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Série Parker (Richard Stark) tome 17 sur 24

Jean Esch (Traducteur)
EAN : 9782743608729
266 pages
Payot et Rivages (16/11/2001)
3.8/5   28 notes
Résumé :
Parker est un cambrioleur au charme trouble, qui refuse de mourir en effectuant son art. Il n’a pas de prénom, et s’il tue c’est par nécessité. Le voici en train de voler un demi-million de dollars à un prédicateur.
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Critiques, Analyses et Avis (6) Voir plus Ajouter une critique
parker pourrait

être le digne descendant
des voleurs comme Arsène lupin, fantonas, ou diabolik. d, ailleurs avec diabolik il ont beaucoup de points communs, ils sont sortis tout les deux dans les années 60, ils sont tous les deux
des cambrioleurs assumé, et on un code de l, honneur qui leur fait voler que les riches.diabolik vole les riches par gout du
défi,et réinvesti son argent dans tu matériel pour faire de nouveaux coups.
diabolik a la différence de parker n'a que
peux d, amis, et il partage sa vie avec Eva,
sa compagne.parker lui fregente plus la
société et les femmes. mais ils sont tous les deux méticuleux dans leurs casses,
si diabolik garde ses trésors dans ses différents refuges , parker lui aime le luxe, et fregente les soirées mondaines.
et tout les deux sont ennemis d'une société qui n'est pas plus juste qu'eux.
parker peut faire des gestes désintéressé
comme dans parker gentleman ou il va
venir en aide à des pensionnaires d'une
maison de retraite qu'un promoteur veux chasser pour construire un complexe immobilier avec piscine et thalasso a la place.
la il nous revient après 25 ans d, absence,
pour lutter contre un prédicateur qui
prône la bonne parole au pauvres, et qui
fait des quête pour les plus démunis,
mais qui en réalité entretien des maîtresses.
seulement parker et pas le seul a s, intéressé à lui.
richard stark revient avec une nouvelle
aventures de parker riche en émotions
et le suspense d'un cambriolage brillamment organisé et magnifiquement
mené.
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Près d'un quart de siècle après Signé Parker, c'est donc dans une caravane de chantier plantée au milieu du parking d'un stade accueillant un célèbre télévangéliste que l'on retrouve Parker.

Premier volume du deuxième cycle consacré par Richard Stark à son héros, Comeback porte la marque de fabrique classique d'une aventure de Parker : un coup amené par un amateur, un complice qui voudrait garder tout l'argent et une cavale menée à cent à l'heure dans l'espoir d'échapper aux flics, de rectifier le traître et de se faire la malle avec le butin. Tout cela avec à ses trousses, suite à une série ininterrompue de rebondissements, la garde rapprochée du télévangéliste, un flic aux penchants sadiques et le traître lui-même qui voudrait récupérer l'argent du casse.

Il est vrai que, expliqué de cette manière, l'intrigue semble pour le moins alambiquée. Mais n'oublions pas que Stark est aux commandes et que tout est millimétré pour permettre à ces événements a priori anarchiques de s'emboîter parfaitement.
Le plaisir des retrouvailles avec Parker est bien là pour le lecteur comme, vraisemblablement, pour l'auteur. Un auteur qui a fait du chemin et maîtrise sans doute un peu plus que lors du premier cycle les ressorts de son intrigue.

Il en ressort des personnages particulièrement bien brossés, fussent-ils de fugitives apparitions, à commencer par Archibald le télévangéliste prêt à tout pour remettre la main sur son argent et son assistante nymphomane, Tina, ou encore Calavecci le flic qui prend un plaisir pervers à faire souffrir ceux qui tombent entre ses griffes. Quant à Thorsen, le chef de la sécurité d'Archibald, Stark lui réserve un beau numéro de duettiste avec un Parker amené à jouer un rôle pour le moins original.
George Liss, le traître, personnage à la détermination quasi surhumaine, offre de son côté à Parker un adversaire à sa taille jusqu'à un final crépusculaire et angoissant qui parachève ce Comeback réussi qui, malgré quelques irruptions d'un humour pince-sans-rire agréable, se révèle particulièrement noir et laisse éclater de fulgurantes explosions de violences.

