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Maus, un survivant raconte tome 1 sur 2
EAN : 9782080660299
159 pages
Flammarion (04/01/1994)
4.54/5   724 notes
Résumé :
Maus raconte la vie de Vladek Spiegelman, rescapé juif des camps nazis, et de son fils, auteur de bandes dessinées, qui cherche un terrain de réconciliation avec son père, sa terrifiante histoire et l'Histoire. Des portes d'Auschwitz aux trottoirs de New York se déroule en deux temps (les années 30 et les années 70) le récit d'une double survie : celle du père, mais aussi celle du fils, qui se débat pour survivre au survivant. Ici, les Nazis sont des chats et les Ju... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (115) Voir plus Ajouter une critique
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Je suis un peu tard avec mon billet de "Maus" sur Babelio, où, rien que pour le premier volume, 92 lectrices et lecteurs m'ont précédé. Il est vrai qu'à part "Astérix", parce que c'est marrant, spirituel et ingénieux et "Tintin", par pur patriotisme et chauvinisme, je ne lis que très rarement des BD. Ainsi, j'ai fait une exception pour la BD "Modigliani: Prince de la bohème" pour 2 raisons l'artiste peintre lui-même bien entendu et l'auteur, Laurent Seksik, que j'apprécie beaucoup et ... mon billet remonte déjà à Noël 2017.

En revanche, j'ai lu, je crois, une montagne de livres sur le nazisme et sûrement pas par une espèce de nostalgie, mais carrément tout le contraire : mon incompréhension qu'un tel régime horrible ait pu exister pendant 12 longues années en Europe occidentale, malgré son énorme civilisation et culture.

L'oeuvre d'Art Spiegelman, une BD sur l'histoire de son peuple, sa famille et son père Vladek pendant cette période historique épouvantable m'a stupéfié et estomaqué. Je dois admettre qu'il m'a fallu quelques pages à équilibrer mes sentiments face aux chats nazis et souris juives. Mais, progressivement ce sont l'originalité et l'art d'Art Spiegelman qui vous font réaliser que vous tenez entre vos mains un chef-d'oeuvre.

Le soin de l'exactitude historique égale le soin des dessins et c'est probablement la raison pour laquelle cet ouvrage est si unique. Pas surprenant au demeurant qu'il ait, depuis sa parution en 1986, inspiré pas mal d'admirateurs à créer leur "Maus".

Art (né Arthur) Spiegelman a été un des 121 créateurs et célébrités à répondre favorablement à la demande de Maria Popova d'écrire une brève lettre aux jeunes lecteurs dans laquelle il expliquait quelle lecture a façonnée son destin. Et Artie, comme l'appelait son père, original comme toujours, l'a fait sous forme de rébus. À côté des rennes - un souvenir de la Suède où il est né en 1948 - et autres animaux on voit en caricature le dessinateur et son épouse française, Françoise Mouly (née à Paris en 1955 et également artiste et créatrice), précédé d'un grand coeur rouge, comme signature (Voir : "A Velocity of Being", page 210).

Après "Mon père saigne l'histoire" j'ai hâte de lire le Tome 2 : "Et c'est là que mes ennuis ont commencé".
J'aurais pu me commander tout de suite la version intégrale, mais comme j'étais, bêtement, pas trop sûr......
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Art Spiegelman aura beau crier sur tous les toits qu'il ne fait pas des bandes dessinées mais des « romans graphiques », aka les bandes dessinées pour les snobs qui trouvent que les bandes dessinées sont trop populaires et pas assez élitistes pour leurs palais de gourmets, ses œuvres appartiennent bel et bien à l'art séquentiel ^^
Dans les années 1980 l'auteur mêle au récit de son père Vladek qui tient autant de la biographie que du témoignage son propre récit qui tient à la fois de l'autobiographie et de l'autofiction vu qu'il n'hésite pas à repousser le 4e mur en interrogeant les lecteurs sur la manière dont il a réalisé son oeuvre et sur la manière dont il agit et interagit avec son père qui il faut bien l'avouer n'est pas facile à vivre... Il réalise ainsi l'histoire d'un survivant de la Shoah entrecoupée de tranches de vie centrées sur une difficile relation entre un père et un fils laissés en vis-à-vis par le suicide en mai 1968 d'Anja épouse de l'un et mère de l'autre et elle aussi survivante de la Shoah. Avec un tel matériel de base, difficile d'en tirer un récit qui ne soit pas poignant ! (et qui pour des raisons que la raison ignore, à moins qu'il ne s'agisse d'un humanisme universel qui soit commun aux deux oeuvres, j'ai eu les mêmes émotions qu'avec le film de Jean Renoir intitulé "La Grande Illusion")

