Dans
Money et surtout
cash, il y avait quelque chose, une tentative à peu près réussie d'écrire un thriller financier.
Ici, bof, bof, bof, Sulitzer n'a visiblement, ni plus d'idées, ni plus d'envie. Mais la sucette est agréable, les francs de l'époque tombent, l'éditeur s'impatiente car il sait d'avance que ça va se vendre, donc pourquoi pas
Fortune ?