AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Là où tout commença tome 1 sur 2
EAN : 9782384060610
560 pages
Editions Douro (02/05/2022)
4.19/5   26 notes
Résumé :
Et si toute la société s’effondrait à cause d’une catastrophe, que feriez-vous ?
Henri, développeur web et ancien militaire meurtri et désabusé, pensait en avoir terminé avec la barbarie.
Depuis dix ans, il s’efforçait d’effacer les profondes cicatrices laissées par son passé. La force des évènements va le contraindre à renouer avec ses démons…
Après un cataclysme, Henri doit fuir son lieu de résidence avec sa famille afin de les protéger. Guidé... >Voir plus
Que lire après Là où tout commençaVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (25) Voir plus Ajouter une critique
4,19

sur 26 notes
5
15 avis
4
5 avis
3
4 avis
2
0 avis
1
1 avis
C'est de la bombe. le rythme est trépidant et la montée d'adrénaline garantie. Voilà mon premier ressenti à propos de « Là où tout commenca » mais bien évidemment ce n'est pas tout…
Quand le sixième sens d'Henri (ancien militaire) le titille, il est loin d'imaginer ce qui l'attends. Et nous aussi car quand il mène la danse, ça bouge très vite.
Dès qu'une IEM (impulsion électro –magnétique) se produit, il est fin prêt. Avec sa famille et une famille amie les voilà embarqués à bord d'un voilier pour quitter Malte à destination de la France.
Par la suite, Henri et son ami Charles vont partir en Russie chercher la famille de sa femme.
Ce récit oscille entre 24 heures chrono, les meilleurs Tim Willocks et Counter Strike (tant les armes, les termes militaires et les combats sont présents).
Chaos et barbarie sont aux rendez-vous. Pas De quartiers. Une civilisation d'injustice et de pauvreté a généré des monstres. Différents groupes attaquent la population, la main rouge, les barbus . L'armée et la résistance ont de quoi faire. Un livre qui montre jusqu'où l'imagination débridée des bourreaux peut aller.
Mais c'est aussi l'histoire d'une solide amitié, d'une entraide chez les militaires et du respect de la parole donnée.
J'ai beaucoup aimé ces personnages aux nationalités multiples, toutes ces langues parlées au long de l'histoire qui rendent le récit plus crédible. Les dialogues pleins d'humour des deux amis qui allègent l'atmosphère.
Le héros Henri qui se retrouve obligé de prendre le contrôle pour sauver ses proches cache de sacrées blessures enfouies depuis dix ans et qui vont se rouvrir, ses automatismes de militaire vont lui revenir et avec eux son instinct de survie et la violence qui s'ensuit. le personnage est complexe.
Un récit où l'on se rend compte de la fragilité de notre société car à la moindre étincelle, ici il s'agit d'une coupure d'électricité touchant tout l'hémisphère nord. Et le monde devient une gigantesque poudrière. D'un seul coup, c'est tuer ou être tué.
Une réflexion sur notre monde, le matérialisme. Que deviendrions-nous en de telles circonstances ? Comment nous adapterions-nous et réussirions à survivre par nos propres moyens ?
Et nos enfants ? Quel avenir pour eux ?
Alex Speri est un écrivain au style fluide et direct , à l'aise dans toutes les situations qu'il évoque. Il a des connaissances dans de nombreux domaines ce qui lui permet d'étoffer son récit de multiples détails. Ce premier roman est un succès à mon sens. J'espère juste qu'il n'aura pas réussi à me rendre parano car certains passages pourraient bien advenir.
Un très, très grand merci à Alex Speri pour ce SP via Simplementpro.
Ce COUP DE COEUR sort le 2 mai. N'hésitez pas.
Commenter  J’apprécie          4323
Je n'ai pas la vocation d'un chroniqueur qui s'écoute parler en dénigrant en cinq minutes l'oeuvre qu'un artiste a mis des mois à produire. Je préfère la critique positive. L'avis subjectif constructif. C'est moins facile et moins spectaculaire, mais j'ose espérer, empreint de plus de bienveillance.
