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3,96

sur 370 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Je ne dis pas, l'idée de départ est intéressante : peindre des corps qui sont exposés dans des galeries ; l'artiste comme maître du vivant.

Et puis une intrigue policière n'est pas pour me déplaire.

Pourtant, les descriptions rédhibitoires des oeuvres d'art humaines m'ont lassées : leurs préparations, leurs épilations, leurs couleurs et leurs douches pour enlever les couleurs, leurs positions.... Au bout d'un moment, ça lasse. C'est comme pour un tableau : la description, c'est bien, mais voir le tableau, c'est mieux. Car dans une description, il ne passe aucune émotion. Or l'art, c'est de l'émotion.

Bon, finalement, je me suis apperçue à la fin que ce qui intéresse le peintre célèbre, ce sont les émotions que le sujet est capable d'exprimer. Et pour cela, il s'approche de la pratique psychanalytique. Mais il est vrai que le peintre est tourné essentiellement sur lui-même. Exit le spectateur.

Et puis l'auteur axe son propos sur le rapport entre art et argent. Les oeuvres ne pouvant être achetées définitivement, elles sont louées à des prix excessifs.

Bref, si le propos de l'auteur est alléchant, sa façon de le traiter m'a déçu.

L'image que je retiendrai :

Celle de Clara attendant de prendre l'avion dans la zone de frêt.
Lien : http://motamots.canalblog.co..
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Dans un XXIe siècle parallèle au nôtre, les toiles de maîtres ont un coeur qui bat. Devenir un tableau fait rêver les jeunes gens qui se pressent aux portes des plus grandes écoles d'art hyperdramatique. Clara Reyes fait partie de ces jeunes talents qui, après un début de carrière prometteur, touche enfin du doigt le rêve de devenir l'un des tableaux de la collection signée par le grand maître van Tysh. Alors qu'elle se prépare à être exposée à Amsterdam, une vague de destructions (comprenez une vague d'assassinats) touche la collection van Tysh. L'Artiste, tel que cet assassin a été surnommé, laisse quelques indices derrière lui et véhicule notamment ce message : seul l'art qui est mort peut être éternel.

Là où les spécialistes (en art comme en littérature) ont vu dans ce roman d'anticipation richesse des références littéraires et picturales, cohérence de l'intrigue et intelligence du propos, je n'ai vu quant à moi qu'une oeuvre à la limite du voyeurisme, un monde déshumanisé et malsain qui m'a beaucoup inquiétée, des descriptions d'oeuvres qui m'ont lassée : leurs épilations, leurs postures équivoques, leur nudité, leurs douches pour se débarrasser de leurs couleurs et de leurs apprêts, leurs traitements médicamenteux...

J'ajouterai à cette critique déjà sévère (oups !) une chute prévisible, compte tenu du peu de choix qu'offre l'auteur.

En bref, un univers qui ne m'a pas parlé. Malheureusement, une petite déception cette fois-ci...

Lien : http://instants-lecture.blog..
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l'idée n'est pas neuve mais intéressante. Par contre, l'histoire a du mal à se mettre en place, c'est confus voire prétentieux. on se noit dans des descriptifs pseudo artistiques et répétitifs. on attend que cela avance puis rien. j'ai abandonné. peut-être que j'y retournerai plus tard.
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Tres mauvais. Froid. Et dégradant pour les femmes, les hommes et l'art en général. Prétentieux aussi.
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