Voici ce que j'appelle un bon polar détente. L'avantage avec
Staalesen, c'est qu'il n'y a pas d'hémoglobine en excès, ni de scène gore et que le tout, rondement mené, avoisine les trois cents pages.
Comme d'habitude, l'auteur en profite pour nous lever un coin du voile sur un des pans de l'évolution de son pays, la Norvège. Ici, les plates-formes pétrolières et tout l'argent, et forcément l'argent sale, que cela accompagne.
Pur moment de lecture de vacances. Mais cela fait du bien aussi.
Commenter  J’apprécie         150