Pourtant avec ce roman, même en étant subjective et bienveillante, je vais avoir du mal à être sympathique et positive. Et je suis allée jusqu'au bout ! Si si. J'ai espéré jusqu'à la fin une amélioration, un scénario moins pire, un allègement des poncifs. Mais j'ai attendu en vain. Peut-être ce genre de road trip post apocalyptique a-t-il un public. Ce qui est certain, c'est que je ne suis pas dans la cible.
Imaginez Rambo juste après l'effondrement de la civilisation. Voici comment fonctionne son cerveau : il protège sa famille, dont sa femme qui est une blonde sans cervelle, son beau-frère un abruti, et pour le reste de l'humanité, il tire et il réfléchit après. Son meilleur pote est son compagnon de route et il retrouve à plusieurs reprises des gens qu'il connait à 2000 km de chez lui, par hasard, en pleine fin du monde. C'est quand même bien fichu non ?
On a une description de modèles d'armes comme si on faisait l'inventaire d'une armurerie, des noms de villages entre le sud de la France et la Russie, qui vous font réviser votre géographie, y compris en cyrillique, à regretter qu'on ne puisse aller se promener en Russie en ce moment...
Il est épatant notre héros : il a compris avant tout le monde que le monde s'effondrait et donc il a eu le temps de passer son permis bateau. Il trouve du matériel militaire et de l'essence comme on trouve des fougères dans un sous-bois au printemps. Il ne se lave pas beaucoup mais il utilise la technique de retournage des sous-vêtements. Il mange et il dort quand il peut. Bah oui, vous faites quoi vous avant de prendre la route pour 2000 km en pleine fin du monde ? Vous ne dormiriez pas un petit peu ? Eh bien non. Pas notre héros. Lui il passe sa journée à couper du bois et il part ensuite à la tombée du jour.
Il est blessé, mais il sait continuer à avancer malgré la souffrance (on entendrait presque Silvester Stallone crier « Adrienne !!!). le monde ne comprend pas toujours sa folie, mais c'est le monde qui est devenu fou. Poncif, poncif, quand tu nous tiens…
Au-delà du scénario abracadabrant, l'écriture n'est pas folichonne non plus… Les tournures de phrases sont maladroites, pas fluides, avec quelques fautes résiduelles. L'une d'entre elles a eu le mérite de me faire sourire : « ces gens sont morts de fin ».
Et s'il y a de l'action, il n'y a quasiment pas l'ombre d'une analyse psychologique de qui que ce soit. A part les instincts primaires de notre héros et ses souvenirs de l'armée qui expliquent (ou pas) son comportement de Rambo, les autres sont des silhouettes sans aucune épaisseur.
Pour couronner le tout, on a du sanguinolent et des scènes horribles, à faire passer Walking Dead pour un dessin animé destiné aux enfants. le pire dans tout ça c'est que comme tout n'est pas résolu à la fin, il pourrait y avoir une suite…
J'ai l'impression qu'il faudrait vraiment que l'auteur s'entoure de personnes qui le conseillent et le corrigent avec plus de conviction
Alors, faut-il le lire ? Non. Navrée d'être aussi intransigeante, mais lisez autre chose. Je recommande le feu de Dieu de Pierre Bordage, le Monde enfin de Jean-Pierre Andrevon, la Route de Cormac McCarthy, Juste après la vague de Sandrine Collette, Dans la forêt de Jean Hegland.
Commenter  J’apprécie          178
Effondrement
Petit avertissement en préambule : ce livre est ultra violent et n'est vraiment pas pour les âmes sensibles.
