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Les mystères de Paris - Complexe tome 1 sur 4
EAN : 9782264082985
456 pages
10-18 (05/10/2023)
3.67/5   90 notes
Résumé :
« Les mystères de Paris » est un colossal roman d’aventure populaire qui a tenu la France entière en haleine de 1842 à 1843. Il puise sa matière dans les mœurs violentes des voyous des bas-fonds parisiens, dont il a contribué à populariser l’argot.
Rebondissements incessants, suspense à la fin de chaque épisode : « Les mystères de Paris » a créé un genre, celui de la série, qui a triomphé de toutes les époques et de tous les supports jusqu’à aujourd’hui !
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Critiques, Analyses et Avis (20) Voir plus Ajouter une critique
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J'ai adoré ce livre Audiolib pour deux raisons.
Tout d'abord Audiolib est français son concurrent Audible est Amazone, audible.co.uk pas audible.fr

En littérature la principale vertu d'un livre, est de vous dépayser, vous faire rêver, vous pousser à imaginer...
Oui malgré toutes ces ficelles maintes fois utilisées par nos auteurs favoris, à commencer par le poulpe... Je persiste.
Devraient-elles nous éloigner de ce livre, le quasi 1er du genre !
A chacun son avis, lecteurs d'Eugène Sue soyez sur que modestement j'ai beaucoup aimé à le voir tirer sur ses ficelles.


Édite par le Journal des Débats entre 1842 et 1843, les Mystères de Paris, est probablement un exemple unique dans la littérature française, une oeuvre qui a commencé à s'écrire dans une totale discrétion, pour devenir un roman fleuve qui a tenu en haleine des milliers de lecteurs pendant plus d'une année.
L'auteur totalement éloigné des personnages qu'il va peu à peu dévoiler, avait eu l'idée par son ami Goubaux, de raconter non plus la bonne société dans laquelle il évoluait mais le peuple. Eugène Sue se procure une blouse rapiécée, et coiffé d'une casquette descend incognito dans une taverne mal famée, encore appelée un Tapis Franc. Là, Eugène Sue assiste à une rixe entre deux personnes qui lui soufflent les premières répliques hautes en couleur des Mystères de Paris.


Le Paris de 1842 ne s'invente pas, les beaux quartiers n'ont pas l'habitude de négocier avec un chourineur, ni d'écouter la goualeuse encore moins de recevoir les conseils avisés de Bras Rouges en matière de placement.

Les trois premiers personnages émergent ainsi, la jeune fille a peine âgée de 16 ans orpheline au service d'une ogresse, un ancien boucher, le chourineur revenu d'une longue période passée derrière les barreaux au bagne de l'île de Ré, et Rodolphe celui qui terrassa le redoutable chourineur.

Rodolphe, propose à son agresseur de boire le verre de la paix, l'opportunité pour lui de connaître la vie chaotique de ses rencontres fortuites, tout en poursuivant son enquête sur de sombres complots qui agitent la capitale.


Protéger ses nouveaux indics, sauver la belle Goualeuse à la voix de princesse, utiliser la force et le passé du chourineur, un bandit au grand coeur pas si mauvais bougre, pour retrouver la trace d'un certain François Germain, et la trame se met à grossir, au fil des multiples découvertes de Rodolphe, Eugène Sue n'a plus qu'à coudre et découdre, pour tisser son meilleur roman, un roman noir, et noire comme la Chouette.

Le héros des Mystères est le modeste Rodolphe, un homme d'une distinction parfaite dont on ne tardera pas à imaginer des origines princières, mais qui peut à l'image d' Eugène Sue, se travestir en modeste ouvrier.
On imagine combien de romanciers ont puisé dans ce roman, d'intrigues, d'idées, de personnages, comme :
Rigolette, une grisette toujours rieuse, mais sérieuse et précieuse ;
Le Maître d'école, un ancien bagnard brutal, maitre chanteur aux lourds secrets ;
Le Ferrand, notaire affairiste qui plongera des familles dans la misère 


Rodolphe gagne à sa cause bien des appuis et des compétences, avec une mention pour David le médecin surdoué, un jeune noir ancien esclave,


Les bons, la brute et le truand, sont bien campés sur leurs destins.


