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Une enquête de Ginger Gold tome 1 sur 4
EAN : 9782824619071
320 pages
City Editions (25/08/2021)
3.78/5   74 notes
Résumé :
Après des années passées en Amérique, Ginger Gold, jeune veuve un peu excentrique, est de retour à Londres pour vendre sa maison d'enfance. Un séjour banal qui se complique quand Boss, son petit chien, découvre le corps momifié d'une femme dans le grenier. Shocking ! Qui est la victime ? Depuis combien de temps est-elle là ? À ses risques et périls, Lady Gold se lance dans une délicate enquête aux côtés de sa dynamique dame de compagnie et du séduisant inspecteur Ba... >Voir plus
Que lire après Une enquête de Ginger Gold, tome 1 : Un squelette dans le placardVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (34) Voir plus Ajouter une critique
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Vous aimez les petits meurtres à l'anglaise dans le style de « Son espionne royale enquête » de Rhys Bowen ou « Les soeurs Mitford enquêtent » de Jessica Fellowes, qui se passent tous les deux en Angleterre dans les années 20 ?
Ce roman est tout à fait dans le même style.
Nous allons suivre les aventures de Ginger Gold, une anglaise qui vent de passer 20 ans à Boston et qui est de retour à Londres pour régler la succession de son père.
Dans la maison où elle a passé son enfance, elle découvre un cadavre, et pour laver l'honneur de sa famille, elle va se mêler de l'enquête policière.
L'héroïne est une jeune veuve de guerre avec de la personnalité, du culot et de la répartie. Elle est accompagnée d'une amie qui intègre la première école de médecine accueillant des femmes.
J'ai bien aimé les descriptions de l'époque, les vêtements, les plats dégustés lors des réceptions, les meubles, les boutiques visitées, les rapports entre les hommes et les femmes, les liens familiaux au sein de l'aristocratie et comme toujours la présence des domestiques sans lesquels rien ne fonctionnerait dans les belles demeures bourgeoises.
Le style est léger, avec une pointe d'humour, ça se lit vite et avec grand plaisir.
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Ce roman contient tous les ingrédients pour en faire une lecture comme je les aime. J'ai déjà craqué sur la couverture, avec ce style rétro apporté par le personnage féminin, vêtu à la mode des années de l'entre-deux guerres, par la maison de style vieille Angleterre et par le petit cadre entourant le tout. Ensuite, en lisant le résumé, je savais déjà à l'avance que l'histoire allait me plaire, j'aime beaucoup les romans cosy mystery. Je suis une grande fan de Agatha Christie, avec Miss Marple et Hercule Poirot, et j'aime retrouver cette ambiance surannée dans mes lectures.
 
Et j'ai été gâtée ici avec ce roman de Lee Strauss. D'après mes recherches, il me semble que c'est le premier traduit en France, alors qu'elle en a publié seize outre-Atlantique. Donc, on va avoir de quoi se régaler !
Pour en revenir à ce roman, qui nous raconte donc la première enquête de Ginger Gold. Celle-ci est une jeune Anglaise, partie vivre en Amérique, à Boston. Elle revient à la mort de son père, dix ans plus tard, afin de vendre la maison familiale. Son fidèle majordome, Pippins, l'a prévenue qu'il avait fait une macabre découverte dans une pièce du grenier que le père de Ginger avait fermé à clef et qui est restée close pendant la dizaine d'années écoulées. Macabre découverte, car les restes d'un corps momifié sont découverts, apparemment une femme, vu les restes de ses habits. Il manque un doigt au squelette, que le fidèle chien de Ginger va retrouver sous le lit. Comme on peut se douter plein de questions viennent se poser, qui est la morte, depuis combien de temps est-elle là, comment est-elle morte et surtout pourquoi ? le père de Ginger serait-il lié à ce drame ? Plein de questionnements et de doutes que va se poser Ginger, aidée par son amie élève en médecine, et bien sûr par l'enquêteur de Scotland Yard, Basil Reed. Mais Ginger compte bien elle aussi faire des recherches, et c'est avec beaucoup d'entrain et de dynamisme qu'elle se met alors elle aussi à enquêter. Elle veut surtout lever les soupçons sur son père. Elle va avoir des idées ingénieuses afin de lever le mystère sur ce drame.
 
