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Critique de sebastiencoelho
« Le Zen des samouraïs » me semble être un bon livre de spiritualité, à lire, relire et méditer. Il est composé de deux parties, précédées d'une biographie d'une quinzaine de pages de Maître Takuan (1573-1645).
La première partie est composée de textes de Maître Takuan, recueillis dans trois livres : « Mystères de la sagesse immobile », « Contes nocturnes de la mer Est », « Limpidité ». Les propos du Maître peuvent paraître parfois lumineux, parfois abscons. Cette caractéristique commune aux grands textes zens, taoïstes et confucianistes, désarçonnera certainement le néophyte.
La seconde partie ou épilogue, intitulée « Samouraïs, zen et arts martiaux », est constituée de six chapitres. le premier résume quelques histoires ou légendes semble-t-il célèbres au Japon. Les chapitres 2 à 5 racontent brièvement (le plus long ne fait que quatorze pages) la vie de grands samouraïs et shôguns. Tout cela est assez distrayant et instructif.
Par contre, le chapitre 6, intitulé, « Le créateur de l'aïkido », ne compte que trois pages et m'a paru inutile et inintéressant. Il relate une expérience d'illumination shintoïque de Maître Morihei Ueshiba (dont le nom est ici écrit Ueshiba Morihira). Un texte abscons qui n'apprend rien sur l'art martial qu'il a créé, ce qui laisse sur sa faim l'aïkidoka que je suis, et ne fera qu'ennuyer le profane qui ignore tout d'O Sensei et de son budo.
La première partie est composée de textes de Maître Takuan, recueillis dans trois livres : « Mystères de la sagesse immobile », « Contes nocturnes de la mer Est », « Limpidité ». Les propos du Maître peuvent paraître parfois lumineux, parfois abscons. Cette caractéristique commune aux grands textes zens, taoïstes et confucianistes, désarçonnera certainement le néophyte.
La seconde partie ou épilogue, intitulée « Samouraïs, zen et arts martiaux », est constituée de six chapitres. le premier résume quelques histoires ou légendes semble-t-il célèbres au Japon. Les chapitres 2 à 5 racontent brièvement (le plus long ne fait que quatorze pages) la vie de grands samouraïs et shôguns. Tout cela est assez distrayant et instructif.
Par contre, le chapitre 6, intitulé, « Le créateur de l'aïkido », ne compte que trois pages et m'a paru inutile et inintéressant. Il relate une expérience d'illumination shintoïque de Maître Morihei Ueshiba (dont le nom est ici écrit Ueshiba Morihira). Un texte abscons qui n'apprend rien sur l'art martial qu'il a créé, ce qui laisse sur sa faim l'aïkidoka que je suis, et ne fera qu'ennuyer le profane qui ignore tout d'O Sensei et de son budo.