Dans la 1ère partie intitulée "Mon Père saigne", Vladek juif polonais raconte sa rencontre et son mariage avec Anja, son entrée dans très riche famille des Zylberberg, la naissance de leur fils Richieu qui provoque une dépression post-partum chez Anja et amène le couple en Tchécoslovaquie mise en coupe réglée par l'Allemagne nazie, puis son incorporation dans l'armée, son passage de courte durée sur le front, et son incarcération dans les camps de prisonniers de la Wehrmacht. Il finit par rentrer chez lui sain et sauf pour découvrir que désormais tous les Juifs sont prisonniers : les habitants juifs sont ghettoisés, ratonnades, pogroms et rafles deviennent des menaces quotidiennes alors que les Allemands encouragent la délation (et force est de constater que les Polonais ne se font pas prier)... Entre rumeurs et réalités, on essaie de survivre, de se cacher ou de s'enfuir (voire de se suicider pour ne pas offrir aux Nazis la satisfaction d'être tués) : l'argent permet de gagner du temps, mais on ne sait jamais si on a affaire à un kapo, un collabo ou un juste (c'est la grande force du récit que de mettre en scène toute le palette des émotions humaines)... Malgré une ruse sacrément culottée, la chance finit par manquer à Valdek, et lui et Anja finissent pas se faire attraper par les chiens de garde du nazisme ! To Be Continued !!!


Les prescripteurs d'opinions présentent tous "Maus" comme un chef-d’œuvre voire le seul chef-d’œuvre de la bande dessinée (qui pour information a été auto-édité pour pouvoir être publié). Mais moi je me superméfie du monde de l'entre-soi ou une œuvre est encensée par les médias prestitués parce qu'elle reconnue et étudiée par l'université et qu'elle est reconnue et étudiée par l'université parce qu'elle est encensée par les médias prestitués (et on voit bien que certains ont la carte ou n'ont pas la carte en fonction de leur statut social, culturel et intellectuel : suivez mon regard)...
- les graphismes sont simples voire basiques, or l'auteur est capable de graphismes autrement plus détaillés sinon autrement plus stylés... C'est donc un choix assumé que de dessiner dans les années 1980 comme dans les strips comics de l'entre-deux-guerre, mais dans mon souvenir "Tintin au pays des soviets" était mieux réussi... Du coup il s'échine à donner de l'expression à ses souris alors que le style graphique choisi ne se prête absolument pas à l'expression des sentiments...
- le choix de l'anthropomorphie est-il pertinent ? Si c'est une mise à distance par rapport au sujet, est-elle pour les lecteurs ou pour l'auteur ? La tradition est riche dans la culture anglo-saxonne depuis Rudyard Kipling et Walt Disney n'a fait que s’inscrire dans cette tradition qui a acquis ses lettres de noblesse avec "Watership Down" de Richard George Adams. Les Allemands sont tous des chats qui aiment jouer avec leurs proies avant de les tuer, les Juifs sont tous des souris qui se cachent et s'enfuient... Mouais c'est quand même sacrément manichéen, et puis avec Polonais = cochons, Français = grenouilles, Anglais = poissons, Américains = chiens, Suédois = rennes, et Tziganes = papillons on est au royaume des clichés. Alors on a quelques jeux d'identité avec Françoise Mouly qui passe de grenouille à souris en se convertissant au judaïsme, le Juif allemand qui passe de chat à souris, ou le fait qu'il suffit de porter un masque de cochon pour que pour le monde vous prenne pour un Polonais... Si j'étais vachard je dirais qu'une telle simplification correspond ou à la vision communautariste des Américains ou à la vision du monde raciste des Nazis ! De plus Vladek s'exprime comme Maître Yoda dans la saga Star Wars : c'est pénible et cela n'apporte aucune plus-value positive au récit...
- quel message veut faire passer l'auteur avec son père caricature du juif avare et cupide qui s'avère aussi raciste que les racistes qui ont détruit sa vie ? Art Spiegelman veut faire de la littérature du réel fusse-t-elle peu reluisante, mais passé un cap je me demandais si Vladek disait vraiment la vérité... Son histoire d'amour est invalidé par le fait qu'il a épousé Anja par appât du gain, alors que la WWII éclate il s'inquiète uniquement pour son business, il voue aux gémonies capos et kombinators mais fricotent avec eux du début à la fin du drame, et avec son habilité à sortir de son chapeau argent, bijoux et produits de premières nécessité jusqu'au bout du bout je me suis demandé s'il n'avait pas racketté ses coreligionnaires pour se les approprier... (et je passe sur certains agissements et certains comportement qui aurait fait le bonheur de la propagande antisémite des Nazis)
- les interrogations de l'auteur sur sa propre œuvre parasitent le récit, et on entre dans le voyeurisme / exhibitionnisme quand il s'épanche sur ses passages chez le psychiatre qui font la part belle au suicide de sa mère, son sentiment d'infériorité par rapport à son frère fantôme Richieu et ses relations conflictuelles avec son père Vladek qui pourrait être le pendant masculin de Tatie Danielle... Tous ces passages étaient-ils vraiment nécessaires au récit ?

