Magnifique roman de cet auteur américain que je découvre par la même occasion.
J'apprends sur le net qu'il a eu
Edward Abbey et
Ken Kesey comme étudiants à l'université. Incidemment, je signale que
Kesey figure justement parmi mes grands coups de coeur de ces dernières années avec son remarquable "Et quelques fois, j'ai comme une grande idée".
Pour revenir à Stegner, j'ai vraiment apprécié son style et sa sensibilité. Il relate avec un grand réalisme le phénomène de vieillissement, tant physique, qu'amoureux ou encore social. Un livre émouvant car chacun s'y retrouvera. Un vieux en devenir, ou un vieux déjà vieux, ou encore un nostalgique de vieilles amours!
A mes yeux, Stegner est incontestablement un grand de la littérature américaine du XXème siècle, bien injustement oublié en langue française.
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