Du feu de l'enfer

Fortement recommandé par une fan, j'ai voulu tenter de lire Sire Cedric. Je l'ai rencontré dans une festival et j'ai une belle dédicace dans mon livre. Il m'a assuré qu'il était très fier de ce nouveau livre et qu'il me le conseillait pour découvrir.

Malgré la sympathie de l'auteur, je n'ai vraiment pas accroché à cette histoire qu'il a appelé son bébé. Pour moi, toute l'intrigue est une succession de lieux communs. J'ai pas été surprise une seule seconde ni intriguée outre mesure. L'héroïne est à peine attachante et les autres personnages sont transparents. Sans parler du fait que tous les préjugés que vous avez en tête concernant les sectes sataniques y sont. Des lieux version Eyes Wide Shut, masques et capes compris, des dessins sur les murs, et du sang qui coule à flot. De la même manière que pour les films gores, j'suis restée blasée face à cette violence qui ne m'a pas du tout ébranlée.

Ce qui sauve ce livre, c'est le style et les beaux mots de l'auteur. Ca coule bien, c'est très agréable à lire, le français est maîtrisé. C'est pour cette facilité de lecture que j'ai fini ce seul livre de l'auteur sans fantastique. Le fait qu'il en tire une grande fierté m'incite à penser que je ne vais pas beaucoup aimer cet auteur. Mais je veux quand même lui accorder une seconde chance avec un de ses livres, qui lui, contient du fantastique.

Après un avis mitigé avec son précédent roman ,enfin on retrouve le vrai sire cedric que l on aime.
Ce coup ci il nous offre un vrai page turner,des vrais faux semblant, de la boucherie ,aucun temps mort, pour ma,Part une pure réussite de l auteur.
Voila,un vrai coup de coeur.

Bon sang que ce livre m'a exaspéré à bien des égards mais avant tout par son intrigue transparente malgré les tentatives de l'auteur pour détourner l'attention à maintes reprises. Je ne peux pas non plus dire que les personnages m'aient captivé.

Une des deux seules raisons qui m'ont fait continuer mon écoute a été mon interrogation sur les actions que Manon entreprendrait...
Malheureusement, mon attente à cet égard n'a pas été récompensée.

L'autre raison a été le talent du narrateur, Roland Agami que je ne suis pas certaine de devoir remercier pour le coup, mais en tout les cas ; bravo à lui.