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Finlande, 2025. Dans ce futur très proche, Orvo, apiculteur à ses heures, remarque une de ses ruches totalement vide de ses occupants. S'il est préoccupé par ce phénomène, il l'est aussi par les activités de son fils Eero, qui tient un blog sur le thème de la cause animale, et qui ne s'y fait pas que des amis. le propre père d'Orvo dirige un abattoir industriel, voici donc trois générations aux intérêts fort contrastés !
Et là, je suis bien ennuyée car je ne voudrais pas en dire trop…
Sachez que l'auteure réussit à mêler fable écologique et documents sur la condition animale, avec une touche de fantastique, un drame personnel et une quête existentielle, le tout avec un grand brio !

Johanna Sinisalo met en avant le thème de la condition animale, du bien-être animal, thème important s'il en est, car c'est bien le moins que l'on puisse faire, si on ne souhaite pas devenir végétarien, que de s'assurer que les animaux que l'on consomme sont élevés dans des conditions décentes. le débat revient dans le livre, sous la plume d'Eero et de ses contradicteurs. Et les abeilles dans tout ça ? On pense qu'elles agissent librement, sans contrainte ? Pas du tout ! le fait de déplacer les ruches en hiver vers d'autres régions plus chaudes pour qu'elles continuent de travailler au lieu d'hiberner comme le voudrait leur cycle, en est un exemple simple mais révélateur. le futur proche décrit par Johanna Sinisalo fait frissonner tant il est réaliste, vraisemblable, et pratiquement inéluctable.

J'ai enfin découvert Johanna Sinisalo, et j'ai beaucoup apprécié ce roman, où l'on sent que l'auteure écrit les romans qu'elle aimerait lire.
J'ai plongé dans ce roman avec passion dès les premières pages, et mon enthousiasme n'a pas faibli par la suite. Ce livre a réussi à me faire réfléchir à l'avenir de notre planète, à me faire rêver, à me faire verser une ou deux petites larmes…
Je lirai les autres livres de cette auteure, c'est certain, quand à vous, je sais que la couverture n'est pas très engageante, mais si vous croisez ce roman, n'hésitez pas !


Lien : https://lettresexpres.wordpr..
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Orvo est un apiculteur amateur qui possède une dizaine de colonies (d'abeilles). Un jour en allant contrôler ses précieuses bestioles, notre ami a l'immense surprise de soulever le toit d'une ruche vide, désertée.

Dans la vie de tous les jours, le bonhomme est croque-mort. Vous vous demandez quel rapport, il y a entre les deux. Aucun. Si ce n'est que l'apiculture est la célébration de la vie, l'abeille domestique pollinise 80 % des espèces végétales… par conséquent, il est possible de s'imaginer le désastre promis à la Terre si cet insecte venait à disparaître. J'ajouterai que théoriquement, une colonie d'abeille est immortelle, éternelle. La vie dans toutes sa splendeur. Une savoureuse opposition dans la l'existence de sieur Orvo…

Dès 2006 les USA connaissent les premiers signes du syndrome CCD (Colony Colapse Disorder) ou syndrome de disparition des colonies, qui consiste à l'évanouissement brutal d'une colonie. du jour au lendemain. Je sens bien que pour la plupart d'entre vous mon propos s'apparente au discours d'une chèvre bretonne devant un parterre de gastéropodes radioactifs.

Donc, Johana Sinisalo utilise ce désordre aujourd'hui connu et va au-delà. En 2006, les disparitions sont loin d'être massives sans être anecdotiques, elles interpellent plus par leur brutalité que par la quantité. Mais en 2025, elle élargit l'ampleur des évanouissements : ce n'est plus le CCD mais le CCC pour Colony Collapse Catastroph, la disparition catastrophique des colonies… qui devient massive et plus répandue. L'horizon s'assombrit soudainement.

Orvo, notre protagoniste principal découvre donc une ruche vide. Il est bouleversé. Il cherche des pourquoi, comment et où… Je ne vais pas aller plus loin sur cette trame. Sachez simplement que c'est émouvant, qu'elle contribue à soutenir le propos de l'auteur et qu'il y a beaucoup de poésie dans l'idée. Nous flirtons largement avec le fantastique.

Cette intrigue apicole n'est pas le seul levier de l'auteur. L'histoire contée est plus intime car, s'axant autour des relations pères-fils. Orvo est à la fois l'un et l'autre; dans les deux sens, les interactions n'ont pas été usuelles. Son propre paternel a souvent été absent, appelé par monts et vaux pour son activité professionnelle. L'amour est bien présent, la chaleur un peu moins. Nous découvrons cette histoire au fil des pages, alors que notre apiculteur se souvient et compare avec ce que fut ses propres interactions avec son fils.