La fin un peu too much, vient à point nommé pour les futurs artistes de polars, une fin tragique ou qui laisse une zone d'ombre est bien mieux appréciée qu'une fin princière.
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Encore une magnifique redécouverte grâce à un livre audio, je suis décidément vraiment accro à ce nouveau format, qui donne une autre dimension à la lecture, même si on ne profite pas de cette écoute pour faire autre chose en même temps. On a l'impression d'assister à une pièce de théâtre, et avec cette histoire lue de manière si vivante par Loïc Richard, on est immédiatement transportés au dix-neuvième siècle. Il sait donner vie aux personnages et à leur langue souvent très imagée, faisant parler tour à tour des bandits, un homme noble ou une timide jeune fille. Il choisit le ton adéquat pour chacun d'eux.

J'ai lu ce livre en entier il y a des décennies et je n'en avais pas gardé grand souvenir, si ce n'est que je l'avais beaucoup apprécié à l'époque. Il s'agit ici de sa première partie et c'est assez frustrant que le fichier s'arrête en plein milieu de l'histoire, mais si mes souvenirs sont bons c'est un énorme pavé et il ne doit pas tenir en un seul fichier, j'espère avoir l'occasion de lire la suite plus tard. Rodolphe, se disant ouvrier, se rend dans la cité pour rencontrer un contrebandier. Tout près de sa maison, il se bat avec le Chourineur qui veut frapper une jeune fille, Fleur de Marie. Il flanque une raclée au brigand puis les emmène tous les deux dans le cabaret voisin pour souper, car il désire entendre leur histoire. Ils sont tous les deux misérables, ayant été poussés dans la délinquance et la marginalité par la nécessité. Même si ce n'est jamais dit, on comprend que le jeune fille se prostitue pour survivre. Rodolphe entrevoit du coeur et de l'honneur en eux et entreprend de les sauver. Il y a de nombreuses péripéties et cette partie s'achève sur la manière de rendre la justice de Rodolphe, en réalité un homme riche et noble. Il le fait en dehors des lois et selon son propre sens de l'équité, il fera payer ses crimes très cher au Maître d'école.

Il ne faut pas s'attendre à un polar comme on en a l'habitude, le genre n'en est qu'à ces balbutiements en 1842/43 lors de la publication de ce roman sous forme de feuilleton. Comme les auteurs de romans noirs actuels, Eugène Sue utilise ce genre promis à un bel avenir pour passer un message sur la société de son temps. Nos préjugés culturels peuvent rendre ennuyeux les bons sentiments, la piété et la commisération pour les pauvres qui suintent tout au long du roman, mais l'époque était sans pitié pour les plus défavorisés, on parlait bien de classe laborieuse, classe dangereuse. Avec l'esprit de son époque, donc plein de piété, il veut montrer que ces personnes sont plus victimes que coupables, que les enfants pauvres sont exploités dès leur plus jeune âge et n'ont souvent pas d'autre avenir que l'opprobre et la délinquance. Fleur de Marie se sent tellement salie qu'elle n'ose plus entrer dans une église, toutefois, dès qu'elle est sauvée elle se met à prier, on va dire que c'est une vision de la première moitié du dix-neuvième siècle. de même le Chourineur voit sa générosité se révéler dès que Rodolphe lui a dit qu'il est un homme de coeur et d'honneur malgré son passé. Cette vision moraliste ne peut que nous faire sourire, mais il faut se rappeler que la psychanalyse et la sociologie étaient encore à inventer. Ce message devait être novateur pour l'époque où on n'avait guère de considération pour les marginaux et les misérables. On peut penser que ces romans sociaux ont peu à peu ouvert la voie à l'évolution des mentalités et au désir de plus de justice sociale.

La vision de la justice de Rodolphe est aussi assez étrange, il a une drôle de manière de lutter contre la peine de mort. Ce roman est plein de rebondissement et ne pouvait que plaire à ses lecteurs. Il mérite d'être redécouvert, ne serait-ce que comme témoignage d'une époque, et il nous change des grands classiques mis en avant par les institutions scolaires comme Balzac, Stendhal ou Maupassant.

Un grand merci à Netgalley et Voolume pour cette agréable redécouverte, en espérant avoir l'occasion de terminer cette histoire.

#LesMystèresdeParis #NetGalleyFrance
Lien : https://patpolar48361071.wor..
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Lu par Loïc Richard

Première écoute d'un livre audio d'une bonne longueur, 6 heures ! Jusqu'à présent je n'avais pas dépassé 1 heure d'écoute avec Lovecraft. Il faut mobiliser son attention afin de ne pas perdre le fil de l'histoire.