PS : les mécanismes de la politique d'épuration ethnique nazie ressemble tellement aux mécanismes de la politique d'épuration économique yankee que j'ai très peur pour l'avenir... Jack Welch l'übermanager de General Electrics vénéré dans les écoles du commerce du monde entier pensait et pense toujours qu'il faut éliminer les 20% les plus faibles qui sont un coût nuisant à l'efficacité et à la compétitivité, qu'il faut exploiter jusqu'à la corde les 60% les plus valides pour faire un maximum de bénéfices (parce que pour les homines crevarices qui parasitent l'humanité les êtres humains ne sont rien d'autre qu'un coût à réduire, à optimiser ou à éliminer), et qu'il faut promouvoir les 20% les plus forts pour jouer le rôle de capos devant maintenir le système sous contrôle... Sauf qu'à ce petit jeu là, il y a toujours 20% à éliminer et que de fil en aiguille on aboutit à une extinction totale ! Un jour le traître à l'humanité qui a troqué le terme « directeur du personnel » pour celui de « directeur des ressources humaines » sera jeté du haut de la Roche Tarpéienne et ce sera bien fait pour lui !!! Et évidemment ça ne choque personne parmi la ploutocratie mondialisée qui nous dirige, à commencer par Emmanuel Macron le président des riches autoproclamé héritier de cette sorcière de Margaret Thatcher...
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Moi qui n'ai pas trop le moral en ce moment, je ne sais pas pourquoi 'ai été attirée vers de telles lectures (car j'ai lu ce premier tome en connaissance de cause et compte bien lire le second juste derrière) mais il fallait que le le lise, une sorte d'urgence absolue, comme celle qu'à Vladek Spiegelman de raconter son histoire à son fils, sur demande pressante de ce dernier. Lui aussi doit savoir. Certes, L'Histoire avec un grand H, il la connait, comme nous tous d'ailleurs mais c'est celle de ses parents qu'il veut connaître, celle avec un petit h comme tant d'autre de milliers de juifs qui ont tous connu un destin similaire ou presque en se fondant dans la grande Histoire...sauf que certains s'en sont réchappés (heureusement) tandis que de nombreux autres (trop nombreux d'ailleurs) n'ont pas eu cette chance.

Bref, déjà 96 critiques sur cet ouvrage, donc je ne vais peut-être pas m'attarder trop sur le sujet mais pourtant, il faut que l'on en parle encore et encore. Ici, l'on joue au jeu du chat et de la souris (le chat pour les nazis et le juif pour la souris) sauf que c'est beaucoup plus profond que cela car là, il n'est pas question de jeu mais de passation de mémoire ! Ici, deux histoires s'entremêlent, le renouement du dialogue entre un père et son fils et celle de ce qui s'est passé pour Valadek et son épouse Anja durant la Seconde Guerre mondiale, dans une Pologne déchirée où il ne faisait alors pas bon d'être juif car ce dernier étant la personne à abattre ou à dénoncer !

Un graphisme à couper le souffle, tout en noir et blanc (ce qui rajoute un peu de l'horreur à celle déjà terrifiante de l'Histoire et une histoire qui est loin d'être singulière (bien qu'elle le soit, singulière car unique mais qui est ô combien éprouvante pour tout lecteur je pense !).
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Vladek Spiegelman est un rescapé juif polonais des camps nazis. L'homme est acariâtre et autoritaire et communique difficilement avec son fils. Pourtant il finit par raconter à Art sa terrible expérience. de ce récit nait Maus, une bande dessinée où les juifs sont des souris, les nazis des chats et les Polonais des cochons...

Des animaux pour raconter l'inracontable : les nazis qui ne considèrent pas les juifs comme des êtres humains et de là s'autorisent, telles des bêtes féroces, à les exterminer. Voilà le passé que le fils a besoin d'entendre de la bouche de son père. Une passation de mémoire dont Art a fait une oeuvre récompensée par le prix Pulitzer — une oeuvre pour survivre au survivant, pour que le monde n'oublie jamais de quoi sont capables les hommes.
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Maus est une bande dessinée inoubliable ne serait-ce que pour son sujet principal dans ce premier tome: la traque des Juifs par les Nazis .

