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EAN : 9782809422283
256 pages
Panini France (11/01/2012)
4.14/5   57 notes
Résumé :
Thanos, l’amant de la Mort, l’ennemi de la vie même est de retour. Et il possède une arme qui fait de lui l’être le plus puissant de l’univers : le Gant de l’Infini. Orné de joyaux aux incroyables pouvoirs, il représente, entre les mains du Titi une terrible menace pour toutes les réalités. Une menace que les héros de la Terre espèrent bien repousser. Au programme de ce Best of Marvel très attendu, l’intégralité de la mini-série qui a révolutionné le monde Marvel au... >Voir plus
Que lire après Thanos : Le Gant de l'infiniVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (9) Voir plus Ajouter une critique
Les récits cosmiques de super-héros où l'univers est menacé m'ont toujours attiré. Mais il est rare que j'en ressorte avec autant de satisfaction que ce que j'avais eu de plaisir anticipé. C'est le cas cette fois encore.

Thanos le titan, l'amoureux de la Mort, a réussi à s'emparer des Joyaux de l'Infini qui lui donne un pouvoir équivalent à celui du Créateur. Évidemment il veut s'en servir pour satisfaire sa dame la Mort mais cette dernière sent que face à un tel pouvoir elle est dégradée au statut de vulgaire concubine et elle le bat froid. Menés par le mystérieux Warlock les héros de la Terre s'organisent pour affronter le titan. Ils forment la première ligne d'attaque, la piétaille. Derrière eux, les Puissance de l'Univers tels Galactus, l'Étranger et les Célestes, fourbissent leurs armes. Pourront-ils sauver l'univers ?

Malgré mon entrée en matière plutôt fraîche je me suis tout de même bien amusé avec ce récit. Thanos est un personnage au charisme indéniable, comme son alter-ego de DC Darkseid, et l'impénétrable Warlock lui tient la dragée haute. Méphisto en bouffon de l'Etre suprême sent délicieusement mauvais et l'on a l'occasion d'assister à des destructions d'amplitude inégalées - les systèmes solaires sont réduits en cendre, la terre elle-même subit des dégâts monstrueux.

Cependant je me suis senti frustré par plusieurs éléments. D'abord l'absence d'imagination lors de la mise en scène des batailles. Il s'agit de mettre en scène des êtres dont la puissance voisine l'infini non mesurable même au sens de Cantor. L'infini, cela laisse la place à tout, mais on n'a essentiellement droit qu'à des échanges de gros rayons de couleur. La ruse, la tactique n'ont pas grande place. Bof ! On a vu mieux dans Naruto.
Ensuite la dimension trop humaine, trop soumise à ses émotions, de ce Thanos devenu suprême. Sa croissance de pouvoir brut ne s'accompagne pas d'une transcendance de l'esprit. Dommage, cela aurait pu nous diriger vers des lignes scénaristiques originales. Au lieu de cela on en reste au niveau « points de puissance » des jeux vidéo. Mais peut-être que cela signifie simplement que Thanos n'est pas destiné à détenir le pouvoir suprême. Comme le dit Warlock, son inconscient s'y est toujours opposé.
Enfin, si l'on a droit à la présence d'une pléthore de héros de premier plan, la plupart ne font que de la figuration. Ils sont là pour flanquer un coup et s'écrouler. Et je passe sur le fait que certains d'entre eux ne ressemblent plus à ceux que j'avais connus – une Vision toute blanche, un Thor qui n'est plus Donald Blake, un Hulk qui a l'esprit de Banner – et on ne sait pas ce qui leur est arrivé sauf si l'on est un fan absolu de tout l'univers Marvel.

Un récit en demi-teinte donc. Mais je lirai quand même le deuxième tome de la trilogie de Kim Starlin et Georges Perez : « la Guerre de l'Infini »
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Je profite de mes congés pour rattraper mon retard dans mes lectures. Au programme de ce matin, ce must-have consacré au célèbre gant de l'infini. J'ai à nouveau passé un excellent moment de lecture.

Je dois avouer que je préfère de loin ce genre de dessin et cette palette de couleurs qui restent dans l'ambiance des années 70.

