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La vie des douze césars tome 1 sur 3
EAN : 9782251012575
305 pages
Les Belles Lettres (15/02/2003)
3.8/5   25 notes
Résumé :
Dans sa retraite de Caprée, il imagina même d'installer un local garni de bancs pour des obscénités secrètes; là, des troupes de jeunes filles et de jeunes débauchés ras-semblés de toutes parts..., formant une triple chaîne, se prostituaient entre eux en sa présence, pou' ranimer par ce spectacle ses désirs éteints. Il orna des chambres placées en différents endroits d'images et de statuettes reproduisant les tableaux et les sculptures les plus lascifs... pour que c... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (5) Ajouter une critique
J'ai lu il y a longtemps les biographies « romancées » (l'auteur n'était pas un grand romancier) de Jules César et Auguste par Roger Caratini. Je me décide enfin à aller voir l'une des quelques sources antiques.
Pourquoi Suétone plutôt que Tacite ? Ben… j'ai pris le premier qui m'est passé sous les yeux.
Est-ce une bonne pioche ? Ben… je vais faire une réponse de Normand.

D'un point de vue masse d'informations on est servi. C'est carrément exhaustif. Tout y passe ; Suétone n'oublie aucun détail. Les grands moments de l'Histoire sur lesquels les auteurs insistent en général sont traités avec la même célérité que les petits détails. Chez César la guerre des Gaules est expédiée en une page et la bataille de Pharsale (face à Pompée) en deux lignes. Pas mieux pour Octave/Auguste pour la bataille de Philippes (allié à Marc Antoine contre Cassius et Brutus, les assassins de César) ou Actium (contre Marc Antoine et Cléopâtre).
Les actes législatifs des deux hommes sont énumérés avec précision. On en apprend beaucoup sur les difficultés de César lors de sa préture ou de son consulat ; il a eu de nombreux échecs. On se rend compte de l'ambiance d'intrigue et de la violence des séances du Sénat. Pour Auguste, une fois son pouvoir installé, ça n'est pas la même chanson ; on sent bien la soumission du Sénat.
Suétone décrit le physique des deux hommes dans leurs détails les plus scabreux, ce qu'ils aimaient manger, comment ils se détendaient, leur vie amoureuse et leurs incartades. Une grande place est laissée aux présages qui ont émaillé leur vie – il semble qu'Auguste ait toujours été averti de ses victoires et même de sa mort avant que ces événements n'aient lieu – et aux songes qu'ils ont pu faire.
Bref, ce livre est une bible pour les étudiants en Histoire et pour les écrivains ou scénaristes qui veulent évoquer ces personnages dans leurs oeuvres.

Mais le style est d'une sécheresse effroyable. L'émotion en est absente. J'ai parfois eu l'impression de lire un dictionnaire. Malgré tous les détails apportés par le texte, à aucun moment on a l'impression de pénétrer dans la tête de César et Auguste, de saisir leur psychologie. Même Roger Caratini fait mieux, c'est dire. Quant à l'entourage, ce ne sont que des ombres sans substance. Pompée, Calpurnia, Crassus, Livie, Germanicus, Tibère sont présents mais uniquement dans la mesure où ils interagissent avec les biographiés. de leur existence on ne saura que peu de choses.
Je me souviens de la série Moi Claude, Empereur, adaptée du roman de Robert Graves. de l'ambiance « Game of Thrones » qui y régnait, des infâmes complots de Livie pour mener son fils Tibère au pouvoir. Rien de tout cela ici.

Je continuerai Suétone bientôt avec Tibère et Caligula. Je sais à quoi m'attendre à présent : de l'information, peu d'émotions. C'est quand même dommage.
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Suetone, chevalier de son état, un grade ne l'élevant pas au niveau aristocratique, ami et protégé de Pline le Jeune, donne ici une galerie de portrait hauts en détails et en couleurs
Cependant j'attire l'attention que si la lecture est plaisante et riche de détails, il ne faut pas prendre pour argent comptant tout ce qui rapporté. Par ailleurs il s'agit d'une compilation historique, Suetone est « un rapporteur » comme le sont nos journalistes d'aujourd'hui ou certains historiens, qui transforment l'histoire à leur manière, et de manière tout à la fois livresque et personnelle, voire partiale et infondée.
Les fameux empereurs maudits qui y sont brossés relèvent d'une mode et d'un parti pris évidemment politique.
Il faut abattre les mauvais gouvernants et les prédécesseurs pour flatter le nouveau Cesar au pouvoir, pour s'en faire remarquer et obtenir de lui des avantages et des montées en grade.
Ainsi Néron et Domitien, pour ne citer qu'eux, sont décrits sans complaisance et avec une mauvaise foi évidente, ce fait concernant principalement Domitien que connurent Suetone et Pline, et qui, pour plaire à Trajan, n'ont cessé de dévaloriser dans tous leurs écrits et faits et gestes. Tacite n'a pas dérogé à cette règle.
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Pour connaître des détails extrêmement précis, dont on peut se demander s'ils sont véridiques. Pour briller au cours d'initiation au latin, si cette matière existe encore en 5ème...
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Je veux seulement vous donner un poème /aperçu sur l'un des empereurs romains.

