un tome de l'hérésie où au lieu de suivre des space marines, on suit des assassins. Et ça change. Une construction d'équipe style les 7 salopards et en route Simone, on va flinguer Horus.
On découvre un côté plus humain chez eux. Normal, ils sont légèrement moins modifié que les Astartes.
Et encore, chacun a sa propre conception de ce qu'est ou doit être l'humanité. Beh oui, ils restent des machines à tuer quand même, faudrait pas trop les humaniser.
Du côté des traîtres, on comprend vite que d'humain, il n'y a plus grand chose. Mais le monde ou la tentative d'assassinat d'Horus va avoir lieu est humain.
La guerre d'Horus est enfin accessible au troufion lambda qui a sa chance abattre une carte et non entre ultra-combattants qui se foutent royalement de la pauvre humanité.
Un épisode qui change agréablement de par le point de vue.
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Nouvel opus de la grande saga Hérésie d'Horus qui change totalement du cadre habituel des combattants post humains, puisque l'on va s'intéresser aux mystérieux ordres de l'Officio Assassinorum.
Il est très intéressant de découvrir les rouages de la machine secrète et mystique de l'Officio a travers ces pages, qui vont nous mener dans une mission dont l'issue pourrait bien déterminer l'avenir de la Galaxie.
Très bonne lecture.
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Le meurtrier s'agenouilla alors près de la tête d'Hyssos ,tranchée d'un coup net. Il la souleva ,puis toussa pour cracher l'appendice de l'intérieur de sa bouche..Il alla se planter dans l'œil droit, s'y enfonça profondément et trouva les régions cérébrales de l'homme qui contenaient encore ce qu'il avait été.
La Lance y but goulûment.
Interview with the art director Jonathan Jacques-Belletete and external games writer James Swallow. (en anglais)