Au début de l'histoire, Thanos a déjà enfilé le gant serti de ses gemmes et ne perdra pas de temps à « snapper » L Univers. Les conséquences sont beaucoup plus dramatiques que dans le film. La moitié de l'univers a disparu mais il y a aussi cette effroyable

L'appel des troupes est effectué et le casting est un peu différent… on y retrouve le Surfeur d'Argent (c'est lui qui atterri chez Strange et non Hulk), le Docteur Fatalis, des Titans (ils aiment regarder Alf à la télé, j'ai trouvé cela marrant), Wolverine, etc. le personnage principal est sans conteste Adam Warlock qui a beaucoup de charisme.

J'ai aussi découvert des nouveaux personnages comme le futur Thunderstrike ou Namor le prince des mers.

J'ai bien aimé le scénario, c'était bien ficelé je trouve et j'ai bien envie de poursuivre avec « La Guerre de l'Infini » et « La Croisade de l'Infini ».

Je crois que je suis tombée dans la marmite des comics Marvel et je me régale !

À suivre donc…




Challenge BD 2022
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Dans Rebirth of Thanos (en anglais), Thanos a acquis les 6 gemmes de l'infini. Il dispose maintenant d'un pouvoir qui fait de lui l'égal d'un dieu. Pas un dieu à la sauce Marvel, un dieu qui a tout pouvoir sur les composantes de l'univers : le temps, l'espace, le pouvoir, l'esprit, la réalité et l'âme. Il a aussi bien le pouvoir d'anéantir l'univers entier que de créer tout et n'importe quoi (même la vie) à son bon vouloir.

Thanos est Dieu dans l'acceptation pleine et entière du terme, il est omnipotent dans le sens littéral du terme. Et il est amoureux de la personnification de la Mort. Quelque part dans l'espace, il réfléchit à ses actions. Mephisto (le Satan de l'univers Marvel, celui qui collecte les âmes des pêcheurs) est aux cotés de Thanos. Mais ses premiers jours en tant qu'être suprême commencent mal : la Mort le repousse pour différentes raisons. Il faut qu'il crée une action à la mesure de son amour. D'un simple claquement de doigt il met fin à la vie de la moitié des êtres vivants de l'univers.

L'instant d'avant il y a avait 40 personnes devant vous sur le trottoir, l'instant d'après il n'y en a plus que 20 (si vous faîtes partie des survivants). Il en est de même partout dans l'univers, quelle que soit la planète considérée. Il s'occupe également de manière créative de Nebula, celle qui prétend être sa petite fille. Sur Terre les superhéros ne peuvent que constater bêtement la disparition de la moitié de la population humaine. Dans une chambre d'hôtel minable, 3 défunts se métamorphosent petit à petit en troll, en femme à la peau verte et en cocon.

Jim Starlin revient chez Marvel, il prend les mêmes et il recommence. C'est le premier constat du fan qui ne peut être que déçu de la solution de facilité choisie : ramener à la vie Thanos, Adam Warlock, Pip et Gamora. Mais bon, tous les lecteurs ne sont pas forcément bloqués comme moi sur les travaux précédents et Starlin déroule une drôle d'histoire. Avec un tel ennemi, il est évident que les superhéros de la Terre ne font pas le poids.

Thanos n'est pas le premier maître du monde venu. Il a déjà eu un avant goût de cette omnipotence en mettant une première fois la main sur un cube cosmique, et une deuxième fois en parasitant la gemme de l'âme de Warlock. En plus, c'est un stratège exceptionnel comme il l'a prouvé en récupérant les 6 gemmes en dépit de la volonté de leurs propriétaires. Un seul espoir : le plan indéchiffrable de Warlock, personnage inconnu des superhéros terriens.

Du début jusqu'à la fin, Warlock manipule les interventions des superhéros dans l'ombre. du début jusqu'à la fin les superhéros vont au casse-pipe sans presqu'aucun espoir. Assaut après assaut, Thor, Namor, Iron Man, Firelord, Wolverine, Scarlet Witch, Drax, Hulk, Cloak, Quasar et Captain America se font massacrer. Et pourtant, Starlin renouvelle chaque combat pour des enjeux toujours plus colossaux, avec des tactiques échevelées.

