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EAN : 9782846211574
376 pages
Paris (30/11/2012)
4.83/5   3 notes
Résumé :
Les marins de Kronstadt avaient activement participé à la révolution russe de février 1917 qui balaya le tsarisme, au nom de grandes aspirations : la paix immédiate, la prise de la terre par les paysans et des usines par les ouvriers, une immense espérance symbolisée par le mot d'ordre : "Tout le pouvoir aux soviets !". Lénine, leader du parti bolchévik, sut, par la plus extrême démagogie, séduire les soviets pour, en leur nom, faire un coup d'Etat contre le gouvern... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Alexandre Skirda né en 1942 de parents Russes (réfugiés de la Guerre Civile en Russie entre 1918 et 1920), est un historien et essayiste, spécialiste du mouvement Révolutionnaire Russe. Dans ce très important ouvrage, il retrace, grâce à : de nombreux témoignages de contemporains de la période Léniniste ; des Archives récentes exhumées depuis la fin de l'U.R.S.S. en 1991 ; et à des documents inédits provenant de Kronstadiens, le déroulement RÉEL de ce massacre de masse que fut le massacre de Kronstadt en mars 1921. En effet, depuis ce massacre de masse, les Communistes ont toujours tenté d'inverser les rôles entre : Victimes et Bourreaux, ou pour employer une analogie avec des termes manichéens qu'ils affectionnent tout particulièrement, entre : Révolutionnaires et Contre-Révolutionnaires.
Or, en réalité, il n'existe pas un massacre délibéré de la part du Pouvoir Totalitaire Communiste, plus criant et clairement établi, que celui de Kronstadt. D'ailleurs, Trotsky, tout le restant de sa vie, et malgré ses talents oratoires et d'écriture, a dû usé d'innombrables contorsions sémantiques, de mensonges et de propagande (mais cela est dans la nature même du fonctionnement d'un système Totalitaire), pour tenter, suivant les circonstances et les époques, soit de minimiser sa responsabilité, soit de justifier sa position et ses actes. Peine perdue…, « Feld-maréchal » Trotsky (comme le nommaient les kronstadiens), car L Histoire est UNIQUE et Éternelle…
Le seul aspect « positif » dans le fait que le massacre de Kronstadt soit aussi popularisé à travers le monde (pour ceux qui s'intéressent à l'Histoire du Communisme) réside, non seulement, dans la mise en évidence que ce massacre a bel et bien été perpétré par le Pouvoir Bolchevique (Communiste) de Lénine ; mais également de permettre de mettre en lumière le fait que, malheureusement, ce massacre ne représente qu'une « goutte d'eau » dans l'immensité des exterminations de masse qu'a connue la Russie, durant la formation de ce régime Totalitaire Communiste, entre le coup d'État du 25 Octobre 1917 et la mort de Lénine en janvier 1924 !

Mais d'abord, pour comprendre ce massacre de Kronstadt, il est nécessaire de reprendre les évènements dans leur chronologie et dans le contexte Historique…
Depuis plusieurs décennies, des Partis Révolutionnaires de gauche, plus ou moins Terroristes, essayaient de renverser le régime Tsariste. Et finalement, ce fut une Révolution Populaire dans la Capitale Russe de l'époque, Pétrograd, en février 1917, qui conduisit à l'abdication du Tsar Nicolas II et de son régime Tsariste Autocratique. Début mars, il fut immédiatement constitué un Gouvernement Provisoire qui devait gérer les « affaires courantes » du pays, et notamment une et pas des moindres : la Première Guerre Mondiale ; en attendant les élections nationales et la Convocation de l'Assemblée Constituante.

Le Parti d'extrême gauche le plus connu à cette époque était le Parti Bolchevique (qui prendra le nom de Communisme à partir de mars 1918). Lénine le fonda en 1903, suite à la scission du Parti Ouvrier Social-Démocrate de Russie (P.O.S.D.R.) en deux fractions : le Parti Bolchevique (signifiant majoritaire) dirigé donc par Lénine ; et le Parti Menchevique (signifiant minoritaire) avec à sa tête, Martov.