Je ne peux bien évidemment pas vous en dire plus, au risque de gâcher le suspense créé par l'autrice. Car il va y en avoir, et pas qu'un peu. Je me suis tout de suite plu dès les premières lignes dans ce roman. L'action commence dès le départ, et m'a tenue en haleine tout le long, me posant les mêmes questions que Ginger et me demandant comment tout cela allait pouvoir se résoudre. À côté de cette énigme, il y a la personnalité de Ginger, exubérante, excentrique parfois. On est dans les années 1920, la femme veut prendre sa place dans la société, les robes et les cheveux raccourcissent, elle apprend à conduire les premières voitures motorisées, elle veut de plus en plus être indépendante, et Ginger en est tout à fait l'exemple. Elle aide l'inspecteur, elle prend des risques, au risque même de se mettre en danger.
On assiste également aux premiers balbutiements de la médecine légale, avec l'autopsie du corps, la recherche d'indice, et des causes de la mort. Ce n'est pas abordé dans les détails, mais juste assez pour rendre l'enquête intéressante.
Le côté historique est également bien dépeint. On est à la sortie de la première guerre mondiale, c'est le moment de la reconstruction pour le pays, avec beaucoup d'hommes absents, car morts à la guerre. le pays panse ses plaies, les gens veulent à la fois honorer leurs chers disparus et oublier ces moments terribles, d'où une certaine insouciance pour certains. Des jeunes filles se retrouvent à vivre avec leurs grand-mères hyper guindées, n'ayant plus de pères, elles rêvent de liberté mais se font remettre à leurs places. On assiste à des confrontations entre les générations, comme il peut y avoir encore. Celles-ci sont souvent source de scènes cocasses qui font sourire.
 
Je me suis très vit attachée à Ginger et aux autres personnages de ce roman. Je les ai trouvés tous très bien travaillés dans leurs rôles respectifs. Ils sont à la fois émouvant et drôles, j'ai bien souvent souri face à certaines situations ou réparties. J'ai beaucoup aimé Ginger, elle est très contemporaine et en même temps, respectueuse des traditions.
L'enquête, quant à elle, est très bien menée. L'autrice l'a bien travaillée également, et m'a menée par le bout du nez. Mes soupçons se sont portés sur plusieurs personnes. Comme dans les romans d'Agatha Christie, Lee Strauss a fait une sorte de huis-clos et de réunion finale pour trouver le coupable, j'aime bien ce procédé. Par contre, je me suis littéralement fait avoir sur l'identité du coupable. Je n'avais pas du tout soupçonné ce personnage. Mais, chut, je n'en dirai pas plus…
 
J'ai passé un excellent moment avec ce roman. La lecture s'est faite très facilement, grâce tout d'abord au très bon style de l'autrice, très fluide, des chapitres courts qui mettent du rythme. Et plus on s'approche de la fin et plus le rythme est effréné. Apparemment, il y aurait eu une enquête avant celle-ci, sur le bateau amenant Ginger en Angleterre, où elle aurait déjà rencontré l'inspecteur Reed. J'ai cherché dans les livres de l'autrice mais je n'ai pas trouvé le roman correspondant. Pacontre, une nouvelle enquête de Ginger Gold devrait sortir en novembre, toujours chez City éditions, dont le titre est le manoir des mauvais esprits, avec une nouvelle fois une magnifique couverture, dans les tons bleus cette fois-ci. J'ai déjà noté cette sortie dans mon agenda car j'ai très envie de retrouver la pétillante Ginger dans une nouvelle enquête.
 