Malgré l'omnipotence de Thanos, Starlin arrive à faire croire au lecteur que les superhéros ont une infime chance de gagner. Il glisse un clin d'oeil à Les guerres secrètes avec le rôle de Doctor Doom. Il varie les stratégies et il varie la configuration des attaquants en convoquant les personnages les plus puissants de l'univers Marvel (oui il y a Galactus, mais pas seulement). On reconnaît là tout le savoir faire de Starlin qui réussit une fois encore à montrer la cohérence entre toutes ces entités nées de créateurs différentes dans des séries différentes. En termes de destruction, Starlin ne fait pas les choses à moitié car Thanos ne s'arrête pas à supprimer la moitié des êtres vivants, il a encore d'autres actions de destructions massives en réserve. Thanos est un nihiliste assez primaire : il aime la Mort donc il n'hésite pas à détruire la vie pour offrir à l'élue de son coeur un cadeau somptueux.

Coté illustrations, les dessinateurs suivent tant bien que mal. George Perez dessine trois épisodes et demi, puis quitte le navire. Il déclarera plus tard qu'il n'avait pas réussi à s'investir dans un scénario qu'il trouvait trop mécanique. Cela ne l'empêche pas de réaliser un travail très professionnel avec une mise en page toujours aussi claire quel que soit le nombre de personnages.

Perez a une vision vraiment intelligente de la mise en scène des combats et du choix des angles de vue. Tout est lisible, l'impact des coups est ressenti par le lecteur, ainsi que le sentiment d'impuissance et de désespoir grandissant des superhéros. Thanos est massif et majestueux de bout en bout. Warlock est mystérieux et indéchiffrable. Mephisto est ambigu et retors. Les scènes de destruction massive sont très impressionnantes qu'elles soient en sous-entendu (Thor qui survole les flots là où il y avait avant le Japon), ou explicites (Black Widow à bout de forces, témoin du décès d'une femme dans l'effondrement d'un immeuble). À partir de l'épisode 4, Ron Lim vient en renfort et il dessine tout seul les 2 derniers épisodes. Les illustrations perdent en détails et en réalisme (en particulier les visages manquent de finesse), mais elles gagnent en impact visuel brut.

L'équipe de créateurs proposent une fin du monde inéluctable au cours de laquelle les superhéros déploient des trésors de ressource et d'inventivité en pure perte. Tout leur courage ne sert à rien. Mais ce récit laisse un goût étrange dans l'esprit. Arrivé au deuxième épisode, le lecteur chevronné sait pertinemment que le statu quo sera rétabli en fin d'histoire car les bouleversements sont trop importants. Malgré tout la mécanique implacable du scénario empêche de se désintéresser des péripéties.

Mais quand même cette structure est vraiment déconcertante, toute l'intrigue repose sur la rouerie de Thanos et sur la variable inconnue que représente Warlock. Il tire les ficelles en coulisse du début jusqu'à la fin sans rien révéler. Il mène la danse, il programme les combats, il joue une partie d'échecs avec plusieurs coups d'avance, contre Thanos. le lecteur est simple spectateur et déchiffre la stratégie au fur et à mesure. Finalement Warlock écrit l'histoire que lit le lecteur, il est le scénariste. Et c'est là la plus déstabilisante des prises de position de Jim Starlin. Warlock est un deux ex machina du début à la fin, il est la matérialisation du scénariste au sein de l'histoire.

Finalement, le vrai nihiliste n'est pas Thanos aveuglé par ses sentiments pour la mort, mais bel et bien Starlin qui n'a aucune illusion sur ce qu'il peut changer dans cet univers partagé, aucune illusion sur l'impermanence de l'impact de son récit. Pour Starlin, ce combat est dénué de toute signification, de tout but, de toute vérité compréhensible ou encore de toutes valeurs ; il n'est vraiment qu'un simple divertissement du moment, une illusion du changement, un frisson gratuit, mais en même temps un hymne à la création. Jim Starlin se joue du lecteur, aussi bien que Warlock se joue de Thanos. le vrai malaise nait de cette manipulation effectuée au grand jour avec la complicité du lecteur, une prise de position vraiment nihiliste.