Elagabulus

Hérodian et aussi Edward Gibbon,
me font revivre dans vos mémoires,
et avec moi les empereurs Néron
ou Caracalla… Dans les vieux grimoires
de vos greniers vous lirez leur histoire
et la mienne et comment de Varius
je devins l'empereur Elagabulus.

À l'âge où l'on va encore à l'école,
des lambeaux de Rome j‘étais l‘empereur;
chaque sept jours j'allais sous la coupole
du sénat, comme un improbable acteur
qui se pavane pour ses adulateurs,
offert à tous, catin fardée soutenue
sur mon char par sept vierges nues.

Et ils m'attendaient les teens en transes,
comme une extravagante drag queen,
moi, empereur de Rome, premier trans;
j'étais le soleil de ma vie divine
rythmée par les lignes de cocaïne
pour supporter la greffe du vagin
qui me ferait roi de toutes les putains.

Je disais les noms, urbi et orbi,
de mes cinq femmes, le nom de mon mari,
l'esclave Hierocles de Carie;
j'étais sa chose, à lui toujours soumis,
en pensées le jour, dans son lit la nuit.
Je chérissais les rêves de désir
avant les petites morts du plaisir.

Grand prêtre du temple en Emesene,
je voulus être l'époux de Tanit
la déesse, Vénus Carthagène,
et celui de la vestale de granit
à qui en de sélénites coïtes
réservés aux accouplements divins
j'aurais fait des enfants presque humains.

C'est ce voulait mon âme virginale;
je ne fus que la gouape racoleuse
devant le bordel international,
cette métamorphose luxurieuse
de mon palais, résidence luxueuse
où je vivais dans un cauchemar d'Éros,
rêve de Cupidon sur son lit de roses.

En Mars, quelque jours avant les Ides,
j'avais dix-huit ans, c'était en vingt deux
du second siècle, des soldats apatrides
me pénétrèrent de leurs dards furieux
mettant un terme à mes jours licencieux.
Les eaux du Tibre nous charrièrent en enfer
moi, à peine ado, et avec moi ma mère.

Et maintenant que le monde a vieilli,
moi, prêtre du soleil et dépravé
tel que j'étais dans cet empire ramolli
le temps à travers les âges m'a laissé,
en l'innocence de ma lascivité;
les vieux acheteurs de lubricité.
jalousent tous ma vraie ambiguïté.







 ©Mermed

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Que de cris, de calculs, de larmes et de trahisons pour tant d'espoirs et d'attentes volées et assassinées aux premières lueurs d'un siècle en éveil.
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Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
Tandis qu'il s'asseyait, les conjurés l'entourèrent, sous prétexte de lui rendre hommage, et tout de suite Tillius Cimber, qui s'était chargé du premier rôle s'approcha davantage, comme pour lui demander une faveur ; mais César faisant un signe de refus et le renvoyant à un autre moment, Tillius saisit sa toge aux deux épaules ; alors, comme César s'écriait : " Cette fois, c'est de la violence ! " l'un des deux Casca le blessa par-derrière, un peu au-dessous de la gorge. César, lui ayant saisi le bras, le transperça de son poinçon, et essaya de s'élancer en avant, mais il fut arrêté par une autre blessure. S'apercevant alors que de toutes parts on l'attaquait, le poignard à la main, il enroula sa toge autour de sa tête, tandis que de sa main gauche il en faisait glisser les plis jusqu'au bas de ses jambes, pour tomber avec plus de décence, le corps voilé jusqu'en bas. Il fut ainsi percé de vingt-trois blessures, n'ayant poussé qu'un gémissement au premier coup, sans une parole ; pourtant, d'après certains, il aurait dit à Marcus Brutus qui se précipitait sur lui : " Toi aussi, mon fils ! " Tous s'enfuyant en désordre, assez longtemps il resta sur le sol, privé de vie, puis on le déposa sur une civière, un bras pendant, et trois simples esclaves le rapportèrent chez lui. Or, parmi tant de blessures, d'après le médecin Antistius, il ne s'en trouva pas de mortelle, excepté celle qu'il avait reçu à la poitrine en second lieu. Les conjurés avaient formé le projet de traîner au Tibre le cadavre de leur victime, de confisquer ses biens, d'annuler ses actes, mais ils y renoncèrent par crainte du consul Marc-Antoine et du maître de cavalerie Lépide.