Je ne peux que vous conseiller ce roman. Si vous aimez les cosy mysteries, les romans d'Agatha Christie, les Agathe Raisin, etc, vous serez gâtés avec cette histoire. Je sais qu'en ce moment, ce genre est un peu à la mode, qu'il y a beaucoup de parutions, et qu'on ne s'y retrouve pas tout le temps, mais franchement, ces enquêtes de Ginger Gold sont vraiment très bien construites et menées et j'aime tellement cette ambiance vieille Angleterre… J'espère que de nombreux romans de Lee Strauss seront traduits, cela augure de très bonnes heures de lecture.
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Autoéditée via la société canadienne La Plume Press (équivalent d'"éditeurs" tels que Librinova ou Edilivre en France), la série des "Enquêtes de Ginger Gold" rencontre semble-t-il un beau succès outre-Atlantique. Comme beaucoup de séries autoéditées qui le revendiquent comme un label, elle serait par exemple Best-seller du USA Today et rassemblerait une communauté de lecteurs assez importante dans les pays anglo-saxons. Autrice de plusieurs autres séries autoéditée, Lee Strauss, apparemment très productive, compte à sa bibliographie un nombre impressionnant de titres en peu de temps. Mais quantité est-il synonyme de qualité ?

A la fin de cette première lecture, nous avouons être un peu mitigé. Abordons tout d'abord la question du packaging : s'il est bien évidemment criminel de juger un livre à sa couverture, il est parfois tout aussi difficile d'ignorer la couverture lorsque celle-là même est criminelle. En l'occurrence, l'éditeur français a choisi de conserver le visuel de l'édition originale. Fausse bonne idée. L'autrice remercie en postface la personne chargée du graphisme de sa couverture pour son "travail impeccable" : on ne discutera pas des goûts et des couleurs, mais on ne peut pas dire que le design respire l'élégance qui sied de coutume à ce type de roman. Une version alternative des couvertures en VO présentait un fond similaire et le visage d'une Ginger Gold très Art Déco dans une pastille, pour un résultat plus stylisé qui aurait sans doute été un meilleur choix.

Après le contenant, abordons la question du contenu. Lee Strauss a avoué à plusieurs reprises avoir été très inspirée par "Les folles enquêtes de Phryne Fisher" ainsi que leur adaptation en série télévisée ("Miss Fisher enquête !"), tout en se défendant d'avoir plagié son autrice, Kerry Greenwood. Faute avouée, à moitié pardonnée ? Si certains détails du passé de Ginger s'éloignent de celui de Phryne (Ginger ne cumule pas les amants, a été mariée puis veuve, a travaillé pour les services secrets, etc.), les quelques différences restent minimes. Son retour au bercail en début de roman, son amie médecin, sa femme de chambre, sa relation ambiguë avec l'inspecteur et leur jeu du chat et de la souris... sans oublier une comtesse douairière très à cheval sur les convenances, qui évoque évidement Tante Prudence (et aussi beaucoup Lady Grantham de "Downton Abbey"). Ceci étant, ces ressemblances restent pour les nostalgiques de Miss Fisher la promesse d'une ambiance similaire et constituent en cela un moteur suffisant à la lecture. L'intérêt se situe alors dans les dialogues et plusieurs scènes habitées d'un humour léger qui garantissent de passer un bon moment.

La maîtrise du contexte historique est cependant fragile chez Lee Strauss (là où Kerry Greenwood, elle, excelle). Cela se joue à un ensemble de détails, certes, mais Dieu sait que le Diable se cache dans les détails. Porter une robe charleston à une soirée mondaine ? Être titulaire d'un titre de noblesse et ouvrir une boutique comme n'importe quelle roturière ? Se clamer haut et fort membre des Bright Young Things ? Des erreurs scénaristiques qui privilégient le tape-à-l'oeil à la véracité et qui témoignent d'une méconnaissance du système de classes britannique et de certains de ses codes au tournant des années 20, et ce bien que l'autrice ait d'après sa postface fait de nombreuses recherches. Ces éléments ne seront peut-être pas remarqués par la plupart des lecteurs, mais les plus exigeants, fins connaisseurs de la culture anglo-saxonne, tiqueront à plusieurs reprises.