Notre société (occidentale, dite moderne) est fragile. Un rien, ou presque, pourrait en provoquer l'effondrement. Ce rien, c'est une méga éruption solaire provoquant une EMC (éjection de masse coronale, soit une sorte de tempête de particules à la surface du soleil) dont la conséquence est simple mais sans appel : tout s'arrête : la lumière, les voitures, les avions et tout ce qui comporte le moindre élément d'électronique, c'est à dire dans notre société, tout ou presque. Plus de moyen de transport, plus de moyen de communication. le réseau téléphonique, fixe ou mobile, est hors service, plus de télévision, de radio, plus aucun moyen pour s'informer... le retour à l'âge de pierre. A Malte où sont installés Henri et sa famille, le chaos survient en quelques heures : pillages, violences… A Malte, l'eau douce provient de la désalinisation de l'eau de mer : or, sans électricité les usines ne fonctionnent plus. Henri, ancien militaire de l'Armée Française, comprend rapidement qu'il n'y a qu'une issue : quitter l'île. Avec sa femme, sa fille et leur chat, un couple d'amis, leur fillette et leur chien, ils s'embarquent sur un voilier espérant rallier le sud de la France, puis la Bourgogne où vivent les parents d'Henri. S'ils y parviennent, Henri promet à Irina, son épouse, d'aller chercher ses parents et sa famille en Russie.
La première partie est plutôt réussie, les préparatifs du voyage (vous y apprendrez ce qu'il faut absolument emporter) la « croisière » jusqu'en Languedoc, l'arrivée en France où ils retrouvent Charles l'ami d'enfance d'Henri. Les voitures ne roulent plus, ils envisagent donc de faire les 700 kilomètres qui les séparent du lac des Settons à vélo… Je vous laisse imaginer la faisabilité avec deux petites filles et deux animaux… Là le livre bascule quelque peu dans l'invraisemblance. Fort heureusement, le passé de militaire d'Henri va bien l'aider, notamment à obtenir un véhicule de l'Armée. La seconde partie est plus inégale et surtout comme je l'ai dit en préambule, ultra violente. L'équipée va être confrontée au fur et à mesure à des hordes de barbares et de paramilitaires « La Main Rouge » qui ont pris le pouvoir un peu partout en Europe qui rivalisent en exactions de tous genres (viols, meurtres gratuits, exécutions sommaires, déchaînement de violence, charniers à ciel ouvert…). L'auteur ne nous épargne rien. Autre bémol, le volet « militariste » : après avoir lu ce bouquin, vous saurez tout sur les armes, leur fonctionnement, laquelle choisir en fonction des circonstances ! Enfin, j'ai moins aimé le côté répétitif de l'intrigue, et un certain nombre de coïncidences qui vont jalonner le parcours d'Henri et des siens (par exemple, où qu'il soit, Henri va toujours « tomber » sur un ancien camarade de l'Armée, ou sur une connaissance… Bien pratique n'est-ce pas ?).
Cela dit, ce roman très réaliste reste un bon page-turner dans le genre post-apocalypse, qui fait aussi réfléchir sur notre société et sa dépendance aux technologies modernes. Sur le même thème et avec un traitement différent, je vous recommande Une seconde après de William R Forstein, bien flippant aussi…
Je vous quitte, il faut que je prépare mon sac de survie et que j'investisse dans un arsenal, une éolienne et que je fasse quelques réserves !
Merci à NetGalley et aux Editions Douro pour cette découverte.
#Làoùtoutcommença #NetGalleyFrance
Commenter  J’apprécie          120
Je tiens à remercier Alex Speri de m'avoir permis de découvrir son tout premier roman, un premier c'est important c'est un peu comme un bébé.
C'est un roman catastrophe post apocalyptique. C'est tuer ou être tué.
Nous faisons la connaissance d'Henri ancien militaire reconverti dans l'informatique, vivant à Malte avec sa famille, son épouse russe et sa petite fille Katia. Il va sentir venir un grand danger et va se préparer ainsi que sa famille au pire. Et le pire va se produire. Après le covid qui aura fait de nombreux morts et confiner toute la planète ou presque, les réserves de pétroles vont s'effondrer et une IEM va plonger l'humanité dans un blackout total. Nous voici dans le bain dès le début du livre, ça ne va pas être une promenade de santé.
