AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
EAN : 9782702418765
123 pages
Le Masque (15/03/1989)
3.56/5   18 notes
Résumé :
Certains jouent aux boules ou tapent la belote. Pas lui. Depuis qu'il est à la retraite, l'Albinos dévore des livres, achetés d'occasion chez le bouquiniste du coin : romans policiers, d'espionnage et de temps en temps un ouvrage sérieux, saisi au hasard dans l'étalage. Au hasard ? N'est-ce pas à son intention qu'on a glissé dans un volume ce petit rectangle de carton très menaçant : Je sais que vous avez tué une femme. Ce crime parfait est resté impuni, mais ça pou... >Voir plus
Que lire après Des amis dans la policeVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (6) Voir plus Ajouter une critique
Germain Gouyande surnommé l'Albinos, ancien flic devenu vigile à la retraite, est l'un des plus fidèles clients de Clovis Merouilleux bouquiniste à Gisors.
ll lui achète régulièrement des polars et des pornos qu'il glisse avec en douce.
Parfois, une lubie lui prend de lire un roman un peu plus sérieux.
Justement, son dernier choix tombe sur un Sagan..
dans lequel est glissé à sa surprise un message cartonné qui lui glace le sang : on l'accuse d'un meurtre parfait resté impuni...
Le soir sa femme le retrouve raide mort, terrassé par une crise cardiaque.
Son épouse et Joe un ancien flic ami du défunt
décident de mener leur petite enquête... insensée
mais ne sont pas sorti de l'auberge...Siniesque.

Comme d'hab, j'me régale !
Ce qui est bien avec Siniac, c'est qu'il se renouvelle sans cesse en gardant toujours cette pointe de malice, sa griffe inimitable.
Il se moque des codes du polar qu'il manipule et détricote à sa guise et nous mijote une histoire emberlificotée de sa spécialité :
Là, un bouquin pris au hasard par Germain dans un étal de libraire d'occas', un mot accusateur...d'où vient-il ?
Derrière cette histoire de fou...à délier
Siniac brosse les moeurs pas jolies jolies d'une petite ville de province
des histoires de coucherie, d'apparences trompeuses
de jalousie et de meurtres sanglants..
Le dénouement est pour le moins renversant.
J'en dis pas plus, de toute façon, c'est irracontable.
Des amis dans la police, indispensable !
Commenter  J’apprécie          505
Clovis Mérouilleux tient une librairie d'occasion à Gisors. Dans sa boutique, les livres sont classés par genre. Les classiques et les romans-romans (ceux dont les auteurs passent chez Apostrophe) sont mis en avant dans les premiers bacs. Les casiers suivants contiennent des polars et des romans d'espionnage jaunis et poussiéreux. Les habitués savent retrouver les ouvrages licencieux dissimulés sous de vieux exemplaires du «Petit journal».
Germain Gouyande est un client régulier du bouquiniste. Mérouilleux, qui ignore son nom, le désigne sous le sobriquet de « l'albinos » car il se singularise par ses yeux rouges, sa barbe et ses cheveux blancs. En revanche, dans une petite ville où la plupart des gens se connaissent, ils savent que c'est un ancien policier qui complète sa retraite en travaillant comme vigile. Ce matin-là, l'homme choisit quelques polars, deux pornos et un roman-roman choisi au hasard. C'est un livre de Françoise Sagan au milieu duquel est intercalée une carte au message troublant : « je sais que vous avez tué une femme ». Une missive très désagréable quand, comme Germain Gouyande, vous avez un crime sur la conscience. le soir même, terrassé par une crise, il s'effondre sur la moquette de sa chambre. Aline, sa veuve, requiert l'aide de Jo - un ami et voisin du couple, lui aussi inspecteur à la retraite – pour résoudre ce mystère : pourquoi ce billet accusateur, qui avait des milliers de chances d'atterrir ailleurs, arrive-t-il exactement dans les mains d'un criminel ?
Les premiers chapitres sont un régal de cocasserie franchouillarde. Siniac excelle à dépeindre ces scènes de la vie de province. Mais une fois l'intrigue posée, le récit se dégonfle. Les personnages comme le lecteur se perdent à tenter de résoudre une énigme sans queue ni tête. Quant au dénouement… il surprend mais il n'est pas à la mesure du savoir-faire de l'auteur qui nous a habitué à des mécaniques autrement plus redoutables. Malgré cette petite déception, « des amis dans la police » est plein de passages savoureux. Et cette intrusion dans l'échoppe poussiéreuse d'un bouquiniste est l'occasion pour l'auteur d'adresser des hommages et des clins d'oeil à la littérature, qu'elle soit de mauvais genre ou de haute tenue.
Commenter  J’apprécie          210
On ne présente plus Pierre Siniac ! Bon, si, on doit tout de même le présenter à la plupart des lecteurs, car, bien qu'il écrivît beaucoup et qu'il soit encore beaucoup lu, il demeure dans une solitude et un certain anonymat qui résonne avec sa vie et sa mort…