Côté intrigue, ce "Squelette dans le placard" se laisse malgré tout lire sans déplaisir, même si l'énigme est assez transparente. le concept de rejouer la soirée du meurtre dix ans plus tard est assez romanesque pour en faire un élément capital du roman, bien que l'enquête en elle-même n'échappe pas à certaines invraisemblances : interrogés par Ginger sur les événements de 1913, tous les suspects semblent s'en souvenir comme si c'était hier. Les férus de polars devineront certainement la clef de l'énigme avant sa révélation finale, mais se laisseront quand même porter jusqu'à la fin. A noter que ce premier tome paru en France est en fait le second de la série : quelques informations concernant une enquête menée à bord du paquebot qui a conduit Ginger en Angleterre font en fait référence à l'opus précédent ("Meurtre en haute mer", sorti après coup chez City éditions et présenté comme un préquel) ; cela ne gène en rien l'immersion dans cet opus-ci.

En bref : Premier tome à paraître en France des "Enquêtes de Ginger Gold", "Un squelette dans le placard" s'inscrit dans la lignée très en vogue des cosy mysteries mettant en scène une lady qui s'improvise détective. Autoéditée au Canada, cette série souffre de visuels qui ne trompent pas quant à la nature éditoriale de ces romans, mais propose un contenu sympathique à défaut d'être totalement original. Très inspiré de la série "Miss Fisher enquête !", ce premier opus de Ginger Gold reste plaisant malgré les approximations dans la reconstitution historique et les nombreux éléments empruntés à l'univers de Kerry Greenwood. Les lecteurs qui cherchent un pure moment de détente seront satisfaits.
Lien : https://books-tea-pie.blogsp..
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Ginger Goldman, une jeune veuve un peu excentrique, est de retour à Londres dans sa maison d'enfance, après des années passées en Amériques. Elle est de retour pour régler les affaires de son défunt père et vendre cette demeure familiale. Mais les choses se complique lorsque le corps d'une jeune femme est retrouvée dans le grenier…
Qui est-elle et depuis combien de temps est-elle là?
Ginger, va se lancer dans cette enquête à ses risques et périls aux côtés de sa dame de compagnie et du séduisant inspecteur Basil Reed.

J'ai découvert les cosy mysteries il y a peu de temps et pour tout vous dire j'adore ça! Bienvenue dans les enquêtes de Ginger Gold, ou vous ne serez pas confronté à des scènes violentes, ni des bains de sang, mais à une enquêtes aux allures de comédie, avec des énigmes à résoudre. Nous y retrouvons tous les ingrédients d'un polar soft.

Ici l'ambiance est délicieuse, et l'histoire totalement addictive! Jusqu'à la fin l'intrigue est maintenue, et j'étais loin d'avoir découvert qui était en dessous de cette sombre affaire. Une enquête simple et efficace totalement captivante.

Ginger ne manque pas d'énergie quand il s'agit de sauver l'honneur de son défunt père, parce qu'une découverte macabre dans le grenier n'est pas très bonne pour redorer le blason de la famille.

Les personnages sont très caricaturaux, mais c'est ce qui fait tout leurs charmes. On découvre au fil des pages les petits travers de chacun et c'est juste divin!!!

Ce que j'apprécie énormément dans ce roman c'est l'époque à laquelle ou cela se déroule, c'est une enquête à l'ancienne ou les moyens mis à disposition étaient plutôt réduit, ce qui rend les choses aussi intéressantes. On se retrouve plongé dans les années 20 à Londres et on y découvre les habitudes et les modes de vie de l'époque et je pense que je continuerai cette série pour suivre le personnage haut en couleur de Ginger et de son petit chien Boss.

L'écriture de l'auteur est fluide, et ce roman se dévore, on ne voit pas les pages défiler.