Joseph (Iossif) Vissarionovitch Djougachvili, plus connu sous le pseudonyme de Staline (l' »homme de fer »), adhéra au Parti Bolchevique de Lénine dès son origine, et mena même des opérations d' »expropriation » (en clair : des braquages de banque !) pour le compte de Lénine, afin de contribuer au financement du Parti Bolchevique. En revanche, Lev Davidovitch Bronstein, dont l'un de ses nombreux pseudonymes était donc : Léon Trotsk(y ou i), ne rejoignit le Parti Bolchevique qu'après la Révolution Populaire de Février, à son retour d'exil des États-Unis, au printemps 1917. Jusqu'à cette époque, il était plus proche des thèses révolutionnaires moins Dictatoriales et Terroristes des Mencheviques.
Étant donné que nos deux « Camarades » et futurs Criminels de masse, Lénine et Trotski, étaient en exil à l'étranger lors de la Révolution Populaire de février 1917, c'est Staline le séide de Lénine qui, avec d'autre membres du Parti Bolchevique, était chargé par Lénine de garder la « boutique » du Parti.
Lorsque Lénine rentra en Russie en avril 1917, il reprit les rênes du Parti, basant notamment sa propagande sur ses fameuses « Thèses d'avril » à caractères extrémistes.
C'est alors que le très distingué, érudit et futur exterminateur de masse, Trotsky, rejoignit le Parti Bolchevique de Lénine, puisque désormais l'unique objectif était extrêmement clair : renverser le plus rapidement possible le Gouvernement Provisoire, pour prendre le Pouvoir Absolu par la force et instaurer ainsi la « Dictature du Prolétariat » du Parti Bolchevique.
La propagande Bolchevique battant son plein et le Gouvernement Provisoire n'arrivant pas à prendre les bonnes décisions, au début du mois de juillet, il régnait à nouveau une atmosphère Révolutionnaire dans la Capitale. Les « marins de Kronstadt » furent alors sollicités par les Bolcheviques (Communistes) pour venir manifester à Pétrograd. le 4 juillet, 10 000 à 12 000 marins, soldats et artilleurs arrivèrent dans la Capitale et se dirigèrent vers la Palais de Tauride, siège du Comité exécutif central des soviets. Puis, ils furent détournés par le chef Bolchevique local, Raskolnikov, en direction du Palais de la Kchessinskaja (ex-favorite de Nicolas II), où se situait le Comité Central du Parti Bolchevique (pages 47, 48, 49 et 50) :
« Au balcon apparaît d'abord Sverdlov, puis Lounartcharsky, qui tiennent des discours lénifiants et ambigus, avant que Lénine lui-même vienne saluer : l' »honneur et la gloire de la révolution russe », leur déclare sa confiance dans la victoire du mot d'ordre « Tout le pouvoir aux soviets » et leur prodigue des conseils de « ténacité, de fermeté et de vigilance ». Des ovations et des vivats lui « souhaitant longue vie » lui répondent avant qu'il ne s'esquive, prétextant être souffrant. Visiblement, il n'avait pas voulu endosser la responsabilité de ce qui pouvait advenir.
Lourdement armés, les kronstadiens n'étaient pas venus pour défiler pacifiquement, et tant les SR de gauche que les anarchistes présents sont quelque peu surpris de se retrouver soudain devant un meeting bolchévik. Yartchouk s'indigne en déclarant qu'il était scandaleux d'être venus ici pour écouter des discours bolchéviks ; Alexandre Baranov, un SR de gauche membre du Soviet de Kronstadt, s'indigne également de recevoir la bénédiction de Lénine, dont il n'a que faire. Malgré tout, ils acceptent que le drapeau du Comité central bolchévik soit porté devant leur cortège et supplante leurs propres étendards.