(Assidentem conspirati specie officii circumsteterunt, ilicoque Cimber Tillius, qui primas partes susceperat, quasi aliquid rogaturus propius accessit renuentique et gestum in aliud tempus differenti ab utroque umero togam adprehendit : deinde clamantem : " ista quidem uis est ! " alter e Cascis auersum uulnerat paulum infra iugulum. Caesar Cascae brachium arreptum graphio traiecit conatusque prosilire alio uulnere tardatus est ; utque animaduertit undique se strictis pugionibus peti, toga caput obuoluit, simul sinistra manu sinum ad ima crura deduxit, quo honestius caderet etiam inferiore corporis parte uelata. atque ita tribus et uiginti plagis confossus est uno modo ad primum ictum gemitu sine uoce edito, etsi tradiderunt quidam Marco Bruto irruenti dixisse : kai su teknon ; exanimis diffugientibus cunctis aliquamdiu iacuit, donec lecticae impositum, dependente brachio, tres seruoli domum rettulerunt. nec in tot uulneribus, ut Antistius medicus existimabat, letale ullum repertum est, nisi quod secundo loco in pectore acceperat. Fuerat animus coniuratis corpus occisi in Tiberim trahere, bona publicare, acta rescindere, sed metu Marci Antoni consulis et magistri equitum Lepidi destiterunt.)