Si vous aimez les cosy mysteries, celui-ci ne pourra que vous séduire.
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Ginger, noble anglaise expatriée aux Etats-Unis depuis son enfance, retourne chez elle suite à la mort de son père. La maison anglaise de ce dernier,« fermée »depuis dix ans, est préparée pour la venue de Ginger. C'est alors que le majordome y découvre un cadavre. La jeune femme décide de mener l'enquête.
Les « cosy mystery » sont à la mode et chaque éditeur sort une ou plusieurs séries pour satisfaire l'attente des amateurs du genre. le choix commence donc à être assez large et j'ai décidé de me tourner vers une série a priori moins populaire que les « Agatha Raisin » and co en espérant être agréablement surprise. le synopsis me plaisait et je ne me suis pas laissé rebuter par la couverture que je trouve particulièrement « faiblarde ». Je commence donc ma lecture et constate dans un premier temps que ce volume, présenté comme un tome 1, n'en est pas véritablement un. En effet, on comprend vite que cette enquête n'est pas la première de cette chère Ginger et qu'elle a déjà eu affaire à un meurtre durant sa traversée de l'Atlantique. Je trouve donc dommage que ce tome introducteur n'ait pas été traduit en français. Bref, passons. Au tout début de ma lecture, je suis agréablement surprise par le fait qu'on entre très rapidement dans le vif du sujet. Pas de temps mort, le cadavre est découvert et l'enquête commence. J'ai apprécié que l'auteure aille droit au but sans pour autant perdre ses lecteurs, le cadre et les personnages étant présentés et caractérisés assez efficacement. Mais j'ai rapidement déploré le fait que cette vitesse d'exécution s'applique à l'ensemble du livre. J'ai eu l'impression d'être restée en surface et j'ai trouvé l'ensemble bien superficiel. Au final, l'auteure se contente de nous servir une enquête sans saveur où les fausses pistes se voient à 3 kilomètres à la ronde. Bref, comme un air de paresse narrative où l'auteure se contente de proposer ce que le lecteur lambda attend sans chercher à aller plus loin ou à viser plus haut. Et j'ai trouvé cela bien dommage car je sentais que je pouvais m'attacher au personnage principal. Mais je n'irai pas plus loin car, vu le prix des livres, c'est cher payé pour des enquêtes assez faiblardes. Cependant, je conçois que cette vitesse d'exécution puisse plaire à certains qui ont envie de lectures faciles. Ainsi, je ne le déconseillerais pas sauf si vous cherchez des enquêtes de l'acabit d'un roman d'Agatha Christie. Là c'est clair et net, ne vous attardez pas sur ce titre.
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Citations et extraits (2) Ajouter une citation
Ginger Gold hésita devant la porte d'entrée de Hartigan House. Elle n'avait pas pensé ressentir quoi que ce soit. Pourtant, une profonde mélancolie semblait peser sur ses épaules. [...] Elle avait vécu ses huit premières années dans cette maison. Sa dernière visite remontait à une décennie, au moment de sa lune de miel. [...]

Haley Higgings, son amie et compagne de voyage, remarqua son trouble.

- Tout va bien ?

- Hartigan House est pleine de souvenirs. [...]

Elle s'était enfin décidée à rentrer, mais elle ne s'attendait pas à un accueil aussi déconcertant que lui avait offert ce télégramme, arrivé alors qu'elle se trouvait encore à bord du SS Rosa : DÉCOUVERTE ÉPOUVATABLE DANS LE GRENIER HARTIGAN HOUSE. [...]

Bientôt, la porte s'ouvrit. Devant elles se tenait M. Pippins, le majordome.
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Ginger tenta d'imaginer les événements qui avaient pu conduire au décès de cette malheureuse. Et dans sa propre maison ! Cela dépassait l'entendement. Ses genoux tremblèrent, mais elle répugnait à s'asseoir sur le lit poussiéreux.
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