Leur enthousiasme un peu tiédi, les manifestants poursuivent leur route vers le palais de Tauride. le défilé de fusils et de baïonnettes avance dans le silence hostile jusqu'au carrefour des avenues Nevsky et Liteïnaja, où ils s'engagent. Tout à coup, une fusillade éclate, provenant des fenêtres et des toits des immeubles, et provoque une grande panique et la débandade de la manifestation. Pour la plupart des manifestants, c'est le baptême du feu, ce qui explique qu'affolés ils se réfugient partout où ils peuvent et tiraillent dans toutes les directions. Il y a 40 morts et des dizaines de blessés, mais on ne connaîtra jamais les auteurs des premiers coups de feu et on ignora si les morts avaient été victimes de la fusillade ou de tirs croisés des manifestants. le calme revenu, le cortège atteint le palais de Tauride et remet sa pétition. On demande la venue du ministre de la Justice Péréverzev ; c'est Victor Tchernov, le ministre SR de l'Agriculture, qui se présente et tente d'expliquer la politique de la coalition gouvernementale. Il est pris à partie par des manifestants, dont l'un lui dit : « Prends le pouvoir, quand on te le donne, fils de chien ! », paroles un peu simplistes auxquelles il n'a pas le temps de réagir car on veut l'emmener en voiture. Seules les interventions de Raskolnikov et de Trotsky lui épargnent un mauvais moment. Sur ce, Zinoviev vient conseiller de se disperser pacifiquement et de retourner à Kronstadt. Ce que fait la majorité, tandis que 700 kronstadiens restent avec le comité militaire du parti bolchévik pour défendre le palais de la Kchessinskaya, élisant Raskolnikov comme commandant.
Le gouvernement réagit avec retard mais fermeté et déclenche une répression contre les bolchéviks, qualifiés de traîtres et d'agents de l'Allemagne, en apportant des preuves des subsides leur ayant servi à publier leurs journaux. Une vague d'arrestations atteint les dirigeants, dont certains se réfugient dans la clandestinité. Lénine va ainsi se cacher en Finlande. Quoique interdits, les journaux bolchéviks réapparaissent souvent sous d'autres titres. À Kronstadt, c'est aussi l'heure de dégager les responsabilités, Lamanov reproche à Raskolnokov, qui n'était même pas membre du Comité exécutif du Soviet, d'avoir usurpé son pouvoir et d'avoir engagé les marins dans cette aventure tragique. Toutefois, les membres du Soviet ne veulent pas se désolidariser complètement des bolchéviks – y compris les menchéviks, lesquels ont pourtant eu à subir leurs remontrances et vexations -, et le font savoir à plusieurs reprises au Comité exécutif central des Soviets de Pétrograd et au nouveau gouvernement provisoire de coalition, formé le 23 juillet avec davantage de ministres socialistes et dirigé par Alexandre Kérensky.
