C’est une loi naturelle de ce monde cruel : on n’a jamais trop d’or.
Tu es le poignard et je serai le fourreau. Quoi que tu me demandes, je ne te décevrai jamais.
Les paroles sont inutiles entre nous, car nos cœurs battent à l’unisson.
Il est le reflet et non le miroir,
Il est la musique et non la lyre,
Il est la pierre et non le ciseau,
Il vivra à jamais.
Tous les Égyptiens étaient des paysans par nature et tradition, et ils déployèrent leur savoir-faire. Quelques mois plus tard, ils avaient rentré leur première moisson de dourah. Puis ils plantèrent de l’herbe pour le pâturage, qui prospéra bien au-delà de leurs besoins.
Les hommes ont parfois besoin d’encouragements.
Les amants se promenaient au hasard dans le désert. Leurs journées se passaient à parler, faire l’amour et échafauder mille projets d’avenir, quand et comment ils se marieraient, combien de fils et de filles ils auraient, et à choisir leurs noms.
Les armées ne rêvent que de butin et de gloire, les marchands, de commerce plus actif et de profits accrus. C’est un moyen infaillible pour amener les gens à oublier leurs doléances.
Les douces paroles d’amour que voilà ! Mon cœur et mon dard se soulèvent quand j’entends combien tu me désires.
La prudence veut que l’on ne trahisse jamais son animosité face à un ennemi caché.