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Critique de bdelhausse
L'Heroic Fantasy humoristico-décalée a un héros... Terry Pratchett. Mais cela reste assez difficile à faire lire à des ados (ou même pré-ados). Paul Stewart et Chris Ridell remédient à cela. Ils créent un univers fantasy totalement débridé à destination des plus jeunes.
Jean-Michel, promenant Henri son chien, est propulsé dans un trou (référence à Alice...) et termine devant un magicien, son familier et son serviteur... le serviteur est un ogre de petite taille. le familier, un volatile très loquace et peu amène. le magicien auto-proclamé s'appelle Randalf... Clin d'oeil de nouveau.
Pour mettre fin aux agissements d'un terrible ogre, Randal a utilisé le seul sortilège qu'il connaisse... Invocation d'un super-guerrier. Quiproquo d'abord, car c'est Henri le chien qui passe le portail le premier. Mais les choses reviennent dans l'ordre avec l'apparition de Jean-Michel... renommé Jean-Mi le Barbare... car il faut impressionner Engelbert le Gigantesque... Et c'est pas gagné.
Beaucoup de dérision, de déconne, de clins d'oeil dans un premier tome un peu court, parfois drôle, mais pas toujours très emballant non plus. C'est souvent le cas quand on ne fait que poser le décor, qu'expliquer l'univers. Cela manque de péripéties, de tension, de suspense. Jean-Mi se révèlera à la hauteur de la mission qui lui est confiée... On n'aurait pas pu penser le contraire... mais il le fait de très brillante façon, justifiant les attentes placées en lui.
Un premier tome en demi-teinte. Je demande à voir la suite quand même.
Jean-Michel, promenant Henri son chien, est propulsé dans un trou (référence à Alice...) et termine devant un magicien, son familier et son serviteur... le serviteur est un ogre de petite taille. le familier, un volatile très loquace et peu amène. le magicien auto-proclamé s'appelle Randalf... Clin d'oeil de nouveau.
Pour mettre fin aux agissements d'un terrible ogre, Randal a utilisé le seul sortilège qu'il connaisse... Invocation d'un super-guerrier. Quiproquo d'abord, car c'est Henri le chien qui passe le portail le premier. Mais les choses reviennent dans l'ordre avec l'apparition de Jean-Michel... renommé Jean-Mi le Barbare... car il faut impressionner Engelbert le Gigantesque... Et c'est pas gagné.
Beaucoup de dérision, de déconne, de clins d'oeil dans un premier tome un peu court, parfois drôle, mais pas toujours très emballant non plus. C'est souvent le cas quand on ne fait que poser le décor, qu'expliquer l'univers. Cela manque de péripéties, de tension, de suspense. Jean-Mi se révèlera à la hauteur de la mission qui lui est confiée... On n'aurait pas pu penser le contraire... mais il le fait de très brillante façon, justifiant les attentes placées en lui.
Un premier tome en demi-teinte. Je demande à voir la suite quand même.