(…) Devenu président du gouvernement provisoire, Kérensky va commettre toute une série de fautes qui lui aliéneront le soutien de ses partisans socialistes et fragiliseront la situation. D'abord, il retarde les élections à l'Assemblée constituante, tout en s'attribuant ses prérogatives par le biais d'une Conférence démocratique et d'un Préparlement qui décident de substituer la république au régime monarchique officiel. Ensuite, en continuant la guerre, il encourage le commandement militaire à réintroduire la peine de mort pour désertion et à réduire le rôle des comités de soldats au profit de celui des officiers. Ces mesures et ces discours équivoques induisent en erreur le commandant en chef de l'armée, le général Kornilov, lequel, persuadé de l'accord tacite de Kérensky, marche sur Pétrograd pour « rétablir l'ordre ». Affolé, Kérensky ne trouve rien de mieux que de faire appel à ceux qui avaient voulu le renverser en juillet : il libère les dirigeants bolchéviks et arme leur garde rouge, constituée d'ouvriers des comités d'usine et de fabrique. Cette menace d'une réaction militaire provoque une union sacrée des révolutionnaires. Lamanov publie une proclamation enflammée contre un retour de la réaction. le gouvernement provisoire est débordé par ses défenseurs inattendus. En même temps, il se retrouve considérablement affaibli, tant politiquement que militairement, au point que Lénine prêche ouvertement l'insurrection et la prise du pouvoir par les soviets. Retranché avec ses ministres dans le palais d'Hiver, ancien siège du pouvoir tsariste, Kérensky reste passif devant l'évolution de la situation, pensant que ses adversaires de gauche n'oseront jamais l'attaquer, puisqu'il les a récemment ménagés – magnanime, il avait même fait relâcher les dirigeants bolchéviks appréhendés en juillet, en particulier Trotsky et Antonov-Ovséenko, menchéviks-interdistricts, tout juste ralliés à Lénine.
Mais nulle gratitude en retour, car ce sont ceux-là mêmes qui vont diriger le putsch d'Octobre et le renverser ! Il n'a rien prévu, alors que le coup de force était annoncé ouvertement depuis plusieurs jours. Pour toute défense, il dispose de trois détachements d'élèves officiers, du « bataillon de la mort », composé de 140 jeunes femmes (!), quelques cosaques, une unité de cyclistes, 40 invalides de guerre commandés par un officier unijambiste et plusieurs pièces d'artillerie, mais ne disposant d'aucune mitrailleuse. Il n'y a pas à s'étonner que Lénine ait dit après cela que s'emparer du pouvoir avait été : « aussi facile que ramasser une plume ! » Sorti de prison, Trotsky mène l'insurrection en tant que président nouvellement élu du Soviet de Pétrograd, ce qui lui donne un aspect officiel, et il dispose de son Comité révolutionnaire militaire, dirigé par le militant éprouvé Antonov-Ovséenko. Sollicité, le Soviet de Kronstadt envoie un corps expéditionnaire de près de 5 000 hommes (3 825 marins et 943 soldats), sous la direction d'Ivan Flérovsky, le chef bolchévik local, et d'Efim Yartchouk, le leader anarcho-syndicaliste. Les autres bases de la Baltique envoient également des contingents, ce qui fait au total 10 000 marins de la Baltique viennent se joindre à une moins nombreuse garde rouge. le 25 octobre, la prise du palais d'Hiver s'avère aussi aisée que d'enfoncer une porte ouverte. Tout cela s'accomplit au nom du « pouvoir des soviets » à la veille de leur IIe Congrès panrusse. Une nouvelle ère commence… (note n°7, page 51 : Voir le récit édifiant du défenseur Alexandre Sinégouba dans Les Archives de la révolution russe (R), Berlin, 1922, tome IV, p. 121-197). »
Récapitulons… La mise en place du régime Totalitaire Bolchevique (Communiste), qui deviendra dès la création de l'Internationale Communiste en 1919, un Système à l'hégémonie planétaire, fut extrêmement rapide :
Le 7 décembre 1917, ce fut la création par décret de la Police Politique, la Tcheka, dirigée par le sadique Félix Dzerjinski, chargée de traquer les « ennemis de classe et du peuple ». La Tcheka était l'un des Organes avec l'autre instrument de la Terreur Politique : l'Armée Rouge fondée par Trotsky…