Jim Starlin a donné 2 suites à ce récit sous forme de crossovers de plus en plus démesurés : d'abord La guerre de l'infini, puis La croisade de l'infini.
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Lorsque j'ai découvert Thanos au cinéma, dans la saga des Avengers, je ne savais rien de lui et encore moins de la saga qui lui était consacrée dans l'univers des comics de chez Marvel. Une chose était sûre, comme Grand Méchant, il était plus que réussi !

C'est plus tard que j'appris que la saga avec le Gant de l'Infini, venait en fait d'une saga déjà existante. Pour les connaisseurs, je fais sans doute figure de débile, un peu comme si, après avoir vu la série Sherlock à la BBC, je découvrais qu'il existait des livres écrit par Conan Doyle

Pour Sherlock, j'étais au parfum depuis longtemps, pour l'univers de Marvel, étant néophyte, j'étais vierge de tout savoir !

La preuve que j'ai foiré le brol, j'ai zappé la saga de "Thanos Quest – La quête de Thanos" que j'aurais dû lire avant celle-ci et en plus, je ne savais même pas que la saga datait du début des années 90 ! Sorry, en apprenant que les films étaient tirés d'une saga de comics, je l'avais crue, à tort, datant d'il y a peu d'années...

Bravo à moi (ironie). Il faudra mettre tout ça à jour.

Les années 90 se voient tout de suite aux dessins… La colorisation date et ça se sent tout de suite, surtout si on a lu des comics des années 2000 avant de se plonger dans la saga du Gant de l'Infini.

Cette histoire n'est pas la même que celle vue au cinéma : la moitié de la population disparaît sur la Terre et dans tout l'Univers, mais les motivations de Thanos ne sont pas les mêmes : ici, ce n'est pas pour soulager la Terre qu'il fait disparaître des êtres vivants, mais pour attirer l'attention de sa maîtresse La Mort. Bref, c'est un bad guy à fond.

Dans ce récit, il y a une profusion de personnages, pourtant, les auteurs arrivent à ne pas se prendre les pieds dans le tapis et ce que tout reste clair, même pour une néophyte telle que moi.

D'ailleurs, j'ai découvert d'autres personnages et compris l'importance qu'avait celui du Surfeur d'Argent. Comme quoi, à tous les âges, on peut apprendre !

Si les années 90 se sentaient aux couleurs, c'est tout aussi flagrant avec les dessins, qui ont un petit air rétro, terriblement rétro, même, mais cela ne m'a pas dérangée dans ma lecture. George Pérez et Ron Lim, qui se succèdent aux dessins, n'ont pas oubliés d'inclure des détails dans leurs planches.

Oui, j'ai apprécié cette lecture et je suis contente d'avoir pu lire cette saga qui est culte (comme quelques autres que je compte lire aussi). Une saga immanquable afin de comprendre ensuite tout ce qui va suivre dans l'Univers de Marvel.

Pas de doute, sachant tout ce qu'il me reste à découvrir, j'ai, assurément, encore de belles et longues heures de lecture devant moi !
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le petit rendez vous du lundi m'a amenée cette fois ci sur une trilogie particulière.

Et oui, bientôt nous aurons sûrement un nouveau Gardien de la Galaxie. Ou un Avengers. J'avoue que je n'ai pas trop regardé les dates. Mais si vous avez visionné ces énormes blockbusters (et écouté leurs bandes originales), vous aurez vu un certain Thanos et des pierres de l'infini et peut être même avez vous entraperçu un gant. En effet, pour une certaine période, on évolue sur l'histoire du gant de l'infini qui est un arc très riche et surtout très intéressant de Marvel. Et cadeau bonus, vous avez aussi des dessins un peu old school, ce qui ne gâche en rien au charme de cette lecture.

Pour vous la faire courte. Thanos, le méchant doudou vilain veut anéantir le monde, tout cela pour les beaux yeux de la Mort qui est ici représentée par une femme ou un squelette au choix. La mort aime (ou pas) Thanos mais elle arrive à le ressusciter. Il parvient à choper différentes pierres surpuissantes qui, une fois insérées dans son gant de l'infini, le transforme en une divinité. Et une fois tout ce pouvoir acquis, il tente de faire les yeux doux à la Mort en faisant quelques mauvaises actions. D'où l'intervention de nos super héros et un énorme combat final (sisi, je vous jure, il est énorme).