Pierre Siniac (1928 - 2002), de son vrai nom, Pierre-Mitso Zakariadis, aurait pu être un personnage de ses propres romans.

Solitaire, taiseux, moitié sourd, il vécut avec sa mère jusqu'à la mort de celle-ci, puis seul jusqu'à la sienne.

Ne voyant personne, ne recevant personne, il vivait avec et pour les livres, passant ses journées à taper sur sa machine à écrire.

Seul, il le fut jusqu'à son décès et même bien des jours après puisqu'il ne fut découvert qu'un mois après sa mort quand l'odeur s'échappant de son appartement fut trop forte pour ne pas être remarquée.

Alors qu'il dynamita la « Série Noire » de Gallimard, avec les aventures de Luj Inferman ' et La Cloduque, qu'il fut publié dans la collection « le Masque », qu'il fut adapté à la télévision, et au cinéma, de façon posthume, en 2015, par Jean-Pierre Mocky, mais, surtout, en 1984, par Henry Vernueil, avec « Les Morfalous » mettant en scène Jean-Paul Belmondo, Jacques Villeret, Michel Constantin, Marie Laforêt (avec sa réplique culte quand François Perrot meurt électrocuté en pissant sur un câble électrique dénudé et que Marie Laforêt, dit « C'est bien la première fois qu'il fait des étincelles avec sa bite ! »), Pierre Siniac mourut dans un certain anonymat, même du brocanteur qui acheta une bouchée de pain le contenu de son appartement, dont certains manuscrits.

Bref.

« Des amis dans la police » est un court roman publié en 1989 dans la collection « le Masque ».
L'Albinos, un ancien flic à la retraite travaillant comme gardien de nuit, passionné par la lecture passe régulièrement chez les bouquinistes pour faire le plein. Dans le lot, il prend toujours un roman roman (en opposition aux romans de genre). Ce jour-là, c'est un roman de Françoise Sagan. Quand il l'ouvre, pour le feuilleter un peu plus loin, il découvre entre les pages un carton sur lequel est inscrit « Je sais que vous avez tué une femme. Ce crime parfait est resté impuni, mais ça pourrait changer ».

Le soir, en rentrant, il s'écroule dans sa salle de bain. Mort ! Crise cardiaque. Sa compagne, alors, découvre le mot et imagine que c'est à cause de ce message que son homme est mort. Il portait un terrible secret. Elle a désormais peur pour elle et demande de l'aide à un ami d'enfance de l'Albinos, lui aussi ancien policier, d'enquêter pour savoir qui a mis ce carton dans ce livre…

Bon, je vais probablement faire plus court pour donner mon avis sur ce livre que pour ma présentation liminaire.

J'ai peu lu Siniac, pas assez, sûrement, et j'ai rarement été convaincu par la plume de l'auteur. La première aventure de Luj Inferman ' et La Cloduque était trop farfelue (ou pas assez) pour moi, du moins, n'étais-je pas entré dans le délire de l'auteur. « La câline inspirée » ne m'avait inspiré qu'un ennui poli, n'étant pas subjugué, loin de là, par l'intrigue.

