Saga égyptienne, tome 4 : La vengeance du Nil

Le Nil,ce dieu fleuve,dont les crues sont la source de toute richesse,dont le limon fertile permet de nourrir tout un peuple,parait se retourner contre pharaon,jusqu'alors beni des dieux;pour exercer la plus terrible des vengeances.L'explication semble se trouver loin en amont,au-dela de tous les territoires connus,dans cette Afrique profonde et inexploree ou nait le fleuve majestueux.Au desespoir,pharaon fait appel a Taita pour l'aider;le magicien qui sait traiter d'egal a egal avec les forces invisibles au commun des mortels mais o combien puissantes.
A travers le mage,Wilbur Smith nous subjugue une fois de plus en faisant preuve de toute sa creativite pour nous emmener vers cette ville Afrique qu'il aime et qu'il decrit si bien,qu'on s'y croirait

Salut les Babelionautes
Dans ce récit, Pharaon demande au fidèle Taita de remonter jusqu'aux sources du Nil pour découvrir l'origine de la raréfaction des eaux du Nil.
Ce tome est celui que j'ai le moins aimé, en plus il devrait être le dernier tome de cette Saga Egyptienne.
Dans cette Afrique profonde et inexplorée où naît le fleuve majestueux, Taita aidé par le fidèle guerrier Meren n'avaient pas encore trouvés la cause des maux qui frappent l'Egypte. Après avoir franchi des lacs et maints grands fleuves, traversé de vastes plaines et d'immenses forêts ils sont arrivés là ou une Magicienne a bloqué l'écoulement des eaux du Nil.
Ils portaient sur le dos leur maigre bagage. le voyage pour arriver jusque-là avait été long et difficile et le combat magique qui s'ensuivra contre des bêtes étranges et dangereuses et des hommes plus étranges et dangereux encore mettra à rude épreuve les pouvoirs de Taita.
Merci a Thierry Piélat pour la traduction.

Tout d'abord, je tiens à le préciser, j'ai trouvé ce livre dans l'une des nombreuses boîtes à livres de ma ville, donc quand j'ai débuté sa lecture, je ne savais pas qu'il était le dernier tome d'une saga. L'histoire en elle-même me semblait être intéressante sauf que je n'ai jamais fini ce livre. Pourquoi ? Tout simplement parce qu'il m'a mise extrêmement mal à l'aise.

En effet, j'ai trouvé tous les personnages très succinctement décrits et cela n'aurait pas eu tellement d'importance puisqu'il s'agit d'un dernier tome d'une saga, donc il est normal de supposer que les personnages ont déjà été décrits.

Sauf visiblement lorsqu'il s'agit d'une jeune fille prépubère dont on connaît jusqu'à la taille et la couleur de t3tons. Et pour moi, un vieux de 156 ans, tout sorcier qu'il soit, fantasmant et manipulant une enfant entre deux scènes d'aventures, ca ne passe pas. Interloquée, je suis allée sur différents forums (essentiellement anglophones) parlant de l'auteur et j'ai été rassurée de constater que je n'étais la seule personne que cela choquait, et pas uniquement sur ce livre.

Alors oui, c'est une fiction. Oui, cette fiction faisant référence à la réincarnation et impliquant une vieille âme dans le corps d'une enfant. Mais cela nécessite t'il nécessairement les descriptions graveleuses du corps d'une enfant prépubère (l'auteur insistant bien sur ce fait). Absolument pas.

L'impression que l'aventure à travers l'Afrique pour retrouvée une sorcière maléfique semble être, pour moi comme pour d'autres lecteurs à travers le monde, le prétexte à une finalité que je n'ai pas besoin de lire pour la connaître : l'eunuque centenaire retrouvera pas un moyen quelconque ses attributs et aura des rapports avec sa pupille. Bref, les descriptions de Fenn sous emprise et des jeunes filles Shilluk qui, comme le précise l'auteur, sont à peine plus âgées que Fenn, ont fini par me faire définitivement refermer ce bouquin avant la fin et ne me donne absolument pas envie de découvrir cet auteur.

J'ai beaucoup apprécié ce livre, l'aventure est au rendez-vous et on suit avec plaisir ce voyage à travers l'Egypte antique.
La méthode de transmission du pouvoir de mage est assez originale aussi, il faut le dire.

suite de l'histoire ou nous découvrons une affreuse sorcière qui en veut à notre mage Taita mais bien sur il s'en sortira.