En dehors des scènes d'action, une belle réflexion entre l'Amour, le Pouvoir et les Responsabilités.

Et c'est ça qui est top. C'est qu'en dehors de l'intrigue de ce premier tome, on voit tout d'abord une réflexion sur l'Amour. Thanos aime la Mort, particulièrement parce qu'elle est totalement inaccessible et dénouée de sentiments. Alors, il tente de l'attirer par le Pouvoir. Ce Pouvoir qui ne lui donne plus aucune limite puisqu'il peut à la fois créer des mondes et les détruire. Ce qu'il fait et de manière très brutales. Mais comme dirait notre gentil Spidey, un grand pouvoir implique de grandes responsabilités et le fait d'agir de manière égoïste va attirer Thanos dans une réaction en chaines qu'il n'aimera pas forcément.

Alors oui, on a de l'empathie pour Thanos car en gros, c'est l'histoire d'un gars qui se crée une image de lui même pour pouvoir draguer la Mort, la nana un peu pimbèche du coin. Si on lui avait expliqué comment draguer proprement, peut être que cela se serait passé autrement. S'il avait un peu plus respecté les mondes, s'il avait été moins interventionniste, il n'y aurait pas eu une énorme coalition contre lui. Bref, c'est toute une piste de réflexions qui viennent devant nous tout au long du tome, parce que je ne vous dis pas tout. Souvenez vous seulement que j'ai trouvé la fin étonnamment très sage et c'est pour cela que j'ai vraiment adoré ce titre. Même s'il n'est pas parfait !
Lien : http://labibliodekoko.blogsp..
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critiques presse (3)
La Guerre de l’Infini est donc une bonne saga pour les amateurs du Marvelverse, avec combats intenses, trahisons, manipulations et bien sûr épopée cosmique.
Lire la critique sur le site : BullesEtOnomatopees
Un récit indispensable pour les amateurs de spectaculaire et d’aventures cosmiques dans l’univers Marvel.
Lire la critique sur le site : BullesEtOnomatopees
ActuaBD
02 février 2012
Malgré certaines longueurs, le cataclysme engendré par le pouvoir de Thanos est d’une telle ampleur que l’on ne peut que s’accrocher à cette histoire.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Citations et extraits (5) Ajouter une citation
(Warlock investi du pouvoir suprême s'adresse au Dr. Strange, à Thor et au Surfeur d'argent)

WARLOCK: Allez et témoignez partout que Warlock est un dieu digne de confiance.
DR STRANGE: Ce serait inconsidérément nous avancer. Nul n'ignore que le pouvoir est un grand corrupteur!
WARLOCK: La dictature cosmique existait bien avant que Thanos ne s'emparât du gant, vous l'avez vécu.
THOR: Tyrannie, oui... mais bienveillante, floue...
WARLOCK: Et vous craignez qu'un souverain résolu ne vienne imposer un ordre au chaos où vous vous complaisez?
(silence)
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Examine ta vie passée, Thanos le Titan... Que vois-tu?
Un être qui par acharnement a conquis le pouvoir... et l'a aussitôt perdu.
Car tout au fond, tu sais bien que tu n'en es pas digne.
Par trois fois, tu as triomphé de tous les obstacles pour réaliser tes désirs.
Par trois fois ton subconscient a fourni à l'adversaire l'instrument de ta défaite.
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CAPTAIN AMERICA. Tu as encore un adversaire en lice, Thanos, ta victoire reste donc incertaine.
THANOS. Très nobles sentiments, venant d'un condamné.
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- Pouvoir illimité. Paranoïa. Folie créatrice. Sois franc, Méphisto... n'est-ce pas l'art à l'état pur?
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l infini repose entre tes mains. Mon humilité s incline tres bas devant ta grandeur. Je suis fier d etre ton premier acolyte et de jouir de ta divine présence. En quoi puis je te servir, ô Thanos?
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