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Erreur... Grave erreur. Ayant oui dire de Jacques Spitz qu'il était un des précurseurs de la science fiction française, un "père" de Barjavel, en quelque sorte, je fonce ! et entame par son premier opus : "la croisière indécise"... Je m'embarque ! et à peine appareillé, je rame... Et je peine, et je m'épuise ... J'arrive au bout d'une croisière pénible avec cette impression de déjà vu. Eurêka : renseignements pris, avant sa période SF, le monsieur est passé par une première phase inspirée du surréalisme... Ouf ! Non seulement je suis arrivé au bout du bouquin (je n'abandonne que rarement), mais il se confirme que le surréalisme ne m'interresse que très moyennement... |