Parce que ce livre, je l'ai très clairement abandonner. Pourquoi ? Tout simplement parce que je trouve l'histoire plate sans intérêt, totalement ennuyante à lire. J'ai essayer pourtant de persister, mais rien à faire, je n'arrivais pas à me plonger dedans donc j'ai préféré arrêter la pour ce roman et bien entendu, c'est un véritable coup de 🎈 le tout premier de l'année. Quoiqu'il en soit ce livre, je le classe dans ma liste: *Pas apprécié*. Et je vais me plonger désormais dans une toute autre histoire.
Commenter  J’apprécie         00
Un univers (la chasse aux loups) inconnu, une époque (les années 1800) quasi inconnu m'ont lentement emporté vers la curiosité. Agréable à lire, un peu long, de réels moments atroces se mêlent à d'émouvants instant de tendresse. Description bien faite au point d'avoir des images devant les yeux à la place des mots du livre...
Commenter  J’apprécie         10
L'amour et la chasse pendant "la terreur blanche".
Gabriel, capturé à Waterloo par les anglais, parvient à s'évader et regagne le château de son père (en Charente limousine). Mais ce dernier a été dépossédé de son bien par Irène d'Orgedeuil qui a recouvré les droits sur cette terre perdue au moment de la révolution.
Scènes de chasse, aventures, événements et rebondissements s'enchaînent.
Un bon roman d'aventure, historico-rural.
Commenter  J’apprécie         00
très beau livre qui donne un autre regard de la Creuse allant jusqu'à me donner l'envie d'aller y faire un tour pour me perdre dans ses forêts
belle histoire de loups avec un parallèle fait entre les pour et anti loups et les pro et anti rois mais aussi sur la capacité de cet animal à s'adapter à l'homme et à anticiper voire à déjouer les actions de ce dernier.
Commenter  J’apprécie         00
La jeune fille poussa une longue plainte. C’était une modulation qui étreignait le cœur, le ventre, chavirait toutes les certitudes, bousculait tous les ordres. Gabriel sentit les poils de ses bras se dresser. Qu’il en avait entendu, pourtant, des plaintes de cette sorte ! Quelque part là-bas, vers l’est, sans jamais savoir de quelles poitrines un souffle si étrange pouvait monter au cœur des forêts d’Autriche, de Hongrie ou de Russie. Charlotte poussa une seconde fois cette plainte qui ressemblait davantage à un sanglot qu’à un cri. Et les yeux réapparurent.- Ne bouge pas et reste à genoux, commanda-t-elle.Elle s’avança vers les ténèbres où brasillaient les étoiles et leur fit face. Gabriel l’entendit prononcer des paroles dans une langue qu’il ne connaissait pas et qui n’avait certainement jamais existé sur terre qu’en des temps où hommes et animaux avaient encore le pouvoir de se parler. La voix se tut. Gabriel vit avec stupéfaction confluer vers lui trois, puis cinq, et enfin huit loups. Le premier, le chef de meute était une louve, puissante, le corsage roux et gris, d’une souplesse qui renvoyait à une image insaisissable, fruit d’un rêve. La louve se retourna pour vérifier que ses compagnons convergeaient en ordre vers cet homme à genoux. À trois mètres de Gabriel, les loups firent cercle.
L'âme creusoise vue par des écrivains