"Un survivant raconte" est aussi une mise en abîme très réussie. A travers laquelle Spiegelman nous fait partager sa grande difficulté pour obtenir le témoignage de son père rescapé de tout. Restituer ce récit fut éprouvant pour ce fils car c'est un père acariâtre et autoritaire qu'il faut faire parler au quotidien. Ce qui prête le lecteur à parfois sourire d'un tel fichu caractère.

L'aspect ardu de la collecte d'informations ("de matière") pour sa bande dessinée est vue en parallèle avec le récit des événements de l'époque tragique.

Le choix de représenter les êtres en animaux- les Juifs en souris, les Polonais en cochons et les Nazis en chats- ne diminue pas le message qui transparaît: l'obligation de ne pas oublier ce qu'il s'est passé.

Cette bande dessinée devient, malgré le jeune auteur qui l'a faite alors, un objet de transmission de mémoire, non seulement pour lui-même mais pour nous tous!
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Citations et extraits (45) Voir plus Ajouter une citation
- Ils ont gardé ma mère. Elle a été emmenée avec tous ceux qui allaient être déportés, dans quatre immeubles qui avaient été vidés pour faire une sorte de prison. Ils y ont mis des MILLIERS de gens. Ils étaient si nombreux que certains sont morts étouffés. Rien à manger... Pas de toilettes. C'était TERRIBLE ! D'autres ont sauté par les fenêtres pour mettre plus vite fin à leur malheur.
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Un officier s'est faufilé jusqu'à moi :
"Planque-toi mieux, tu vas te faire tuer. "
"Ton fusil est froid ! Pourquoi tu ne tires pas ? "
Il répondit :
" Je ne voyais pas sur quoi tirer ..."
"...Mais j'ai fait un trou plus grand et j'ai tiré ! "
Après, les balles sont revenues vers moi.
J'ai creusé encore ma tranchée . Mais j'ai arrêté de tirer.
"Tuer quelqu'un ? Qu'est ce qui m'y obligeait ?"
Mais j'ai regardé dans mon fusil et j'ai vu .... un arbre !
Et l'arbre bougeait , vraiment !
"Je dois avoir des visions . Est-ce qu'un arbre court ? "
Bon , si ça bougeait , je devrais tirer !
"Aahhh !!! "
Il a levé un bras pour montrer qu'il était blessé. Pour se rendre.
Mais j'ai continué à tirer et tirer, jusqu'à ce que, à la fin, l'arbre s'est arrêté de bouger. Qui sait, sinon il pouvait me tuer !
Deux heures après, on s'est battus et après, les nazis sont passés de notre côté de la rivière .
"Debout "
"Donne moi ton fusil ? "
"Il est chaud ! Tu nous tirais dessus "
" Mon commandant m'a obligé à tirer. J'ai seulement tiré en l'air
J'ai répondus en allemand, alors son copain l'a empêché de me frapper
Ils m'ont emmené où il y en avait d'autres comme moi, des prisonniers de guerre.
Et tous ceux qui n'étaient pas blessés sont allés de leur côté de la rivière pour chercher les soldats morts .
Page 49 à 51
Déborah C.
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- Ton fusil est froid, pourquoi tu ne tires pas ?
Je ne voyais pas sur quoi tirer mais j’ai fait un trou plus grand et j’ai tiré. Après, les balles sont venues sur moi. J’ai creusé encore ma tranchée, mais j’ai arrêté de tirer. Mais j’ai regardé dans mon fusil et j’ai vu… un arbre ! Et l’arbre bougeait, vraiment ! Bon, si ça bougeait, je devais tirer ! Il a levé un bras pour montrer qu’il était blessé. Pour se rendre. Mais j’ai continué à tirer à tirer et tirer, jusqu’à ce que, à la fin, l’arbre s’est arrêté de bouger. Qui sait, sinon il pouvait me tuer.
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"_Alors comment on s'en sort ?
_J'ai fait des dons pour la Gemeinde, l'Organisation de la Communauté Juive, et Wolfe y travaille...alors on a un peu plus.
_Et puis, il y a le marché noir. Avec de l'argent on a toujours ce qu'on veut !"
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-- Je veux toujours faire ce livre sur toi... celui dont je t'ai parlé...
sur ta vie en Pologne et sur la guerre...
-- Ma vie, il faudrait beaucoup de livres. Et qui veut entendre des histoires pareilles ?
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À l'occasion de l'exposition consacrée à l'oeuvre de Chris Ware, la Bpi propose une rencontre qui évoquera le travail de l'artiste et ses sources d'inspiration dans l'histoire de la bande dessinée. Si Chris Ware a une connaissance fine de l'histoire de la bande dessinée, de Rodolphe Töpffer – qu'il considère comme l'inventeur de la BD au milieu du XIXe siècle -, à Charles Schulz, Art Spiegelman ou Robert Crumb, il observe aussi avec attention la jeune création contemporaine.
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