Yves Swolfs opte pour des pistes narratives depuis longtemps éventées, et ce ne sont pas ses scènes de fusillade, bizarrement découpées et cadrées qui remontent le niveau. Une vraie déception.
Lire la critique sur le site : BoDoi
La partie dessin, c'est beau, très efficace. C'est du grand western qui se déroule dans des paysages incroyables. Les scènes dans la neige sont magnifiques, par exemple. Les couleurs honorent le noir et blanc de l'artiste.
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On ne peut que conseiller aux amateurs de Swolfs et de Durango de chevaucher à brides abattues pour se procurer ce nouvel album. Sans doute le meilleur album de Swolfs depuis une dizaine d’années !
Lire la critique sur le site : ActuaBD
— Mon père nous racontait souvent sa guerre contre les mexicains, au Texas... Il en était revenu avec une jambe en moins et un goût immodéré pour la gnôle, monsieur Harper. Depuis, je me suis juré de ne jamais porter un uniforme ou de me retrouver sur un champ de bataille, à descendre des types que je ne connais pas, ou pire, à me faire couper en deux par un boulet envoyé par d'autres avec qui je n'aurais jamais aucun compte à régler... Tout ça au nom des intérêts d'une poignée de pontes trop bien nourris qui décident d'envoyer à la boucherie des gamins pas encore sortis des jupes de leur mère.
— Pour Marcus, le prêcheur est un dangereux illuminé appartenant à une ligue qui n'a rien de religieux, dont le but est d'attiser par tous les moyens la haine entre les populations du Kansas et du Missouri afin de provoquer des incidents assez sérieux pour déclencher une guerre ouverte sur la frontière.