J'ai déjà lu et relu Les Mystères de Paris et je me rappelais un peu le déroulement, ça m'a bien aidé parce que le son devient vite du bruit, donc désagréable !

Du coup je me suis aperçue qu'il ne se passait pas énormément de choses, ce qui n'est pas flagrant en lecture puisqu'on peut adapter sa vitesse de lecture.

Autre chose que j'ai noté, c'est la pitié omniprésente qui se dégage des paroles des nantis envers les pauvres gueux. Cette compassion appuyée même avec une bonne volonté c'est lourd !

Heureusement la lecture de Loïc Richard a donné du pep's à l'histoire et ses imitations des personnages me donnaient tout à fait l'image que j'en avais ! Il a même réussi à me faire rire mais il faut dire que la Chouette se la pète parfois !

Essai réussi qui m'a donné envie de me replonger dans ce roman-fleuve !

#LesMystèresdeParis #NetGalleyFrance

Challenge XIXè SIECLE 2021
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C'est grâce aux éditions VOolume que j'ai enfin pu lire le premier tome de la série « Les mystères de Paris » d'Eugène Sue, et je les remercie pour l'excellent enregistrement de ce livre audio.
Il y a un côté cour des miracles car nous nous retrouvons dans les bas-fonds de Paris au début du 19ème siècle. Ce réalisme social est d'autant plus juste que les descriptions d'Eugène Sue sont époustouflantes. Il est très fort pour détailler les personnages et cela et très impressionnant grâce à l'excellente lecture de Loïc Richard. On s'y croirait et le vocabulaire argotique ne pas gênée le moins du monde.
L'histoire commence donc très bien avec la bagarre entre Rodolphe et le Chourineur qui s'est mal comporté auprès de la Goualeuse.
Dans ce premier volume on ne sait pas vraiment qui est Rodolphe en dehors du fait qu'il s'agit d'un homme riche qui veut faire la justice dans les bas quartiers. Il se fait passer pour un ouvrier fabricant des éventails et prend sous sa protection la Goualeuse, une très jeune fille qui s'est fait exploitée par la Chouette, vieille femme borgne.
Le bon bougre de Chourineur battu par Rodolphe deviendra son ami ou plus exactement son obligé, reconnaissant la bonté du jeune homme envers son prochain. Mais quand le maître d'école arrive, l'ambiance va changer. Cet homme cruel et violent dont on ne connaît pas l'identité terrorise tout le monde. Il est appelé comme cela parce qu'il est suffisamment savant et stratège pour réussir ses coups. L'affrontement des deux hommes fait monter la tension.
Pour autant, il est très rapidement question de charité chrétienne, de repentir ou d'expiation des pauvres gens, qu'ils soient bons ou mauvais. Je trouve qu'il y a vraiment beaucoup trop de bondieuseries dans tout cela. le pire est que Rodolphe, qui veut faire la justice lui-même face au manque de repentance de son ennemi, est particulièrement odieux. La fin que je ne dévoilerai pas est sordide. Bref, je suis déçue mais cela n'enlève rien à la qualité de l'écriture et surtout de la lecture de cette histoire qui a été publiée sous la forme d'un feuilleton… qui est donc loin d'être terminée.


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Bien contente de m'être enfin frottée aux mythiques « Mystères de Paris ». Phénoménal succès populaire lors de sa parution en feuilleton dans la presse en 1842, l'oeuvre d'Eugene Sue était quasiment révolutionnaire par les thèmes abordés.
Situé dans les bas-fonds parisiens, le roman met en scène le petit peuple avec son lot de crapules, de voleurs, de bagnards libérés et au milieu, un justicier, Rodolphe. Toute une galerie de personnages pas toujours sympathiques dans une capitale aux prises avec la misère, bien loin de l'image romantique de Paris.

Tout pour me plaire et pourtant je n'irai pas plus loin que ce premier tome parce que ça a quand même salement vieilli. Je développe:
La visée politique que l'on prête à cette histoire n'est vraiment pas flagrante dans le tome 1. Je m'attendais à quelque chose de plus incisif or j'ai carrément trouvé ça très paternaliste.
Ensuite, le style est lourd avec notamment les dialogues en argot et leur traduction simultanée. Et puis ayant été conçu comme un feuilleton, l'auteur est souvent contraint d'effectuer des mises au point ou des rappels sur ce qui s'est passé précédemment. Alors bien évidemment quand on en fait une lecture continue, ce n'est pas fluide. C'est laborieux et c'est inégal. Certains passages captivent et d'autres sont totalement lénifiants.