L'auteur à travers ce road trip d'un genre particulier interpelle le lecteur sur les conséquences de l'effondrement d'une société, du changement radical des comportements humains, de l'instinct de survie qui va se développer au fil du temps, du fait que l'appât du gain et du pouvoir est indéboulonnable nonobstant les événements terribles qui se déroulent. Les gens doivent apprendre à vivre sans électricité, sans eau courante, sans réseau, sans transport, se mettre ou se remettre à la chasse, à la pêche, en résumé ils doivent s'initier à la survie.
Henri va tout faire pour retrouver sa terre natale et mettre sa famille à l'abri. Dans un premier temps on va les suivre de Malte à la Bourgogne avec un couple d'amis sur un bateau. Une fois arrivés à bon port Henri va décider de partir en Russie récupérer sa belle famille avec l'aide de son ami d'enfance Charles.
C'est là que le road trip prend tout son sens, c'est comme suivre une carte routière ou un de ces films de guerre où pour montrer l'avancement des troupes le metteur en scène fait avancer une grosse punaise rouge sur une mappemonde.
L'auteur y décrit toutes les horreurs possibles et inimaginables, ça pourrait paraître trop mais vu que c'est un livre post apocalyptique ça se comprend et colle parfaitement aux messages et aux émotions que l'auteur a véhiculé. Je n'ai pas trouvé ces descriptions violentes gratuites, je dirais qu'elles sont une sorte de terreau pour le récit. C'est une question de sensibilité. L'écriture très ordonnée, hachée avec des phrases courtes, des dialogues acérés renforcent cette partie martiale, limite comme un rapport militaire. Cependant le monde dans lequel évoluent nos personnages est très fouillé, bien construit. L'auteur a fait beaucoup de recherches sur la géographie des lieux, sur l'armement et les véhicules militaires, peut être un peu trop car le récit se trouve saccadé, déshumanisé, mais c'était peut être la volonté de l'auteur.
L'histoire est captivante même si le parcours est répétitif dans le sens où c'est tous les jours la même chose. Beaucoup de passages atroces qui ne sont pas sans rappeler le conflit actuel en Ukraine (entre autre). C'est un récit très visuel de par la minutie des descriptions, on vit le conflit de l'intérieur, et ça accentue cette idée de malaise et d'oppression.
La main rouge est intrigante, on en découvre un peu plus au fur et à mesure, j'aurais aimé que ce soit plus développé, je suis restée sur ma faim.
Quelques petits bémols cependant, certainement dû au fait que c'est un premier ouvrage : les personnages sont intéressants mais je ne me suis pas vraiment attachée à eux, sauf peut être Charles à qui l'auteur a su donner une aura de douceur et de calme pour tempérer les ardeurs d'Henri.
Une petite chose qui m'a gênée c'est que malgré tous les kilomètres parcourus, tous les pays traversés, les dangers à chaque coin de route, tout le monde s'en est sorti indemne ou avec des bobos sans extrême gravité, non pas que j'aurais voulu des morts parmi les protagonistes loin de là. Pire Henri n'a fait que rencontrer des visages connus, n'a fait que s'arrêter à des stations essence pleines, des boutiques remplies, je trouve que ça a ôté de la crédibilité à l'ensemble. Mais attention j'ai beaucoup aimé la lecture et ça m'a donné envie de lire le tome suivant.
En tout cas pour un premier c'est pas mal du tout et je ne peux qu'encourager l'auteur à continuer sur sa lancée.
Commenter  J’apprécie          20
Quand l'auteur m'a proposé de découvrir ses romans postapocalyptiques, je n'ai pas hésité longtemps, car le résumé m'a tout de suite intriguée. Il nous emporte dans un futur pas si futuriste que cela où le monde part à la dérive après un cataclysme. Beaucoup de livres ce sont déjà intéressés à ce qu'il adviendrait de notre monde en cas de catastrophe (virus, dérèglement climatique, etc.), aussi pourquoi en lire un de plus me direz-vous ?

