc.) ? Et la tige servant à tasser la poudre ? Et la forme des canons (pp. 6, 14, 26, 33) d'où sort-elle sinon de l'imagination du dessinateur ?
On voit un peu partout des canons tirant avec un seul ou deux servants (pp.23, 26) voire carrément des canons automatiques, tirant seuls (pp. 39, 42), des erreurs de perspective monumentales (exemples : le carrelage aux pages 24 et 25, par rapport aux meubles, aux colonnes, à la cheminée. La case 1 de la page 29, avec une ligne d'horizon deux mètres derrière les murs), des décors fantaisistes, comme le pont d'Arcole, entièrement en bois
(p. 26) alors qu'il s'agissait de piliers de pierres avec juste un tablier en bois (on le voit d'ailleurs distinctement sur le document à la 1ère page du making of, à la fin de l'album), des cadres qui changent de format (cases 1 et 7 de la page 29), un lustre tout droit sorti du Moyen-Age (page 30 case 1), etc., etc..
le summum du ridicule est atteint à la page 33, où l'on peut voir, à la case 2, un soldat poussant SEUL ET SANS LE MOINDRE EFFORT un canon ET son train d'artillerie sur un plan incliné MONTANT. Costaud, le gars ! Ça doit bien faire dans les 1,5 à 2 tonnes, non ? de même, à la dernière case de la même planche, où l'on voit deux soldats pousser tout aussi facilement un canon sur une pente quasi verticale (encore une grossière erreur de perspective) ! Avec des soldats aussi balèzes, pas étonnant que les armées napoléoniennes balayaient tout sur leur passage !!!!
Que dire alors de ce cheval volant 3 mètres au dessus des soldats à la page 42 ?
A mourir de rire, également, le making of à la fin de l'album, où l'éditeur tente de persuader les lecteurs qu'il n'existe pas ou peu de documents, dans le but de justifier l'absence totale de recherches de ses auteurs, alors que les documents accompagnant ce making of prouvent exactement le contraire (pont d'Arcole, uniforme de Napoléon,...). Lisez plutôt les albums de Torton-Davoz (Casterman), de Osi (Joker) ou de Gil-Richaud (Dupuis) sur le même sujet. Chez ces auteurs-là, malgré quelques petites erreurs inévitables, on sent un vrai, un profond, un sérieux travail de recherche documentaire et historique. Sans compter un dessin autrement plus réaliste !
Alors, malgré quelques cadrages très dynamiques (il faut quand même le reconnaître), libre à Alfaric de trouver cet album et ce dessinateur géniaux, mais pour l'étudiant en Histoire de l'art et archéologie et le passionné de BD historiques que je suis, cet album est plutôt à ranger au rayon des daubes monumentales et grotesques. Jamais on ne me fera avaler qu'une sommité comme Monsieur Tulard a vu ces planches avant publication !
L'éditeur termine son making of par cette phrase : " Les auteurs ont souhaité être rigoureux quant aux faits évoqués ". On ne doit visiblement pas avoir la même notion du mot rigoureux ! J'attribuerai généreusement une étoile (une demi aurait largement suffi...) à cet album, pour le papier et les moments de fous rires qu'il m'a faits passer !
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critiques presse (2)
BulledEncre
14 janvier 2015
Comme le reste de la collection, l’ouvrage est très bien réalisé (bénéficiant notamment du spécialiste Jean Tulard), le dessinateur Fabrizio Fiorentino s’attachant tout particulièrement à respecter les décors et costumes de l’époque. Un dossier complet vient compléter cette lecture.
Lire la critique sur le site : BulledEncre
BDGest
31 octobre 2014
Réussir une bande dessinée requiert d’autres arguments que la justesse du propos. Ici, l’alchimie qui permet de transporter et passionner le lecteur n’est pas au rendez-vous.
Lire la critique sur le site : BDGest
Citations et extraits (28) Voir plus Ajouter une citation
[Mars 1797, route de Trieste.]
- Quand Carnot m’a dit : « Bernadotte, rejoignez Bonaparte avec l’armée de Sambre-et-Meuse », j’ai obéi en bon républicain.
- Mais vous doutez que Bonaparte soit un vrai républicain.
- Il a 26 à 27 ans et veut paraître en avoir 50. Cela ne me dit rien de bon pour la république. Surtout qu’il se comporte en autocrate, en proconsul, ne tient pas compte des ordres qu’il reçoit du Directoire et agit partout en maître.
- Vous qui portez « Mort aux rois » tatoué sur le bras, il a donc tout pour vous déplaire.
- J’ignore s’il a des ambitions de souverain, pour l’instant, il fonde des républiques, pas des royaumes. Et puis c’est un génie sur le plan militaire. Et aussi un chef qui est aimé de ses hommes.
- Mais vous ne l’aimez pas.
- Et c’est réciproque. Cependant, je respecte le chef militaire. Il m’a nommé commandant de la quatrième division qui doit marcher sur Vienne. Alors je lui obéis.
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[Malte, 14 juin 1798]
- Je déclare l’Ordre de Saint-Jean dissous, et ses richesses et ses biens iront dans les caisses de mon armée.
- Vous osez touchez à notre ordre ?
- La République est contre la chevalerie et l’esclavage. Je libère donc les barbaresques que vous teniez aux galères.
[…]
- Les chevaliers étaient furieux de vous voir faire retirer leurs armoiries de l’île.
- Vous savez bien Monge, que sur le plan militaire, Malte occupe une place stratégique de choix. Et il s’y trouve la plus grande imprimerie du monde. Il faudra tenir cette île coûte que coûte.
- Des esclaves libérés pourront nous servir d’interprètes en Egypte.
- J’y compte bien.
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« Soldats, vous êtes nus, mal nourris. Le gouvernement vous doit beaucoup, il ne peut rien vous donner. Votre patience et l’ardeur que vous montrez du haut de ces rochers sont admirables, mais ne vous procure aucune gloire. Aucun éclat ne brille sur vous. Je peux vous conduire dans les plus fertiles plaines du monde. Vous y trouverez honneur, gloire et richesses, soldats d’Italie, manquez-vous de courage ou de constance ? »
- Diable d’homme ! On le suivrait en enfer.
- Pour l’instant, il ne demande que de le suivre en Italie.
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[Plateau de Gizeh, 21 juillet, lever du jour.]
Soldats ! Vous êtes venus dans ces contrées pour les arracher à la barbarie, porter la civilisation dans l’orient, et soustraire cette belle partie du monde au joug de l’Angleterre. Nous allons combattre, songez que du haut de ces pyramides, quarante siècles vous contemplent !
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[Toulon, 1798, veille du départ vers l’Egypte : Murat à Bonaparte]
- Vous avez réuni les principaux généraux de l’armée d’Italie, ainsi que ceux des campagnes d’Allemagne, comme Kléber, mais pourquoi avoir intégré cent soixante-sept savants à l’expédition ? Ils n’étaient que très peu en Italie.
- Cette fois, il faut étudier l’Egypte, Murat. Et ils pourront aussi nous aider grâce à leur science.
- Ces civils nous gêneront dans les batailles à ciel ouvert.
- Je sais comment les protéger.
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