Pas de mystère, dès le premier chapitre, nous apprenons que ce dernier est mort. le pourquoi et comment, sans être une enquête policière est le coeur de ce roman. Et ces recherches sont purement celles d'un père qui découvre pour la première fois la personnalité et les convictions de son fils, si réservé. Loin d'être sur le registre légal, le filtre paternel s'applique, avec tout son cortège affectif et émotionnel. Orvo passe de l'incrédulité au doute, de la fierté à abattement et surtout une sorte d'effarement en comprenant combien il était loin de son rejeton. Nous vivons ces découvertes et ses émotions dans une remise en cause constante, car tout se fait par l'entremise de ce protagoniste.

Critique plus compléte sur mon blog
Lien : https://albdoblog.com/2018/1..
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Dixit wikpédia : "Les apiculteurs trouvent de plus en plus souvent leurs ruches subitement vidées de presque toutes leurs abeilles. Aux États-Unis, près de 25 % du cheptel aurait disparu l'hiver 2006-2007. de nombreux pays européens sont touchés depuis le début des années 2000. Les pertes peuvent atteindre, localement, jusqu'à 90 % des colonies." Ce syndrome d'effondrement des colonies d'abeille, et ses conséquences, Johanna Sinisalo en fait son miel pour les prémices de son roman, le sang des fleurs, situé en 2025. le livre dépasse rapidement ce point de départ, avec une double narration, celle d'un apiculteur, traumatisé par la mort de son fils, et les extraits du blog du défunt, militant enragé de la cause des animaux. La romancière, que l'on sait écologiste, n'a pas fait pour autant un livre à thèse. Comme souvent, elle insère une touche fantastique -les abeilles sont souvent considérées comme des messagères entre le monde des vivants et celui des morts- et une belle dose d'ironie narquoise (les quelques commentaires du blog). Plus ramassé que ses ouvrages précédents, le sang des fleurs est souvent passionnant dans le fond comme dans la forme. A butiner sans modération.

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Orvo a une passion, les abeilles dont il leur a installé quelques ruches. Un jour de contrôle, il remarque une ruche désertée, la reine morte sur le pont d'envol et quelques couvains et grabataires. Pas de nuisibles à l'horizon, pas de colonie dans l'environnement proche. Mais où sont elles parties ?
Il a aussi un fils d'âge adulte, Eero, bloguant sur la cause animale, dont quelques billets et commentaires nous sont donnés.
L'histoire nous est contée par Orvo, un récit parfois décousu, passant d'un sujet à un autre, comme dans notre vie. Au fil des pages, nous constatons quelques hiatus dans la vie de ce veuf, des blancs qui ne disent pas leur nom...

Mythologie, Deuil, Réalisme, Abeille, Cause animale, Environnement, Pompes funèbres et Relation père-fils se fondent pour un texte hors des sentiers battus. Sa forme et son fond pourront déplaire autant que ravir, pour ma part, c'est dans l'entre deux que je me suis senti. Un début assez laborieux, pour peu à peu comprendre les enjeux, le pourquoi. de la littérature blanche, nous passons au fantastique et à la science fiction, sans trop d'anicroches, si ce n'est pour moi un léger doute sur la partie fantastique, mais qui peut se voir aussi comme une poésie du deuil, qui louche toutefois vers la SF.

Sur un sombre sujet, Johanna Sinisalo arrive à éviter le pathos, à dédramatiser par des petites notes de gaieté, de rage et de sourires. Elle parvient admirablement à rendre réel le grand absent du roman, un des personnages qui détient la clé de l'intrigue.
Autre point fort sur la protection animale qui loin d'être un essai militant, informe, re-situe les problématiques, les avis divergents. L'animal est devenu un produit comme les autres, l'enjeu est le profit et notre bien-être, même si pour cela nous devons mettre quelques oeillères, avoir le courage de se lever pour fermer les rideaux afin de ne surtout pas voir notre cruauté.

Je suis volontairement assez flou sur le contenu de ce roman, mais si nos modes de consommation et l'environnement vous questionnent, le sang des fleurs devrait rejoindre vos prochaines lectures, si toutefois vous accepter d'être un peu bousculer.
De l'auteur, j'avais apprécié malgré une fin ratée son roman Avec joie et docilité (cause animale, cause des femmes, même combat ?) et je m'en vais donc lire son dernier roman paru sous nos latitudes le Reich de la lune (Après le suicide de Hitler, une poignée de dignitaires nazis se sont réfugiés dans une base en Antarctique. de là, ils ont embar­qué à bord de fusées pour rejoindre un complexe souterrain sur la Lune.)
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Une explication poétique, songeuse et déterminée, aux franges du fantastique, des disparitions massives d'abeilles de notre monde.