Ici, c'est un peu des deux. Je trouve, contrairement à d'autres lecteurs, que l'intrigue est d'une grande faiblesse et est le principal défaut du roman.

L'histoire débute par un évènement (que l'on découvre plus tard), difficilement crédible, pour se poursuivre par une succession d'actes tout aussi peu plausibles.

Certes, l'auteur nous livre un rebondissement final qui jette une lumière différente sur toute l'histoire, mais cette révélation (dans laquelle sont compris les fameux évènements) est faite à travers une confession qui, elle aussi, ne semble pas vraisemblable de la part du confesseur.

Et cette histoire, au final assez simple, a été faussement complexifiée grâce à ces artifices qui, selon moi, ne tiennent pas la route.

Pourtant, l'idée de base pouvait donner une belle intrigue avec cette accusation par livre interposé. Savoir qui avait placé ce message-là, comme l'auteur dudit message pouvait deviner quel livre achèterait celui qu'il visait…

Mais non, tout n'est que faux semblant… jusqu'au roman, qui devient faussement intéressant.

Heureusement, celui-ci est suffisamment court pour que la farce ne soit pas trop indigeste. Siniac savait que les plaisanteries les plus courtes…

Alors, suis-je Siniaco sceptique ou bien n'ai-je pas encore trouvé le roman qui me réconciliera avec l'auteur ???

