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Citations sur Les délices de Tokyo (234)

Devenir ainsi des sortes de poètes était sûrement pour nous la seule façon de vivre, m'a-t-elle dit. Regarder uniquement la réalité donnait envie de mourir.
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Je suis convaincue que chaque chose ici-bas est douée de parole. On peut prêter l'oreille à tout, aux passants dans la rue devant la boutique, à tout ce qui est vivant, et même aux rayons de soleil et au vent...
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Moi aussi, j'ai tendu l'oreille comme le disait Tokue, j'ai approché mon visage des haricots azuki, je me suis vraiment efforcée d'être à l'écoute. P.234
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Quels que soient nos rêves, un jour, on trouve forcément ce qu'on cherchait grâce à la voix qui nous guide. Une vie est loin d'être uniforme. Parfois sa couleur change du tout au tout.
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[...] la vie a un sens. La phase douloureuse derrière les barreaux, la rencontre avec les dorayaki, tout a un sens, à mon avis. A travers toutes ces circonstances, vous vivez de la façon qui est la votre. Et un jour sans doute viendra où vous pourrez dire, ça, c'est ma vie. Même si vous ne devenez pas écrivain, ni artisan spécialisé dans les dorayaki, le jour viendra où vous vous trouverez, où vous serez vous même.
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La nuit, il suffit de tendre l'oreille au murmure des étoiles pour sentir le cours de l'éternité.
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N’ayons pas peur d’avancer, Sentarô. Dans la vie aussi, il y a des changements de saison.
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Nous sommes nés pour regarder ce monde, pour l'écouter. C'est tout ce qu"il demande.
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- Cette boutique n'a jamais vu quelqu'un d'aussi scrupuleux, vous savez.
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Et je vous ai vu. J'ai vu votre visage.
Vos yeux semblaient si tristes. Votre regard donnait envie de vous demander ce qui vous faisait tant souffrir. C'était mes yeux autrefois. Mes yeux quand je me suis résignée à ne plus jamais franchir la haie de houx. (Derrière la haie de houx se trouvait le lieu où étaient regroupées les personne ayant la lèpre, maladie appelée "la maladie de Hansen". (page 210)
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