Dans la foulée, Lénine écrivit un article à caractère Totalitaire nommé : « Comment organiser l'émulation ? », qui ne paraîtra qu'en 1929, mais qui définissait très clairement le contenu de sa politique Terroriste, appliquée dès le coup d'État d'Octobre et stigmatisant (doux euphémisme) un panel de citoyens extrêmement large à enfermer ou à exterminer, dans la société civile Russe. En réalité, c'était TOUTE la population Russe qui devait être victime de la Terreur de masse. Voici une partie du contenu de ce texte infâme (page 25 et 26) :
« (…) des riches et de leurs écornifleurs, puis des filous, des fainéants et des voyous. Pas de quartier pour les ennemis du peuple, ces ennemis du socialisme, ces ennemis des travailleurs. Guerre à mort aux riches et à leurs pique-assiette, les intellectuels bourgeois ; guerre aux filous, aux fainéants et aux voyous […]. Des milliers de formes et de procédés pratiques de recensement et de contrôle visant les riches, les filous et les parasites doivent être mis au point […]. La poursuite d'un même but unique : débarrasser la terre russe de tous les insectes nuisibles, des puces [les filous], des punaises [les riches] et ainsi de suite. Ici, on mettra en prison une dizaine de riches, une douzaine de filous, une demi-douzaine d'ouvriers qui tirent au flanc – à la manière des voyous, comme le font de nombreux typographes à Pétrograd, surtout dans les imprimeries des partis. Là, on les enverra nettoyer les latrines. Ailleurs, on les munira, au sortir du cachot, d'une carte jaune afin que le peuple entier puisse surveiller ces gens malfaisants jusqu'à ce qu'ils soient corrigés. Ou encore, on fusillera sur place un individu sur dix coupables de parasitisme » (note n°19, page 35 : Lénine, Oeuvres, tome 25, p. 428-432).
(Précisons au passage que, comme le précise la note n°19, la plupart des nombreuses citations ignobles de Lénine, comme celle-ci, sont donc extraits de ses propres « Oeuvres » en 55 volumes. Les militants qui se revendiquent du Communisme au 21ème siècle ont donc pleinement conscience d'adhérer à l'horreur des propos tenus par Lénine et donc des actes Criminels perpétrés par : lui, Trotsky, Staline, Dzerjinski, Zinoviev, Kamenev et toute cette clique de Terroristes Communistes !)

Mais bon, continuons…
Durant cette période de transition politique (entre la Révolution Populaire de février et le coup d'État Bolchevique d'Octobre), Lénine avait attiré une partie des masses en leur faisant de fausses promesses avec les slogans : « Tout le pouvoir au soviets », la « Paix », le « pain » et « La terre aux paysans et l'usine à l'ouvrier » ; mais désormais, trois semaines avant le coup d'Octobre, il prévenait déjà cyniquement avec un profond mépris, que… (pages 29 et 30) :
« (…) le Soviet ne peut être qu'un organisme insurrectionnel. Sinon les Soviets ne sont que de vains hochets qui conduisent infailliblement à l'apathie, à l'indifférence, au découragement des masses légitimement écoeurées par la répétition perpétuelle de résolutions et de protestations » (note n°31, page 35 : Lénine, Oeuvres, tome 26, p. 141). le « léninisé » Trotsky, dans son histoire de la première révolution, 1905, certes rédigée en 1922, répétera que les Soviets n'étaient que des instruments pour conquérir le pouvoir (note n°32, page 35 : Léon Trotsky,1905, Paris, 1923, Librairie de l'Humanité, p. 211-213).
À la fin de l'année 1917, les Bolcheviques perdirent largement, lors des élections générales au scrutin direct et universel organisées en Russie. En effet, les S.R. (Socialistes Révolutionnaires) récoltèrent 60 % des voix et les Bolcheviques seulement 25 %. Désormais, le contexte était mal engagé pour ce Pouvoir Bolchevique, en vue de la convocation de l'Assemblée Constituante. Mais la Démocratie n'étant pas la « tasse de thé » de Lénine (encore un euphémisme, décidément…), il allait se charger d'expédier manu militari et de jeter cette Assemblée Constituante dans…, « les poubelles de l'Histoire » (selon une expression de Trotsky !)…

P.S. : Vous pouvez consulter ce commentaire, dans son intégralité, sur mon blog :
Lien : https://communismetotalitari..
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