Une fresque d'une densité impressionnante dont l'écriture (1927) et l'intrigue restent pourtant d'une modernité éclatante. La puissance du récit contraste avec la naïveté touchante de Bunny, héros attachant du roman. Édifiant d'un point de vue historique, les 992 pages se dévorent aussi grâce à de nombreux personnages hauts en couleur. A lire pour pouvoir aussi comparer avec l'adaptation ciné « there will be blood » dont Paul Thomas Anderson signe une version décentrée par rapport au personnage principal du livre.
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