Sur mon blog : http://charybde2.wordpress.com/2016/06/03/note-de-lecture-le-sang-des-fleurs-johanna-sinisalo/
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Je vais commencer ce post en râlant contre la manie, très fréquente dans l'hexagone, de traduire les titres de travers. le vrai titre de ce roman de Johanna Sinisalo est en effet le Sang des anges, et non le Sang des fleurs. Ceci étant, il aurait pu aussi s'intituler le Sang des abeilles, car elles sont une des figures centrales du récit.

C'est avec elles que tout commence. Précisément avec une reine morte et une ruche désertée par la colonie qui l'habitait. Cela n'est pas vraiment de la fiction car de telles disparitions de colonies ont eu lieu depuis 2006 de par le monde. Les Etats-unis ont été le premier pays touché par ce CCD (Colony Collapse Disorder ou syndrome d'effondrement des colonies). L'anticipation dans lequel se projette ce roman, très écologique quant à sa thématique, n'est donc pas si poussée ou imaginaire. Nous ne sommes d'ailleurs qu'en 2025 (le roman a été publié en Finlande en 2011), autant dire demain.

Orvo est l'apiculteur amateur, par ailleurs propriétaire et gérant imaginatif d'une entreprise de pompes funèbres, qui a constaté cette disparition. Bientôt suivi d'une deuxième. Orvo a élevé seul son fils Eero et celui-ci a depuis peu quitté la maison pour suivre ses études en ville. Familier de l'informatique et des réseaux, il milite activement pour le respect de la vie animale, sous toutes ses formes. Activement voire radicalement, au travers de son blog et au-delà.

La mort, ou plutôt les disparitions inexpliquées qui frappent les colonies d'abeilles ne sont pas sans conséquences. A l'époque de ce récit, elles ont pris une telle ampleur sur le continent américain que les production agricole se sont toutes effondrées, privées de leur indispensables insectes pollinisateurs, et les plus grandes puissances ne sont plus en mesure d'assurer leur substance alimentaire, enclenchant la spirale des catastrophes. Ce que va vivre Orvo, va faire être comme un écho des bouleversements qui se jouent à l'échelle planétaire.

Le récit et le style que nous propose Johanna Sinisalo pourra déplaire à certains qui reprocheront aux personnages leur radicalisme écologique et y trouveront de vagues relents d'une pensée new-age inavouée. Ce serait faire fi de la documentation et des faits précis sur lesquels s'appuie l'auteur (et dont elle donne les références) comme de l'approche critique des thèses et des positions auxquels elle soumet ses personnages.

En tout cas, il se pourrait bien qu'à l'issue de cette lecture, vous ne regardiez plus les abeilles d'un même oeil et que vous prêtiez une autre oreille aux propos perçus comme inutilement alarmistes de nombre d'apiculteurs.


Lien : http://filsdelectures.over-b..
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D'un côté un fou des abeilles, à l'occasion aussi entrepreneur de pompes funèbres, très en avance pour son temps compte tenu des services proposés mais il est vrai que nous sommes en 2025,
Et de l'autre un écoterroriste, blogueur condamnant les lecteurs au crâne rasé qui arborent le lion de Finlande en pendentif, écoterroriste et aussi singerien.
Si comme moi cette idée ne vous évoque rien, madame Wikipedia vient à notre secours :
"Peter Albert David Singer dit Peter Singer est un philosophe utilitariste australien. En dehors du milieu universitaire, Singer est surtout connu pour son livre"la libération animale", considéré comme le livre fondateur des mouvements modernes des droits des animaux. La base de ses réflexions est que tous les êtres sensibles doivent être considérés comme moralement égaux, en ce sens que leurs intérêts doivent être pris en compte de manière égale. Il conclut en particulier que le fait d'utiliser des animaux pour se nourrir est injustifié car cela entraîne une souffrance disproportionnée par rapport aux bienfaits que les humains tirent de cette consommation ; et qu'il est donc moralement obligatoire de s'abstenir de manger la chair des animaux (végétarisme), voire de consommer tous les produits issus de leur exploitation (véganisme)."
Cette définition étant faite, je rajouterai :
Quand je lis "La question des droits de l'animal est pourtant aussi essentielle que l'était jadis celle de l'esclavage. Nous sommes ici face à l'exploitation sans scrupule d'êtres vivants sensibles auxquels sont infligés des traitements d'une cruauté inimaginable et des conditions de vie inhumaines, au nom de la maximisation du profit."
Je suis choquée et je ne peux pas supporter la comparaison.
Une autre petite citation qui aurait tendance à me faire dresser les cheveux sur la tête :
"Nous pensons que les animaux à sang chaud (ainsi que de nombreux animaux à sang froid, tels que les céphalopodes) sont des êtres conscients d'eux mêmes, doués de sensibilité, réceptifs à la douleur, souvent capables de raisonnement abstrait et utilisant parfois un langage - ils ont, en résumé, une conscience."
Passé ce choc et en acceptant de réfléchir un minimum, sans m'énerver, j'ai trouvé de très belles pages sur le rapport à nos enfants, au respect que nous leur devons, à l'amour que nous leur portons.
Le style du roman est très moderne et utilise les nouvelles technologies de partage du savoir. du travail très sérieux, très documenté à la fois sur les abeilles et sur les défenseurs des droits des animaux, ... on partage ou pas ces valeurs !
Mais il est sûr qu'il y a forcément quelque chose à en tirer.
Nous sommes amenés à réfléchir à la fois sur la folie de notre société de consommation, de sur consommation devrait on plutôt dire et sur le mépris que nous portons envers notre environnement.
Alors on se calme et on réfléchit.
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Après avoir lu l'an dernier Une histoire des abeilles de Maja Lunde, puis plus récemment Dernières fleurs avant la fin du monde de Nicolas Cartelet, je ne pouvais pas faire l'impasse sur le roman de Johanna Sinisalo, le sang des Fleurs. Ces trois romans ont en commun le déclin et/ou la disparition des abeilles et les conséquences qui s'en suivent. Traités de trois façons différentes, ils ont tous en commun le fait de nous faire prendre conscience que les abeilles c'est la vie.

