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Critique de Escapist
Un livre qui rend hommage au style de Stine. Ayant déjà lu l'ouvrage il y a plusieurs années auparavant, c'est avec une certaine appréhension que je l'ai relu.
Destiné à la jeunesse pré-adolescente, ce second tome s'inscrit pourtant dans un trilogie intéressante et envoûtante. L'histoire s'inscrit dans les siècles passés, tout d'abord celui du XVIIe siècle, ravagé par la peste, puis celui du XVIIIe siècle. le cycle des "Malédictions" retrace l'histoire bouleversée par la fureur de la famille Fear envers leurs ennemis éternels, les Goode. On replonge ainsi aux origines de la haine aux reflets machiavéliques des Fear, la famille dont dépend toute la série "Peur Bleue" signée par Stine. Poussés par un désir intense de vengeance, ceux-ci sont entachés par un meurtre des générations passées. Héréditaire, la colère des Fear va poursuivre leur descendance, les enfonçant dans les affres de la douleur et des abominations.
"Malédictions" est donc une trilogie ayant pour thème la souffrance, la vengeance mais également la trahison. Une vendetta dangereuse et terrifiante qui sème la peur et mort sur son passage. Défini ainsi, il est vrai que ce livre paraît noir et cruel, notamment pour de jeunes lecteurs, cependant il ne faut pas oublier qu'il s'inscrit dans une série destinée à faire frissonner. Même avec du recul et en ayant déjà lu l'ouvrage, le style charme par ses tournures de phrases simples et pourtant percutantes. Différente de ses autres ouvrages inscrit dans les temps contemporains, au coeur d'une vie lycéenne, la plume de Stine ravive la lueur de siècles passés. On replonge dans des vies quotidiennes, celles d'une famille affamée par la pauvreté et d'une autre quelque peu aisée, ayant su fonder sa richesse par son savoir-faire. Les relations entre les parents et les enfants permettent de s'attacher aux personnages.
L'aura de mystère qui plane tout au long de l'ouvrage électrise l'histoire et lui donne du rythme. Cette cadence, qui tient en haleine le lecteur, est soutenue par la division en deux partie du livre, chacune dédiée à un siècle, une génération des Fear et des Goode et à une malédiction propre, liées par un seul élément: la vengeance.
Pour l'ambiance générale qui règne dans un siècle qui n'est pas le notre et qui nous permet de voyager dans des moeurs anciennes, ce livre est à conseiller pour un pré-adolescent en quête de suspens et de mystère. Il est ancré au sein d'une trilogie probablement la plus envoûtante de la collection Stine, enracinant la malédiction de la fameuse rue "Fear Street".
Destiné à la jeunesse pré-adolescente, ce second tome s'inscrit pourtant dans un trilogie intéressante et envoûtante. L'histoire s'inscrit dans les siècles passés, tout d'abord celui du XVIIe siècle, ravagé par la peste, puis celui du XVIIIe siècle. le cycle des "Malédictions" retrace l'histoire bouleversée par la fureur de la famille Fear envers leurs ennemis éternels, les Goode. On replonge ainsi aux origines de la haine aux reflets machiavéliques des Fear, la famille dont dépend toute la série "Peur Bleue" signée par Stine. Poussés par un désir intense de vengeance, ceux-ci sont entachés par un meurtre des générations passées. Héréditaire, la colère des Fear va poursuivre leur descendance, les enfonçant dans les affres de la douleur et des abominations.
"Malédictions" est donc une trilogie ayant pour thème la souffrance, la vengeance mais également la trahison. Une vendetta dangereuse et terrifiante qui sème la peur et mort sur son passage. Défini ainsi, il est vrai que ce livre paraît noir et cruel, notamment pour de jeunes lecteurs, cependant il ne faut pas oublier qu'il s'inscrit dans une série destinée à faire frissonner. Même avec du recul et en ayant déjà lu l'ouvrage, le style charme par ses tournures de phrases simples et pourtant percutantes. Différente de ses autres ouvrages inscrit dans les temps contemporains, au coeur d'une vie lycéenne, la plume de Stine ravive la lueur de siècles passés. On replonge dans des vies quotidiennes, celles d'une famille affamée par la pauvreté et d'une autre quelque peu aisée, ayant su fonder sa richesse par son savoir-faire. Les relations entre les parents et les enfants permettent de s'attacher aux personnages.
L'aura de mystère qui plane tout au long de l'ouvrage électrise l'histoire et lui donne du rythme. Cette cadence, qui tient en haleine le lecteur, est soutenue par la division en deux partie du livre, chacune dédiée à un siècle, une génération des Fear et des Goode et à une malédiction propre, liées par un seul élément: la vengeance.
Pour l'ambiance générale qui règne dans un siècle qui n'est pas le notre et qui nous permet de voyager dans des moeurs anciennes, ce livre est à conseiller pour un pré-adolescent en quête de suspens et de mystère. Il est ancré au sein d'une trilogie probablement la plus envoûtante de la collection Stine, enracinant la malédiction de la fameuse rue "Fear Street".