Forcément mes réflexions ne portent que sur les 450 pages de ce premier volet et peut-être faut-il aller au bout pour vraiment ressentir tout le génie d'Eugene Sue mais ce sera sans moi.
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critiques presse (1)
Telerama
13 novembre 2023
Aucun roman n’eut pareille postérité
Lire la critique sur le site : Telerama
Citations et extraits (16) Voir plus Ajouter une citation
Il eût été très difficile d'assigner un caractère certain à la physionomie de Rodolphe ; elle réunissait les contrastes les plus bizarres.
Ses traits étaient régulièrement beaux, trop beaux peut-être pour un homme. Son teint d'une pâleur délicate, ses grands yeux d'un brun orangé, presque toujours à demi fermés et entourés d'une légère auréole d'azur, sa démarche nonchalante, son regard distrait, son sourire ironique, semblaient annoncer un homme blasé, dont la constitution était sinon délabrée, du moins affaiblie par les aristocratiques excès d'une vie opulente. [...] Certains plis du front de Rodolphe révélaient le penseur profond, l'homme contemplatif... et pourtant la fermeté des contours de sa bouche, son port de tête quelques fois impérieux et hardi, décelaient alors l'homme d'action dont la force physique, dont l'audace, exercent toujours sur la foule un irrésistible ascendant.
Souvent, son regard se chargeait d'une triste mélancolie, et tout ce que la commisération a de plus secourable, tout ce que la pitié a de plus touchant, se peignait sur son visage. D'autres fois, au contraire, le regard de Rodolphe devenait dur, méchant ; ses traits exprimaient tant de dédain et de cruauté qu'on ne pouvait le croire capable de ressentir aucune émotion douce.
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Tu connais mes idées au sujet du bien que l'homme peut faire. Secourir d'honorables infortunes qui se plaignent, c'est bien. S'enquérir de ceux qui luttent avec honneur, avec énergie, et leur venir en aide, quelques fois à leur insu... prévenir à temps la misère ou la tentation, qui mènent au crime... c'est mieux. Réhabiliter à leurs propres yeux, rendre tout à fait honnêtes et bons ceux qui ont conservé purs quelques généreux sentiments au milieu du mépris qui les flétrit, de la misère qui les ronge, de la corruption qui les entoure, et pour cela, braver, soi, le contact de cette misère, de cette corruption, de cette fange... c'est mieux encore. Poursuivre d'une haine vigoureuse, d'une vengeance implacable, le vice, l'infamie, le crime, qu'ils rampent dans la boue ou qu'ils trônent sur la soie, c'est justice... Mais secourir aveuglément une misère méritée, mais dégrader l'aumône et la pitié, mais prostituer ces chastes et pieuses consolatrices de mon âme blessée... les prostituer à des êtres indignes, infâmes, cela serait horrible, impie, sacrilège. Ce serait faire douter de Dieu. Et celui qui donne doit y faire croire.
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Il sentit que le pauvre qui restait honnête au milieu des plus cruelles privations était doublement respectable, puisque la punition du crime pouvait devenir pour lui une ressource assurée.
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- [...] Alors, je me disais : «La rivière sera toujours là ; je n'ai pas dix-sept ans... qui sait ?»
- Quand vous disiez «qui sait ?»... vous espériez ?
- Oui.
- Et qu'espériez-vous ?
- Je ne sais pas... J'espérais... Oui, j'espérais presque malgré moi... Dans ces moments-là, il me semblait que mon sort n'était pas mérité, qu'il y avait en moi quelque chose de bon. Je me disais : «on m'a bien tourmentée ; mais au moins, je n'ai jamais fait de mal à personne... Si j'avais eu quelqu'un pour me conseiller, je ne serais pas où j'en suis !...» Alors ça chassait un peu ma tristesse...
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Maintenant je t’en arracherai une comme ça tous les jours, Pegriotte ; et, quand tu n’auras plus de dents, je te ficherai à l’eau : tu seras manger par les poissons ; il se revengeront sur toi de ce que tu as été chercher des vers pour les prendre. Je me souviens de ça, parce que ça me paraissait injuste… Tiens, comme si c’était pour mon plaisir que j’allais aux vers !
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