Livre premier, CÉSAR : LXXXII.
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Lorsqu'il devint grand pontife, après la mort de Lépide, car il n'avait jamais voulu, de son vivant, lui retirer cette charge, ayant rassemblé tous les recueils de prophéties grecs et latins qui, sans aucune autorité ou sans autorité suffisante, avaient cours dans l'empire, soit plus de deux mille ouvrages, il les fit brûler, et ne conserva que les livres Sibyllins, encore après y avoir fait un choix, puis il les enferma dans deux armoires dorées, sous la statue d’Apollon Palatin.
(Auguste - XXXI)
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Comme questeur, il lui échut l'Espagne ultérieure; il parcourait les lieux d'assises de cette province pour rendre la justice par délégation du préteur, lorsque, étant venu à Gadès, il remarqua, près du temple d'Hercule, une statue d'Alexandre le Grand: il se mit alors à gémir et, comme écœuré de son inaction, en pensant qu'il n'avait encore rien fait de mémorable à l'âge où Alexandre avait déjà soumis toute la terre, il demanda tout de suite un congé pour saisir le plus tôt possible, à Rome, les occasions de se signaler.
(César - VII)
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César réforma le calendrier, où depuis longtemps, par la faute des pontifes qui abusaient des jours intercalaires, s'était introduit un tel désordre que les fêtes des moissons ne tombaient plus en été ni celles des vendanges en automnes ; réglant l'année sur le cours du soleil, il décidé qu'elle aurait trois cent soixante-cinq jours, que le mois intercalaire serait supprimé et que l'on intercalerait seulement un jour tous les quatre ans. Mais, pour mieux assurer dorénavant la concordance des dates, à partir des calendes de janvier suivantes, il ajouta deux mois intermédiaires entre ceux de novembre et de décembre ; ainsi, l'année où il faisait cette réforme eut quinze mois.
(César - XL)
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Marc Antoine lui a reproché, outre son mariage précipité avec Livie, d'avoir, sous les yeux du mari, fait sortir de table pour la conduire dans sa chambre la femme d'un consulaire, qu'il ramena ensuite à sa place avec les oreilles rouges et la chevelure en désordre.
(Auguste - LXIX)
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Videos de Suétone (2) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de  Suétone
*INTRODUCTION* : _« […] Je veux seulement, Monsieur, vous faire part d'une chose que j'ai lue dans Montaigne, et qui marque son bon goût. Il souhaitait devenir assez savant pour faire un recueil des morts les plus éclatantes dont l'Histoire nous parle. Vous qui êtes son partisan, vous approuverez ce dessein que j'exécute en partie. En effet, le véritable point de vue où je placerais une personne qui veut bien juger du ridicule qui règne dans le monde, est le lit de mort. C'est là qu'on se détrompe nécessairement des chimères et des sottises qui font l'occupation des hommes. Nous sommes tous fous ; la folie des uns est plus bouillante, et celle des autres plus tranquille. »_ *André-François Boureau-Deslandes* [1690-1757], _À Monsieur de la Ch…_
_« Rien ne doit plus nous frapper dans l'histoire des grands hommes, que la manière dont ils soutiennent les approches du trépas. Je crois que ces derniers moments sont les seuls, où l'on ne puisse emprunter un visage étranger. Nous nous déguisons pendant la vie, mais le masque tombe à la vue de la mort, et l'Homme se voit, pour ainsi dire, dans son déshabillé. Quelle doit être alors la surprise ! Tout l'occupe sans le toucher : tout sert à faire évanouir ce dehors pompeux qui le cachait à lui-même. Il se trouve seul et sans idées flatteuses, par ce qu'il ne peut plus se prêter aux objets extérieurs. Cette vue a cela d'utile en flattant notre curiosité, qu'elle nous instruit. Il n'est rien de quoi, disait Montaigne, je m'informe si volontiers que de la mort des hommes, quelle parole, quel visage, quelle contenance ils y ont eus ; mille endroits des histoires que je remarque si attentivement. Il y paraît, à la farcissure de mes exemples, et que j'ai en particulière affection cette matière*._ _Je suis persuadé que la dernière heure de notre vie est celle qui décide de toutes les autres. »_ *(Chapitre III : Idée générale d'une mort plaisante.)*
* _« Et il n'est rien dont je m'informe si volontiers que de la mort des hommes, de quelle parole, quel visage, quelle contenante ils y ont eus, non plus qu'il n'est d'endroit dans les histoires que je remarque avec autant d'attention. Il apparaît à la farcissure de mes exemples que j'ai cette matière en particulière affection. Si j'étais faiseur de livres, je ferais un registre commenté des morts diverses. Qui apprendrait aux hommes à mourir leur apprendrait à vivre. »_ (« Chapitre XIX : Que philosopher c'est apprendre à mourir » _in Montaigne, Les essais,_ nouvelle édition établie par Bernard Combeaud, préface de Michel Onfray, Paris, Robert Laffont|Mollat, 2019, p. 160, « Bouquins ».)
*CHAPITRES* : _Traduction d'un morceau considérable de Suétone_ : 0:02 — *Extrait*
0:24 — _Introduction_
_De quelques femmes qui sont mortes en plaisantant_ : 0:49 — *1er extrait* ; 2:08 — *2e*
_Additions à ce qui a été dit dans le IX et dans le XI chapitre_ : 3:15
_Remarque sur les dernières paroles d'Henri VIII, roi d'Angleterre, du Comte de Gramont, etc._ : 6:09 — *1er extrait* ; 6:36 — *2e*
_De la mort de Gassendi et du célèbre Hobbes_ : 7:45
_Remarques sur ceux qui ont composé des vers au lit de la mort_ : 10:47
_Examen de quelques inscriptions assez curieuses_ : 13:52
_Des grands hommes qui n'ont rien perdu de leur gaieté, lorsqu'on les menait au supplice_ : 14:33
_Extrait de quelques pensées de Montaigne_ : 15:31
_S'il y a de la bravoure à se donner la mort_ : 17:37 — *1er extrait* ; 18:57 — *2e*
_De quelques particularités qui concernent ce sujet_ : 19:14
19:28 — _Générique_
*RÉFÉ. BIBLIOGRAPHIQUE* : André-François Boureau-Deslandes, _Réflexions sur les grands hommes qui sont morts en plaisantant,_ nouvelle édition, Amsterdam, Westeing, 1732, 300 p.
*IMAGE D'ILLUSTRATION* : https://www.pinterest.com/pin/518547344600153627/
*BANDE SONORE* : Steven O'Brien — Piano Sonata No. 1 in F minor Piano Sonata N0. 1 in F minor is licensed under a Creative Commons CC-BY-ND 4.0 license. https://www.chosic.com/download-audio/46423/ https://www.steven-obrien.net/
*LIVRES DU VEILLEUR DES LIVRES* :
_CE MONDE SIMIEN_ : https://youtu.be/REZ802zpqow
*VERSION PAPIER* _(Broché)_ : https://www.amazon.fr/dp/B0C6NCL9YH *VERSION NUMÉRIQUE* _(.pdf)_ : https://payhip.com/b/VNA9W
_VOYAGE À PLOUTOPIE_ : https://youtu.be/uUy7rRMyrHg
*VERSION PAPIER* _(Broché)_ : https://www.amazon.fr/dp/
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