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Critique de ChristianLV
Bonjour,
Ce livre est à lire ABSOLUMENT !
Il ne s'agit pas d'une oeuvre littéraire, mais de notes prises par Soeur Marie-Faustine sur la demande expresse de Dieu !
Par ce petit journal, Soeur Marie-Faustine nous invite à partager et l'intimité de sa relation à Notre Seigneur Jésus-Christ et le récit de la mise en place du culte de la miséricorde : le chapelet de la miséricorde, la fête de la miséricorde le dimanche suivant le dimanche de la fête de Pâques, la prière de 15 heures chaque jour, la contemplation du tableau représentant Notre Seigneur Jésus-Christ.
Moi qui croyais tout perdu de ma relation à Dieu à cause des situations compliquées dans lesquelles je m'étais mis, je dois avouer que cette "ultime planche de salut" m'a sauvé.
Née en 1905 en Pologne, Soeur Faustine décèdera en 1938 de la tuberculose, à la veille de la seconde guerre mondiale. Appelée par Jésus-Christ au sein d'une communauté de femmes repenties de leur mauvaise vie, ses faiblesses dans l'accomplissement des tâches quotidiennes lui valent le mépris de certaines soeurs quand la révélation de ses visions et de ses voix la font passer pour folle auprès d'autres soeurs.
Le soutien de son confesseur, le Père Andrasz, de son directeur de conscience, le Père SOPOCKO, et de sa mère supérieure, lui permettront de persévérer sur le chemin qui lui a été destiné.
Le Pape François a bien fait de proclamer l'année 2016, ANNEE DE LA MISERICORDE. La canonisation de Soeur Marie-Faustine par Jean-Paul II, qui avait initié son procès en béatification, nous désigne cette grande mystique comme un phare pour le XXIème siècle, pas moins !
Ce livre est à lire ABSOLUMENT !
Il ne s'agit pas d'une oeuvre littéraire, mais de notes prises par Soeur Marie-Faustine sur la demande expresse de Dieu !
Par ce petit journal, Soeur Marie-Faustine nous invite à partager et l'intimité de sa relation à Notre Seigneur Jésus-Christ et le récit de la mise en place du culte de la miséricorde : le chapelet de la miséricorde, la fête de la miséricorde le dimanche suivant le dimanche de la fête de Pâques, la prière de 15 heures chaque jour, la contemplation du tableau représentant Notre Seigneur Jésus-Christ.
Moi qui croyais tout perdu de ma relation à Dieu à cause des situations compliquées dans lesquelles je m'étais mis, je dois avouer que cette "ultime planche de salut" m'a sauvé.
Née en 1905 en Pologne, Soeur Faustine décèdera en 1938 de la tuberculose, à la veille de la seconde guerre mondiale. Appelée par Jésus-Christ au sein d'une communauté de femmes repenties de leur mauvaise vie, ses faiblesses dans l'accomplissement des tâches quotidiennes lui valent le mépris de certaines soeurs quand la révélation de ses visions et de ses voix la font passer pour folle auprès d'autres soeurs.
Le soutien de son confesseur, le Père Andrasz, de son directeur de conscience, le Père SOPOCKO, et de sa mère supérieure, lui permettront de persévérer sur le chemin qui lui a été destiné.
Le Pape François a bien fait de proclamer l'année 2016, ANNEE DE LA MISERICORDE. La canonisation de Soeur Marie-Faustine par Jean-Paul II, qui avait initié son procès en béatification, nous désigne cette grande mystique comme un phare pour le XXIème siècle, pas moins !