Je vais essayer de vous parler de ce livre sans rien vous dévoiler de l'histoire ni de l'intrigue. Si vous voulez un résumé, il vous suffit de lire la quatrième de couverture. Un résumé parfait de l'histoire, allant jusqu'à donner des informations que vous ne trouverez que dans les dernières pages. Cela ne vous empêchera pas d'apprécier ce livre mais une partie de la découverte, de la surprise se sera envolée. Les éditions Actes Sud sont assez coutumières du fait, comme avec le principe à trois corps de Liu Cixin et c'est assez dommageable !

Le sang des fleurs est un récit assez décousu qui peut dérouter. D'un coté le narrateur Orvo, passionné par les abeilles depuis sa tendre enfance, s'occupe de ses ruches et observe la disparition progressive de ses petites protégées. Il nous raconte sa vie au jour le jour avec ses drames et ses espérances. Entre chaque moment de la vie d'Orvo, s'insèrent des articles du blog de son fils, Eero, fervent défenseur de la cause animale.

Petit à petit, la disparition des abeilles ne sera plus le seul sujet du roman, la remise en cause de notre société consumériste prendra le pas, on y trouvera une certaine radicalité même si l'autrice essaie de regrouper tous les courants de pensées. On sent une démarche militante qui pourra déplaire à certains. Mais le roman ne s'arrête pas au monde animal, Johanna Sinisalo dépeint les souffrances d'un père face aux événements qui lui arrivent, les difficiles relations père-fils...

En moins de 300 pages, Johanna Sinisalo nous livre un roman coup de poing, un roman qui bouleverse, qui s'attaque à nos habitudes. Livre militant, le sang des fleurs laisse une place importante à l'émotion et à la réflexion.


Lien : https://les-lectures-du-maki..
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2025, le syndrome d'effondrement des colonies d'abeilles s'est agravé, au point qu'aux Etats-Unis des famines menacent. En Finlande, l'élevage intensif de viande est dopé par la demande américaine.

Orvo, directeur d'une entreprise de pompes funèbres, apiculteur amateur est ébranlé par une tragédie familiale. le fils, Eero, qu'il a élevé seul après le départ de sa mère en Australie a disparu. Orvo tente de retrouver sa trace dans ses engagements sur Internet pour la défense des animaux.



Bien documenté sur les abeilles et le syndrome qui les touche aujourd'hui, ce roman d'anticipation flirte avec le récit écologique engagé, à la lisière du fantastique, il offre une réflexion sur la mort et la disparition. Tout à la fois récit poétique, enquête policière et fable d'anticipation, le sang des Fleurs de Johanna Sinisalo est un récit robuste et touchant.
Lien : http://legenepietlargousier...
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Ce roman mériterait presque l'appellation de documentaire. En effet, les passages où Orvo lit le blog de son fils sont un peu en forme de documentaire. L'auteur y reprend tous les arguments traitant de la nature, des animaux, des insectes, et de ce que leur fait subir l'homme. Au départ, j'ai aimé en apprendre davantage sur les abeilles (qui sont à l'honneur), et aussi sur la manière dont l'homme détruit et pervertit son environnement. Je savais certaines choses, mais pas tout.
[...]
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Lien : http://www.lalivrophile.net/..
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