Au final, court, à l'intrigue faussement complexe et difficilement crédible, une lecture qui n'a pas le temps d'être indigeste, mais qui ne laissera pas de trace indélébile de l'auteur dans ma mémoire.
Commenter  J’apprécie          43
Avoir des relations c'est important. Et des amis dans la police encore plus. Surtout si on est la complice d'un assassinat.
Voici un roman dans la grande tradition de Pierre Siniac (1928 – 2002), défenseur de la littérature populaire qui n'hésitait pas à mélanger les deux frères ennemis que sont le polar et le récit d'énigme dans des récits « hénaurmes » mâtinés d'une fantaisie flirtant avec le fantastique et saupoudré d'une bonne louche d'humour. Il fut d'ailleurs publié aussi bien à la Série Noire qu'au Masque et cette livraison malaxe avec bonheur des personnages de polar et une intrigue abracadabrante au point de départ délirant.
Nous sommes dans la petite ville de Gisors, au pied du château-fort. Un ancien inspecteur de police pas vraiment futé, plutôt du genre pistonné, Germain Gouyaude, coule une retraite paisible en compagnie de la beaucoup plus jeune Aline. A temps partiel, l'ex flic, comme beaucoup de ses collègues, exerce le métier de gardien d'usine. Mais Germain, connu dans la ville sous le surnom de l'Albinos, est surtout un passionné de lecture qui fréquente assidument la bouquinerie de Mérouilleux. Il lui achète beaucoup de polars, quelques pornos et aussi, plus rarement, des « romans romans ». Autrement dit, de vrais livres, écrits avec des mots compliqués. Comme le dernier Sagan pris sur un coup de tête, complètement par hasard. Et dans lequel il découvre ce petit mot accusateur : « Je sais que vous avez tué une femme et que ce crime est resté impuni ». Bizarre, non ? Mais Germain n'a guère de temps pour s'interroger puisque, le soir même, il succombe à une crise cardiaque foudroyante. Y aurait-il un impensable lien de causalité ?
Aline, à son tour, découvre l'énigmatique message. Elle pourrait s'en désintéresser ou croire à une plaisanterie d'un goût douteux si, huit ans plus tôt, Germain n'avait pas tué à coup de démonte pneu son ancienne compagne, Colette. Aline a assisté à la scène sans intervenir. Elle a même aidé son homme à découper le cadavre avant de l'enterrer dans leur modeste maison de campagne. Pour tout le monde Colette est partie aux Etats-Unis, comme elle en avait toujours émis le souhait. Bref un crime tout bête, banal. Mais aussi un crime parfait dont personne n'a jamais entendu parler, que personne n'a même soupçonné. Or, aujourd'hui, Aline prend peur. Elle s'imagine déjà victime d'un maitre chanteur, voire tuée par une main vengeresse. A qui se confier sinon au meilleur ami de Germain, l'inspecteur Jo Chalampin, bon flic insignifiant qui vivote depuis des années, trop indifférent à la politique, trop peu enclin à serrer des mains ou à cirer des pompes ? Mais par où commencer, comment entamer cette enquête, à part chez les bouquinistes ?
DES AMIS DANS LA POLICE constitue un court roman (les Anglo-saxons parleraient de « novella » puisqu'il fait 124 pages) enlevé et rythmé. Comme souvent avec Siniac (on se souvient des excellents SOMBRES SOIREES CHEZ MADAME GLAUQUE ou AIME LE MAUDIT), le point de départ est particulièrement intriguant. Jusqu'au dénouement, forcément surprenant, le lecteur baigne dans le mystère, complètement dépassé par l'impossibilité apparente de la situation : seules deux personnes étaient au courant du crime alors comment l'ancien policier peut-il se voir accusé par un message anonyme glissé entre les pages d'un livre acheté par hasard ?
Les explications finales paraitront probablement invraisemblables ou « capilotractées » mais qu'importe, elles tiennent la route (à condition d'enclencher la désormais célèbre suspension d'incrédulité) et, vu le caractère extravagant du problème posé, c'est déjà une vraie gageure d'aboutir à une solution satisfaisante. Et puis ce type de roman d'énigme, proche des crimes impossibles et des mystères en chambres closes, reste essentiellement ludique, un grand jeu où il importe davantage de s'amuser et se laisser surprendre que de chercher à battre en brèche la fragile construction narrative élaborée par l'auteur. Lequel se délecte également de nombreux clins d'oeil, cultivant même l'auto citation en déclarant que certaines élites intellectuelles ne dédaignent pas lire un « Luj Inferman ». En cachette évidemment. Car les bouquins se divisent en catégories, allant de la vraie littérature (aux phrases complexes et aux mots que le lecteur moyen ne peut comprendre) à l'autre, cet indéfini qui comprend le polar, le gore, le fantastique, etc. Sans oublier, tout en bas dans la boue, le roman rose que l'on cache au fond d'un sac. On devine Siniac plus attendri par cette littérature fangeuse que par les Académiciens.
« Chacun à sa place, comme dans la vie. Les gens convenables d'un coté - ici les romans dits littéraires, les choses psychologiques -, le petit peuple dans son coin : là les polars, les espionnages, les science-fiction, les fantastiques, les gores, enfin toute l'armée de la fiction, de l'évasion. Et dans un ghetto très spécial : les malades, les anormaux : les ouvrages licencieux, coquins, pornographiques, obscènes, excitants, louches, à lire sous la douche... »
Pour une soirée divertissante ou un petit trajet, DES AMIS DANS LA POLICE se révèle idéal et se lit en deux heures. A découvrir !

Lien : http://hellrick.over-blog.co..
Commenter  J’apprécie          10
Un polar vraiment à part !
Inracontable si on ne veut rien dévoiler, ce qui est la moindre des choses pour un roman policier.
Pour une fois, je vous servirai donc le résumé !

"Certains jouent aux boules ou tapent la belote. Pas lui. Depuis qu'il est à la retraite, l'Albinos dévore des livres, achetés d'occasion chez le bouquiniste du coin : romans policiers, d'espionnage et de temps en temps un ouvrage sérieux, saisi au hasard dans l'étalage. Au hasard? N'est-ce pas à son intention qu'on a glissé dans un volume ce petit rectangle de carton très menaçant : Je sais que vous avez tué une femme. Ce crime parfait est resté impuni, mais ça pourrait changer ?"

