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3,8

sur 584 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Bon, bon, bon, bon, bon... enfin, plutôt, mouais, mouais, mouais, mouais, mouais... Me voilà bien embêté, parce que je lis beaucoup de recensions très bonnes sur ce roman et qu'il m'a été conseillé. Oui, mais, je suis passé totalement à travers. A part quelques beaux passages (notamment ceux qui concernent Margrét et Oddur les grands-parents), je n'ai jamais réussi à trouver la porte d'entrée de ce roman. Les digressions, parenthèses et interventions de l'auteur sont oiseuses, énoncent des évidences sans vraiment y apporter de plus-value, qu'elle soit réflexive ou littéraire. Pis que cela, elles empêchent de bien suivre les histoires des héros, déjà pas simples à saisir du fait de l'écriture de l'auteur que j'ai trouvé assez désagréable -d'aucuns parleront ici de poésie, c'est sans doute cela, la poésie et moi avons des rapports compliqués, soit ça fonctionne parfaitement, soit ça casse tout de suite-, les différents narrateurs, les passages du "je" au "il" voire au "nous" sans vraiment de séparation claire. A dire vrai, dès le début, je sens que cet ouvrage ne m'emballera pas, et mon impression s'avère. Je ne comprends pas les citations en incise ou dans le texte, le style m'agace, c'est trop flou, je ne sais pas où veut et va en venir JK Stefansson, trop d'entrées, trop bavard, trop long. Une logorrhée insupportable pour moi. Je l'avoue ici, je fais ma confession -merci mon père-, je me suis arrêté bien avant la fin, je ne me sentais ni la force ni l'humeur de supporter cette inconsistance et cette incompréhension totale comme rarement il m'arrive de ressentir, pendant plus de 440 pages !

Beaucoup de bonnes recensions écrivais-je ci-dessus, Babelio s'en fait l'écho, mais en cherchant un peu, on en trouve également d'autres moins favorables.
Lien : http://lyvres.fr
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Lu 170 pages sur 443. Et je suis toujours incapable de dire de quoi ça parle. Trois époques différentes, des personnages à foison aux noms irlandais. Des questionnements sur la vie, le couple, etc. Des détails, des répétitions, des métaphores dont je ne comprends pas le sens. J'aurais du m'en douter en voyant le titre que je ne marcherai pas comme les poissons, d'ailleurs ! Et sans cesse il y Ari qui parle de Ari (un autre Delon ?!) Exemple page 149 : Ari regarde cette désolation, cette lande de basse altitude qui était jadis notre quotidien et que nous avons traversée pour la première fois en voiture, Ari et moi, en janvier 1980…
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Cet auteur n'a pas su m'emporter. Je n'ai pas réussi à entrer dans son roman. Pas réussi à saisir cette beauté et cette simplicité qu'on me promettait. Pas réussi à comprendre.

L'histoire se déroule sur 3 périodes. Et si j'ai eu du mal à me retrouver entre ces périodes au début du livre, ça n'a pas été en s'améliorant au rythme des chapitres.

De même que les personnages n'ont pas eu d'écho pour moi. Pas de réelle affinité. Je dirais même que j'ai été assez indifférente à ces personnages. Peut-être parce que j'ai eu du mal à les différencier. Parce que l'auteur parle de Bidule et de Machin et qu'il passe à quelqu'un d'autre aussi. Je crois que les noms ne m'ont pas aidée non plus. Des noms islandais que j'ai eu du mal à retenir et donc du mal à me souvenir de ce qui était arrivé.

Par moment pourtant, l'histoire prenait un sens. le temps d'une anecdote. le temps d'un souvenir. Et puis sans comprendre, le narrateur passait à une toute autre anecdote, laissant le lecteur deviner qu'on passait du coq à l'âne et le laissant s'embrouiller pour comprendre où il en était. (D'ailleurs, qui est-il ce narrateur ?)

« D'ailleurs les poissons n'ont pas de pieds » ne m'a pas touchée. Pourtant je pense qu'il a eu un écho particulier chez d'autres personnes. Je pense que c'est typiquement le genre de livre qu'on aime ou qu'on n'aime pas. Pas de juste milieu. Soit on accroche et le livre est magnifique, soit on n'accroche pas et c'est l'enfer pendant plus de 300 pages. Dommage pour moi, je suis passée totalement à côté.
Lien : http://vudemeslunettes.fr/20..
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Cet auteur est un génie !
Savoir utiliser autant de mots inutiles pour décrire des événements totalement inintéressants relève, pour ma part, du génie.
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Que dire de ce récit…
Un pays livré à la rudesse des éléments naturels,
trois époques et trois générations d'hommes et de femmes éreintés, usés,
et tentant de rester humains... peut-être grâce à la poésie ?!
En effet dans cette écriture aux phrases si longues que je m'y suis perdue, surgissent sans cesse des fragments de poèmes auxquels j'ai été totalement hermétique, ou des citations de grands conteurs qui semblent faire référence …
le tout paraissant parfaitement commun pour un roman islandais !
Aïe, ma rencontre avec l'Islande s'avère laborieuse !
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Très poétique certainement mais ce roman m'a,laissé sur le bord du chemin.
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très belle description des lieux. de très belles phrases mais quelque fois un peu trop longue. très bonne traduction. Un livre qui parle de la mort, de la souffrance. Une belle découverte de l'Islande. Une histoire d'une vie mais il n'y a pas de fin. Manque d'action.
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