Eh bien, parce que l'auteur nous emmène vers un cataclysme plus original que les autres et vers des conséquences qui sont très réalistes, peut-être un peu trop pour notre santé mentale je dirais. Car ici point de zombies, mais juste des êtres humains qui partent en vrille et qui montrent toutes les horreurs dont ils sont capables pour survivre envers et contre tout.

Dans ce contexte des plus effrayants, nous suivons le parcours de Henri et de ses proches. Bien décidé à les mettre à l'abri, ils se lancent dans un parcours des plus périlleux qui va les mettre face à face avec l'horreur à l'état pur. Réussiront-ils à survivre face à tout cela ? Rien n'est moins sûr… Mais si vous êtes prêts à vous lancer dans l'aventure à leurs côtés, je ne peux que vous conseiller de découvrir ce roman qui est palpitant du début à la fin.

L'auteur a extrêmement bien pensé l'évolution de son fil rouge, tellement bien que cela en devient totalement effrayant… J'ai vraiment la sensation que nous pourrions vivre cela un jour et je dois dire que cela m'a bien angoissée ! Certains trouveront que cela va trop loin, personnellement, je suis convaincue que cela pourrait aller encore plus loin vu ce dont les hommes sont capables…

Je me suis rapidement attachée aux personnages et j'ai été touchée par leur lutte pour la survie. Henri m'a particulièrement touchée car il cache un passé des plus sombres et qui va être largement réveillé par tout ce qu'il se passe. S'il est plein de ressources, imaginer tout ce qu'il a vécu et vivre avec lui les horreurs auxquelles il doit faire face ne peut pas laisser indifférent et en refroidira plus d'un !

En bref, ce premier opus vaut largement le détour et je ne peux que vous conseiller de plonger dans cette histoire effrayante et palpitante à la fois. Personnellement, je me réjouis d'avance de lire le deuxième opus !
Commenter  J’apprécie          60

Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
L'un des militaires prononçait déjà les trois sommations d'usage.
Il avait conscience qu'il valait mieux décamper. En redescendant la rue en direction de l'ambassade, il songea. Ces enfoirés ne sont peut-être pas les meilleurs tireurs, mais ils sont tendus comme des ficelles de string...
Henri aimait les expressions imagées, et il était en mesure de reconnaître la peur du combat, celle qui faisait faire des conneries...

Excepté pour la France et la Belgique, une promotion a été crée pour les expats avec la librairie Lireka.
Commenter  J’apprécie          140
_ Qu'est-ce que tu veux dire ?
_ Hier soir, je suis allé sur le toit de ma maison après avoir remarqué que plus rien d'électronique ne fonctionnait et j'ai vu une aurore boréale.
_ Une quoi ?
_ Tu m'as bien entendu, une aurore boréale.
_ À cette latitude... tu te fous de moi ! protesta Max.
_ Pas du tout. Les aurores boréales sont des indices visuels d'une ionisation de la haute atmosphère, cela signifie que la terre a été bombardée par un afflux de particules chargées. On a retrouvé des traces d'aurores boréales de grande ampleur visibles en Italie, Pline l'Ancien les avaient évoquées.
Commenter  J’apprécie          120
Les politiques, ils les considérait désormais comme des parasites, qui suçaient l'argent et appauvrissaient les gens Ce peuple qu'il avait juré de défendre et de protéger était forcé d'entretenir une classe de parvenus qui avaient oublié la nature même de leur fonction Ils étaient pourtant censés servir le peuple Pas l'inverse
Il repensa a une citation de Lincoln dans son allocution de Gettysburg : À nous de décider que le gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple, ne disparaitra jamais de la surface de la Terre. »
Commenter  J’apprécie          132
Henri stoppa le véhicule et demanda :
_ Charles, t'as un truc pour péter la serrure du top-case ?
_ Ouaip !
Il sortit alors un pied-de-biche et fit sauter les serrures des deux top-cases.
_ Qu'est-ce que tu ferais sans ton Charlie... plaisanta-t-il.
_ Je ne sais pas, je me serais sans doute moins murgé dans ma jeunesse.
_ Cest pas faux !
Commenter  J’apprécie          191
_ Des armes chimiques ? Qui a bien pu utiliser ça ?
_ Presque toutes les forces armées en ont...
_ Putain, c'est quoi ce bordel ?
_ Un Nouveau Monde... en plus moche, plus violent, plus dangereux...
Commenter  J’apprécie          162

autres livres classés : malteVoir plus
Les plus populaires : Imaginaire Voir plus


Lecteurs (55) Voir plus



Quiz Voir plus

Là où tout commença : Le Quiz

Quel est l'évènement déclencheur de l'apocalypse ?

Une pénurie de pétrole
La Main Rouge
Une tempête solaire
Le changement climatique

12 questions
1 lecteurs ont répondu
Thème : Là où tout commença de Alex SperiCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..