Lien : http://encoredunoir.over-blo..
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J'aimerais vous parler de deux frères anti-héros.
D'un côté, nous avons John Dortmunder. Un pro de l'effraction et des plans finement concoctés. Mais aussi un guignard que le sort s'acharne à contrecarrer, toujours de manière absurde.
De l'autre, Parker. Braqueur cynique, froid comme l'arctique et létal comme l'enfer. Malgré les coups durs (et il y en a assez pour remplir un beau CV), le gaillard ne détourne jamais de sa destination.
Le premier est un fleuron de la comédie policière. le deuxième, un diamant brut du polar hard-boiled. Ils sont compétents, intelligents et attachants. Pourtant, ils évoluent dans deux univers bien distincts. Même leur géniteur a préféré utiliser deux patronymes différents pour les "élever".
Et c'est vrai qu'à première vue, les styles n'ont rien en commun. Mais oui, Donald Westlake est bien le papa de Dortmunder et Parker. Deux fils, qui semblent mettre au défi leur figure paternelle.
Envers le premier, il sera plus léger, volontiers rigolard et bienveillant. Avec le second, ce sera du taillé à la serpe, sans graisse ni superflu.
J'ai donc entamé la lecture des aventures de Parker avec ce Comeback. Et je dois dire que je me suis vite laissé prendre à l'intrigue. Richard Stark (a.k.a Westlake) va à l'essentiel à l'instar de son personnage-totem. Les descriptions seront précises et concises, les réflexions toujours pertinentes et rarement innocentes. C'est d'ailleurs au détour de quelques-unes de ces savantes peintures qu'on peut reconnaître la verve malicieuse commune aux deux séries (Dortmunder et Parker).
C'est du noir brut de décoffrage, avec tout ce que cela implique : tension permanente, rebondissements à double-tranchants, fusillades impitoyables, et un soupçon d'humour pince-sans-rire. Savoureusement nihiliste, Comeback agrippe par les tripes et nous embarque pour une poursuite qui ne laissera pas grand monde intact dans son sillage : policiers, truands, petites frappes, religieux. Ça attaque bien comme il faut, mais sans en faire trop. Comme un bon petit remontant.
Je connaissais Donald Westlake drôle et spirituel. Je sais maintenant qu'il peut aussi être sec et tranchant.
Qu'il vienne comme il est.
Car c'est tout ce que j'aime.
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Avec la série des Parker , Westlake casse son image d'auteur comique plus que policier .
Cet opus confirme cela avec brio.
L'intrigue est tout sauf prétexte à de l'humour , c'est un suspense tendu , efficace ,agressif que l'on découvre ici.
On est clairement dans une logique de polar Hard Boiled , et cela fait du bien.
Il n'y a pas de rebondissements téléphonés typique de certais auteurs contemporains .
Westlake prend son travail , son oeuvre au sérieux et envoie du lourd une nouvellefois avec ce trés trés bon opus .
On retrouve Parker avec le plus grand plaisir pour un moment de jubilation.
Ce n'est pas un chef d'oeuvre , mais bon sang que ce livre fait du bien !
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Depuis quelques mois, le rayon policiers est devenu l'une des mes étapes en librairie après la littérature de voyage… En cause, Joseph Finder et, surtout, Richard Stark. J'ai découvert cet auteur aux identités multiples (son nom réel est Donald Westlake) en décembre 2009 avec Fire Break (…qui, en passant, montrait en filigrane la fragilité des fortunes des dotcom et le besoin pour certains patrons de ces entreprises de maintenir, coûte que coûte, l'illusion). du coup, je n'ai eu de cesse d'en lire d'autres qui mettaient en scène son gangster fétiche, Parker. J'ai lu FlashFire qui démontre qu'il ne faut pas leurrer ses petits camarades de jeu sous peine de finir très très mal…!

Et puis samedi en jouant les taxi pour mon fils, je me suis arrêté à la FNAC avec la ferme intention de n'acquérir que deux livres (…il faut se donner des objectifs sinon c'est une occasion à faire fondre la carte bleue). Bref, j'ai tenu bon et suis ressorti avec Comeback de Richard Stark et un autre livre que je chroniquerais prochainement…

Aux USA, les prédicateurs n'hésitent pas à louer des stades pour prier et, accessoirement, à collecter quelques billets des fidèles venus les écouter. Ces sacs remplis de petites coupures donnent des idées. le problème se corse quand plusieurs équipes se donnent le mot (je reste énigmatique car à vous de comprendre situations et causes en lisant l'intrigue…!).
Lien : http://www.urbanbike.com/ind..
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Citations et extraits (2) Ajouter une citation
- si vous voulez plaire aux
femmes, dites leur ce que
vous ne voudriez pas ce
que l'on dise a la votre.
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C'était la première fois que Parker se voyait offrir un pot-de-vin pour retrouver l'argent qu'il avait lui-même volé. (page 169)
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Payback (1999) VF
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