Bouillonnant de rage, douloureux, porté par un style incantatoire, le premier roman, autobiographique d'Oliver Stone est à l'image de ses grands films : un portrait de l'Amérique, du déracinement et de la violence.
Rêveur né raconte le périple sur trois continents d'un jeune homme balloté par les traumatismes des années 60 qui ont marqué tout un pays.
En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.