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2,59

sur 85 notes
Cet été, je pars dans le Morbihan avec mon mari, et surtout pas à Majorque avec la famille Post et leurs 2 amis !

En effet, les quelques jours que j'ai passés en leur compagnie au bord de la piscine, dans la cuisine, dans les rues de Palma, au court de tennis, sur la plage...m'ont amplement suffi. Quel ennui ! Entre le « vieux » couple Franny-Jim qui s'écharpe à cause d'une infidélité du mari, le couple Carmen-Bobby (le fils) qui se délite, le couple Charles-Lauwrence qui est en passe d'adopter un bébé, et Sylvia la fille cadette, pressée de prendre son indépendance à l'université et attirée par le beau Majorquin venu lui donner des leçons d'espagnol, la cohabitation est un peu difficile. Et ça dort, ça prend des douches, ça mange, ça se baigne, ça ressasse trente-six mille fois les mêmes rancoeurs ou les mêmes regrets.
J'ai voulu plonger dans leur psychologie, j'avais oublié qu'il n'y avait pas d'eau.
Je me suis donc cassé la figure sur la platitude de ces personnages, je me suis cognée à leur histoire banale et tellement prévisible, égayée (enfin, le mot est fort) de temps en temps par l'une ou l'autre frasque et pas trop rebutée quand même par le style facile (« fluide », le mot est à la mode...).

Un livre endormant, moi, ça ne m'endort pas, ça me donne des envies de meurtre. Et pour le bien de mes amis et de ma famille, j'ai laissé la famille Post reprendre l'avion pour New-York, sans moi.

Ce roman était un cadeau de Babelio et des éditions « Presses de la cité ». Je me suis acquittée consciencieusement de ma tâche : je l'ai lu jusqu'au bout et je l'ai chroniqué. Merci et au suivant !
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Deux semaines de vacances à Majorque, histoire de se ressourcer et d'oublier ces tracas. Soleil, plage, cuisine, farniente c'est cool non ! Oui, mais voilà, la famille Post en a un peu beaucoup (des tracas). Alors éclatement du noyau familial ou sagesse et maturité au final ?
J'avoue être déçu par ces « Vacanciers » qui se lit sans déplaisir mais aussi avec un manque d'intérêt et surtout d'empathie pour les personnages. Pas un brin de sympathie donc pour Franny et Jim les parents, ni pour Sylvia et Bobby les enfants, encore moins pour le couple d'amis homo et la petite amie du fiston que personne ne peut encadrer. Des situations convenues, qu'Emma Straub survole trop souvent. Cela m'a laissé de marbre la plupart du temps. On peine à croire ces personnages tant ils sont assez caricaturaux. Et l'on se dit que deux semaines avec cette famille là, c'est beaucoup trop. On aimerait presque retourner au turbin, c'est dire !
Merci aux « Editions Presses de la Cité » et Babelio pour cette masse critique.
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Un roman à la couverture bleu "piscine Hockney" , et hop, ni une , ni deux : je fais ma valise et je pars à Majorque avec la famille américaine , les Post .
Une petite cohabitation pour 15 jours, dans une magnifique villa , suffisamment en retrait pour échapper aux hordes de touristes [et à David Guetta . Boum boum, boum !].
Mais comme toute cohabitation, celle-ci va s'avérer difficile . Car les Post ne sont pas de tout repos ...
Nous avons le père (60 ans ) , qui a eu une relation avec une jeune stagiaire et qui du coup, a été foutu à la porte de son journal .
La mère qui est vénère et on la comprend ....
La fille qui rêve de s'envoyer en l'air avant la fac .
Le fils qui vient avec sa Carmen (10 ans de plus que lui ). Pas très appréciée par la famille, la Carmen ... La différence d'âge ...et puis elle est prof de gym et pas très intello par rapport aux beaux-parents . [ Elle serait pas un peu snob la la famille Post?!]
Et puis, cerise sur le gâteau , petite touche "gay friendly" : il y a le couple gay qui est sur le point d'adopter , (le plus âgé des deux étant le meilleur pote de quarante ans de la mère Post ).

Entre celle qui est vénère ( mais fait la bouffe "por todos " ) , le mari qui essaie de récupérer sa moitié (dont il se foutait lorsqu'il était avec sa nymphette) , la gamine et le fiston qui n'en finit plus d'être trop con ...eh ben ,si j'avais su , j's'rais pas venue!
Des fois la cohabitation en vacances, ça ne passe pas ...