Et oui, Germain ouvre un livre de Sagan cette fois. Mais pourquoi ce petit carton l'impressionne-t-il autant ?
Attention, tout n'est que faux-semblant en ce bas monde.
Et si le dénouement ne vous laisse pas ébahi, c'est que vous aviez déjà lu le roman !!
Le problème serait de vous raconter un peu, à la lumière de ce qu'on apprend à la fin, il me serait difficile d'être suffisamment ambigu pour ne rien dévoiler. L'auteur y parvient, c'est ce qui en fait toute sa force.
Le genre de roman qu'on relit une fois terminé, pour voir toutes les phrases qu'on a mal interprétées ; partant ainsi dans de fausses directions voulues par l'auteur.

Ah, et j'allais oublier : on y parle beaucoup de livres.
Et une ambiance ville de province au siècle dernier, qui fait un peu penser à certains Exbrayat.(seulement par ce côté-là, pas du tout par l'intrigue)
Lien : http://livresjeunessejangeli..
Commenter  J’apprécie          60

Citations et extraits (5) Ajouter une citation
Il y avait là à peu prés quinze cents volumes, de quoi constituer une bibliothèque acceptable. Beaucoup de choix. Du livre fatigué, y compris du presque en lambeaux, vaguement recollé ici ou là. Du plus net. Du pas tout à fait propre mais se tenant bien et pouvant être lu dans le métro ou le train de banlieue sans fuir les gens proches du lecteur. Du taché. Du poussiéreux. Du grisâtre. Du pratiquement neuf - les moins nombreux. De l'ancêtre, éditions du début du siècle ou de la fin du XIXe. Mais chacun à sa place, comme dans la vie. Les gens convenables d'un coté - ici les romans dits littéraires, les choses psychologiques -, le petit peuple dans son coin : là les polars, les espionnages, les science-fiction, les fantastiques, les gores, enfin toute l'armée de la fiction, de l'évasion. Et dans un ghetto très spécial : les malades, les anormaux : les ouvrages licencieux, coquins, pornographiques, obscènes, excitants, louches, à lire sous la douche...
Commenter  J’apprécie          250
Le bouquineux était devant eux, sur le seuil de sa boite à papier. Un grand et gros barbu au ventre proéminent, cul imposant, béret, nez rouge, les oreilles comme des essuie-mains, fabriqué par debout et par une ivrognesse. Il tirait sur une bouffarde culottée comme un brasier de l'inquisition. S'était-il, récupérateur, vautré sur une table à la fin d'un gueuleton ? Son veston gris rat était tout taché de sauce et de pinard. Il ressemblait à un radical-socialiste d'avant-guerre, les meilleurs, comme les poulets et les camemberts.
Commenter  J’apprécie          260
Excuse-moi, mais les manies de flic c'est comme quand on sent des pieds, ça se garde jusqu'au dernier hoquet.
Commenter  J’apprécie          240
Gisors est une petite ville - petite et charmante - habituellement assez animée. Cependant, à cette heure-là, les rues étaient désertes. Même dans le centre et autour du château-fort datant du XIIe siècle. Et malgré les tièdes rayons de soleil de ce début de printemps. La raison en était simple : il allait être midi et c'était un jour sans marché.
Commenter  J’apprécie          51
Mais voyons, Jo, fit Aline. Germain n'aurait quand même pas vendu un livre pour venir le racheter une ou deux semaines plus tard ...
Commenter  J’apprécie          30

Videos de Pierre Siniac (2) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Pierre Siniac
Pièce radiophonique policière proposée par Germaine BEAUMONT et Pierre BILLARD, "Crime sur la nationale 7", d'après le roman de Pierre SIGNAC (alias Pierre SINIAC, "Illégitime défense") adapté par Pierre ROLLAND, réalisée par Pierre BILLARD assisté de Marie Denise WANDA. -
autres livres classés : romans policiers et polarsVoir plus


Lecteurs (27) Voir plus



Quiz Voir plus

Quel est le bon titre des livres de Pierre Siniac ?

… blafardes ?

Maîtresses
Princesses
Femmes
Filles

10 questions
11 lecteurs ont répondu
Thème : Pierre SiniacCréer un quiz sur ce livre

{* *}