Elu peu avant sa mort "prince de poètes",
Jules Supervielle (1884-1960) a partagé sa vie entre l'
Uruguay (où il est né) et la France. Il a laissé une oeuvre importante, notamment dans le domaine poétique. J'ai choisi un peu au hasard ce recueil. Il débute par une première partie: "
La fable du monde", qui évoque la création divine et dont certaines pièces m'ont beaucoup touché. D'une manière générale, j'ai été assez sensible à cette poésie souvent très simple et éloignée de la "grammaire" surréaliste. J'ai une prédilection pour les pièces courtes. Par exemple: "C'est la couleuvre du silence" (que j'ai mis en citation) ou "Lettre à l'étoile".
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