Un roman qui aurait pu être muy caliente, et qui donne l'impression que l'auteur n'a pas su choisir entre la pure comédie, ou le drame familial . Ça se lit mais c'est poussif. Tout ça manque un peu de d'humour et de chaleur (humaine) pour moi .
L'eau de cette piscine est trop tiède , allez , je vais remettre ♫mon petit pull marine ♫ , moi , et m'en aller vers d'autres cieux littéraires .
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Qu'il m'est difficile d'écrire ces quelques lignes !
Quand un livre m'a plu, c'est un vrai plaisir pour moi de communiquer mon enthousiasme, je souhaite que d'autres lecteurs aient envie eux aussi de le lire, j'aime échanger avec ceux qui l'ont déjà lu : partager autour de cette lecture est un grand bonheur.
Mais dans le cas contraire, c'est une tout autre affaire...
Qu'est-ce qu'ils m'ont ennuyée ces vacanciers ! Et comme j'ai trouvé leurs petites histoires sans intérêt !
Je suis allée bien consciencieusement jusqu'au bout, jusqu'au dernier mot de la dernière page, espérant trouver quelque chose qui s'anime, quelque chose qui me réveille enfin... eh bien non.
Le problème avec les membres de la famille Post et leurs amis, c'est que je ne les ai trouvés ni sympathiques (un personnage pour qui l'on a de l'empathie, un personnage qui nous fait rire, un personnage qui nous charme, c'est bien, non ? ) , ni antipathiques (un personnage que l'on déteste, un personnage dont on se moque, un personnage qui nous fait peur, c'est bien aussi, non ?).
Voilà le problème : ils m'ont laissée totalement indifférente. Leur personnalité ne m'a pas intéressée, je n'ai jamais eu envie d'en savoir plus sur eux ; leurs histoires m'ont ennuyée, je n'ai jamais accroché.
Je vous copie trois petits extraits, pour que vous puissiez juger par vous-même.
1) Les vacanciers arrivent dans la maison qui leur a été prêtée : "Franny voulait faire le tour de la maison, s'occuper des courses, distribuer les chambres, trouver l'endroit où elle pourrait s'installer pour écrire et enfin repérer le placard où étaient rangées les serviettes de rechange. Elle avait noté d'acheter du shampoing, du papier toilette et du fromage. Ce ne serait officiellement le début des vacances que lorsqu'elle aurait pris une douche et mangé quelques olives."
2) Les vacanciers savourent leurs vacances : "C'était une journée torride où Bobby, Carmen et Franny semblaient parfaitement heureux dans la piscine. Jim lisait un roman à l'ombre. Mais Lawrence ne supportait pas l'idée de passer encore toute une journée sans rien faire."
3) Les vacanciers s'interrogent sur leur vie : "C'était un détail dans leur vie quotidienne, comme la grave question de savoir qui avait fini le rouleau de papier-toilette : s'ils s'en souciaient, cela durait une fraction de seconde et ensuite, c'était oublié." Bon, le papier-toilette, ça commence à devenir une obsession !
Voilà. Vous me trouvez peut-être un peu dure, mais c'est comme ça, je suis franche. Quand je n'aime pas, je le dis, je n'y vais pas par quatre chemins. Et comme l'a si bien écrit Beaumarchais : "Sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloge flatteur." Enfin, n'oublions pas que "je n'aime pas" ne signifie pas que personne n'aimera, chacun ses goûts.
Je remercie Babelio pour son opération Masse Critique et les éditions Presses de la Cité de m'avoir fait parvenir ce livre.
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La famille Post de Manhattan part en vacances sur l'île paradisiaque de Majorque. Ces deux semaines ne seront pas de tout repos. Franny et Jim sont au bord de la rupture. Ils essaient de sauver les apparences face à leurs deux grands enfants.

" Un mariage était un peu comme un navire : il fallait tenir la barre, et d'une main assurée."

Il y a des turbulences, des écueils. le tout est de les amadouer, de les contourner.

"Une famille n'est jamais qu'un pari sur l'avenir, en fin de compte, chacun souhaite le meilleur pour lui-même comme pour les siens".

Histoire banale d'une famille embarquée dans le courant de la vie, avec ses surprises, ses déceptions, ses espérances. Histoire simple,banale, qui parle à chacun de nous, des choix de vie que nous faisons, de l'éducation des enfants, de la difficulté de vieillir ensemble, de supporter les petits travers de chacun. le but est d'amener toute la famille à bon port, avec le moins de heurts possibles, de comprendre et de respecter les caractères de chacun, car on a beau partager les mêmes gênes, on peut être bien différent dans une fratrie !

Merci à Babelio et aux éditions Presses de la cité pour ce roman à l'écriture simple , un peu trop superficiel et ennuyant à mon goût.
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« Les vacanciers »… ça tombe bien, me dis-je, les vacances arrivent… Et me voilà embarqué sur cette galère. Néanmoins, il faudra finir, Masse Critique oblige… J’en profite d’ailleurs pour remercier Babélio l’éditeur « Presses de la Cité » de m’avoir fait ce "cadeau"…
Je m’embarque donc avec la famille Post, destination Majorque…

Autant le dire tout de suite, j’ai dû ramer pour voir le mot fin dans ce livre où à peu près rien ne m’intéresse ni ne me touche.
D’abord l’intrigue et la famille Post : le père et la mère ; le couple va mal : le père a fauté avec la stagiaire… le fils, mal assorti avec sa compagne… la fille, néo-bachelière qui cherche à perdre sa virginité avant l’entrée à la fac…Rien n’y manque… Ah, si : le couple d’amis homosexuels en mal d’adoption… Le tout dans une ambiance de farniente…
Et puis, le style de l’auteur : passons les dialogues cucul pour ne retenir que cette profusion de détails sans intérêt que d’aucuns qualifient de fluidité dans le style mais qui, pour ma part confine à la logorrhée…
Certes, on peut voir une tentative d’étude du couple à différents moments de son évolution, mais il faut bien chercher ; et le ressenti qui me vient immédiatement après cette pénible lecture, c’est l’ennui… Si c’était le but, c’est réussi : la famille Post s’emmerde… et moi aussi par l’intermédiaire d’Emma Straub.

Je suis désolé de cette critique tellement négative (et je m’en excuse auprès de l’éditeur) qui je crois bien est ma première du genre. A l’avenir, je laisserai le soin à d’autres de répondre à ce type de Masse Critique. Il doit bien y avoir des amateurs pour ce genre de littérature qui, personnellement, ne me touche pas du tout.
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Fuyons à grandes enjambées la famille Post lorsqu'elle débarque dans une belle villa de Majorque pour 2 semaines de vacances .

Vacances, synonyme généralement de repos et de détente mais pas pour cette famille qui trimballe ses problèmes dans ses bagages : le couple : Franny qui passe son temps en cuisine et en courses et Jim qui a fauté avec la stagiaire et espère encore sauver son mariage, le fils Bobby et sa copine mal assortie Carmen, la fille Sylvia qui voudrait bien perdre sa virginité et le couple d'amis homosexuels dans le affres de l'adoption .

Psychologie de pacotille , cela en tout cas met les neurones en vacances mais exaspère les nerfs ...
Entre banalités et caricatures, il est bien difficile de trouver un vrai plaisir à cette lecture que j'ai pourtant poursuivie courageusement jusqu'à la fin, Masse critique oblige ...

Merci à Babelio et aux éditions Presse de la cité .
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Merci tout d'abord à Babelio et aux Éditions Presse de la Cité de m'avoir offert 15 jours de vacances à Majorque tous frais payés. Dommage que la famille américaine qui partageait la magnifique villa avec moi ait fait suivre tous ses soucis dans les valises !

J'ai donc dû cohabiter avec Jim et Franny, le couple presque sexagénaire, au bord de l'implosion depuis que le mari s'est fait virer de son boulot de rédacteur en chef pour avoir fricoté avec la jeune assistante. Sylvia, la fille de18 ans était là aussi. Ayant réussi son bac, elle n'avait qu'une hâte : changer de vie en allant à l'université à la rentrée mais pour cela obligation de perdre sa virginité avant. Puis sont arrivés Bobby, le fils de 28 ans et sa compagne Carmen, la quadra sportive dont la ferme intention était d'emprunter de l'argent à son "presque" beau-père pour remettre son couple à flots et enfin Charles, l'ami de jeunesse de Franny et son jeune mari Lawrence, les homosexuels en mal d'adoption.

Emma Straub nous offre une galerie de personnages tout en clichés, presque caricaturaux et peut-être parce que c'est les vacances, que le soleil est chaud et la mer belle, mais leurs problèmes sûrement sérieux dans un autre décor, m'ont paru totalement superficiels. Les évènements qui se déroulent restent prévisibles, aucune surprise. L'auteure aurait-elle dû traiter le sujet de façon humoristique (tant qu'à faire) pour susciter au moins le rire chez son lecteur ? Mais là, l'ambiance n'est ni dramatique, ni drôle, en résumé tiédasse, comme l'écriture d'ailleurs. A part cela, comme tout vacancier qui se respecte, on a bien mangé, on a profité à fond de la piscine, on a lézardé longuement sur le sable , on a même visité des musées. Voilà ce que j'en retiens, au diable les problèmes de couple face au temps qui passe....

Malgré mon manque d'enthousiasme évident, je dirai que "Les vacanciers" reste tout de même agréable à lire pour celui qui veut faire une pause entre Sartre et Proust, un bon roman de gare... ou plutôt de plage. 11/20
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"Les vacanciers" a un nom prometteur. Serait-ce le roman idéal sur la serviette au bord de mon cher océan atlantique?

"Les vacanciers", c'est l'histoire de la famille Post, famille américaine relativement aisée, et d'un couple d'amis gays, partant en vacances 15 jours dans une superbe villa prêtée par une amie de Franny à Majorque . le roman est découpé assez simplement en 14 chapitres, relatant les 14 jours du séjour.

On suit donc les aventures de Jim et Franny, couple marié depuis 35 ans et qui connait pas mal de soubresauts suite au licenciement de Jim, de Sylvia, leur fille future étudiante, Bobby, leur fils qu'il ne voit jamais ainsi que sa copine Carmen. Mais également de Charles et Lawrence, amis proches de Franny, couple gay marié en attente d'une adoption.

Malheureusement, la magie n'a pas opéré pour moi. C'est une lecture légère, "idéale pour la période", mais bourrée de clichés plus ou moins éculés. Cela se lit relativement vite mais c'est sans grand intérêt. Pire, c'est même carrément ennuyeux par moment tellement cela manque d'action... Pas d'humour, pas d'ironie, pas de ton décalé comme on aurait pu imaginer dans ce genre de récit, "juste" un peu de sexe (parfois explicite), quelques tromperies, engueulades... Bref ça ressemble davantage au film navet de l'été qu'au chef d'oeuvre.

C'est dommage car il y a de bonnes idées: la vie et survie d'un couple avec l'age avançant et les enfants quittant le navire, la grande ado dépendant des nouvelles technologies ne pensant qu'à "découvrir la vie", le couple mal arrangé, l'importance de l'apparence,...
Rien n'était plus difficile ni plus important que de se mettre d'accord chaque matin sur le fait de poursuivre le voyage, de rester fidèle à soi-même et de prendre la même décision. Un mariage était un peu comme un navire: il fallait tenir la barre, et d'une main assurée. Franny s'accrocha au bras droit de Jim et, bien arrimée, se prépara aux turbulences à venir.

Il y avait du potentiel dans ce roman qui aurait pu en faire une lecture plus agréable. A l'arrivée, je ne pense pas retenir grand chose de la famille Post.

2/5
Lien : http://alombredunoyer.com/20..
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Avec l'arrivée inopinée du beau temps, de la chaleur et des vacances, quoi de mieux que de suivre les aventures d'une famille, partie ensemble se ressourcer le temps de deux semaines de vacances, dans une villa de Majorque ?

Si vous cherchez de la grande littérature, passez tout de suite votre chemin. Les vacanciers, comme son titre l'indique, est un roman tout destiné pour l'été, à lire au bord de sa piscine, ou bercé par les vagues de la mer. L'histoire racontée n'est pas très intéressante, mais le livre en lui-même est sympathique à lire - du moins, il fait passer le temps.

Franny, Jim, leurs deux grands enfants, Bobby et Sylvia, la petite amie de Bobby, Carmen, et un couple d'amis homosexuels de la famille, Charles et Lawrence, ont déposés leurs bagages à Majorque, dans les îles Baléares d'Espagne. Ils vont séjourner dans la demeure de Gemma durant deux semaines. Sylvia va en profiter pour travailler son espagnol avec Joan, son jeune professeur particulier, Jim va essayer de se faire pardonner auprès de Franny pour son infidélité, Charles va retrouver la complicité qu'il a toujours eu avec sa grande amie Franny, et Carmen va essayer - en vain - de se faire accepter par cette famille.

Malgré les plus ou moins graves problèmes, l'ambiance est au beau fixe dans ce roman. On sent une atmosphère conviviale, intime et familiale, agréable à parcourir. Malheureusement, la bonne humeur de façade du début laisse progressivement la place aux dessous véritables de chaque famille. C'est ainsi que le lecteur se rend compte que cette famille est loin d'être une famille modèle et exemplaire. Entre secrets, honte, mépris ou mensonges, la famille Post cumule de nombreux griefs familiaux ; souvent banals, originaux, ou plus graves.

Mais le gros point noir de ce roman, c'est l'inutilité des personnages, leur manque de personnalité, leur banalité effarante. En effet, personne ne se détache du lot ; ils sont prévisibles, pas du tout travaillés, peu approfondis. Un livre de Madeleine Chapsal que j'ai lu il y a quelques années, qui s'intitule Nos enfants si gâtés décrivait également des vacances en famille à l'île de Ré. Comme ce roman-ci, j'ai trouvé l'intégralité du livre peu exploité. Néanmoins, comme écrit dans ma chronique de Nos enfants si gâtés, "il est frais, il sent le soleil et les vacances".

Même si j'ai passé un bon moment à lire ce livre, il ne restera pas dans les annales. Une lecture quelque peu banale, sans grand intérêt, mais que les lecteurs saisonnier devraient pouvoir apprécier.
Lien : http://addictbooks.skyrock.c..
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