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Mon premier Seinen (non c'est pas vrai, j'ai lu All you need is kill il y a quelques temps) là encore découvert dans une masse critique babelio.
Un novice comme moi avant de babeliofréquenter Alfaric me dirait : Mais qu'est-ce donc ?

Un seinen : Un manga pour jeunes adultes (15 à 30 ans) de sexe masculin. Donc, corps bodybuildés et survitaminés, poitrines défiant toute gravité, chute de rein ad hoc et petites culottes. Est-ce que ça rajoute au récit ? Non, mais est-ce que ça en enlève ? Pas du tout non plus.

Terra formars Asimov. Spin off donc de la série Terra Formars. Kesako ?
Mars a été terraformée à l'aide de cafards notamment, mais ces derniers ont muté et ont exterminé les premières missions renvoyées sur place. On forme donc une nouvelle mission Annex 1 d'éradication des cafards (et pour trouver un vaccin à une nouvelle maladie visiblement alien) avec comme effectifs, des astronautes mutants (transformés par génie génétique) en association avec des animaux.
Le commandant Sylvester Asimov sera le commandant de l'équipe 3. (hybridé avec un crabe, bien costaud).

Le Spin off (et donc celui qui nous intéresse ici). L'équipe 3 (une partie ici) a déjà subi la métamorphose MO (Mosaic Organ) et avant de rejoindre les USA et le lancement, le gouvernement russe lui demande d'enquêter et d'éliminer un MO pirate (mafia russe) qui en plus s'adonne à un trafic d'oeufs aliens, rien que ça.

Donc du haut de ma très courte expérience dans le domaine, il en ressort un dessin très soigné et plaisant à regarder. De la baston à presque toutes les planches (on dit planche pour un manga ? ). Un scénario sympa et quelques flashback pour expliquer l'histoire d'Asimov, un soldat visiblement exceptionnel au point de mériter le surnom de Dieu de la guerre.
Un personnage un peu ridicule : Ivan, le faire valoir d'Asimov ? le clown de service pour détendre un peu l'atmosphère ? Bof.
Bref une petite heure (environ j'ai pas compté) de détente musclée bien sympathique. J'achèterais le tome 2 dès qu'il sortira en juillet et je vais me pencher sur la série originale.
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On ne présente plus "Terra Formars", ce seinen addictif d'une immense supracoolitude où les super-héros mutants défenseurs de l'humanité affrontent les games of thrones des grandes puissances mondiales défenseuses des forces obscures de la crevardise (remember "Cyborg 009" dans les années 1960-1970, puis les "X-Men" dans les années 1970-1980, puis "Authority" et "Planetary" dans les années 1990 : les mêmes causes produisent les mêmes effets !)… Evidemment pas mal de ressemblances avec la réalité ne sont absolument pas fortuites, puisque nous sommes dans l'un des très nombreuses séries antisystème qui fleurissent depuis le bras d'honneur fait par les crevards aux peuples du monde entier lors de la fameuse « crise des subprimes » (qu'on pourrait légitimement qualifier d'hold-up mondial : Monde de Merde !!!)

Ce diptyque dérivé fait la part belle à Sylvester Asimov, le Dieu de la Guerre du Caucase, le combattant de la liberté tchétchène, le pire cauchemar de l'armée russe, héritier de Sly et de Schwarzie mais aussi d'Isaac Asimov vu qu'il est calé littérature et qu'il est lui-même écrivain de Science-Fiction (« littérature » et « science-fiction » dans la même phrase : certains s'étranglent déjà de rage, et on les envoie au diable !). L'attraction vient de voir le mangaka coréen Boichi au dessin, puisqu'habitué des polars hard boiled il oeuvre ici dans un genre qui habituellement n'est pas le sien. Et il s'éclate autant en dessinant les champs de bataille du Caucase que la métropole futuriste de Moscou que nous visitons de ses hauteurs à ses profondeurs : nous sommes dans la mouvance cyberpunk d'Akira, Ghost in the Shell, Gunnm… Mais le style Boichi, c'est aussi le recourt totalement assumé aux boobs : on peut avoir des chapitres sérieux sur le fond et stylés sur la forme, servis par des graphismes très réussis car très soignés, et puis ensuite une avalanche de nichons de fesses et de petites culottes, et en gros plans s'il vous plaît ! Avec Boichi c'est à prendre ou à laisser, il faut bien se faire une raison : certains seront charmés, d'autres seront horripilés donc tant mieux ou tant pis (perso j'ai pris sur moi pour passer outre)…
En bref, le gouvernement russe ordonne à celui qui a trahi sa patrie pour sauver sa famille de prouver sa loyauté, et notre concentré de badassité conduit son commando à la poursuite des sombres trafics de la mafia rouge… Et on respecte bien les nobles héritages de la Série B puisque tout se finit dans la banlieue de Saint-Pétersbourg avec une grosse baston avec mafieux, mutants, monstres et aliens ! To Be Continued avec le combat des chefs entre Sylvester Asimov et le légendaire Ded Moroz ! ^^
Lien : http://www.portesdumultivers..
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J'aime beaucoup la série Terra Formars, je la trouve très intéressante de par son concept et également par l'utilisation des pouvoirs des différents animaux et insectes. C'est une série très riche en information, et l'on apprends sans cesse de nouvelles choses, sur des espèces qu'on a tendance à écraser sous nos chaussures ^^

On peut sans aucun mal deviner une certaine morale derrière ce manga. À force de toujours vouloir tout contrôler, et ben voila que ça nous explose au visage, à force de toujours écraser tout le monde, voila que cela se retourne contre nous etc…

Même si je n'ai pas lu beaucoup de tomes de Terra Formars (je crois en être au tome 5) je trouve qu'elle a un petit truc en plus, un peu comme L'attaque des titans par exemple, même si les deux ont des styles totalement différents, on peut faire le parallèle entre les titans quasi imbattables, et les cafards qui le sont tout autant. On retrouve aussi l'idée de se transformer (en titans pour l'un ou avec des pouvoirs d'animaux pour l'autre) afin d'essayer de combattre l'ennemi.

Donc avec ce spin-off de Terra Formars, j'espérais retrouver ce qui m'avait fait apprécier la série mère.

Hélas, Terra Formars Asimov, n'est clairement pas du niveau de la série initiale. C'est un bon manga, bourrin, sympa, il fait le job, mais cela aurait tout aussi bien fonctionné dans un autre univers que celui de Terra Formars.

L'histoire se passe avant que le personnage d'Asimov parte en expédition, donc nous restons sur Terre. Déjà, premier écart par rapport au manga original. On y suit Asimov et son équipe (qu'il embarquera plus tard sur Mars) face à la Mafia Rouge qui fait du trafic d'oeufs de Terraformars.

Cela se lit vite, on en apprends un peu plus sur le personnage d'Asimov, mais ce n'est pas énorme. de plus, les combats, même s'ils sont bien rythmés ne sont pas très passionnants puisque l'on sait déjà que l'équipe d'Asimov ne va pas se faire tuer (sinon elle ne serait pas présente dans Terra Formars). À aucun moment durant ma lecture je n'ai été surpris. C'était sympa à lire, mais cela n'apportait pas grand chose. Et c'est finalement le soucis avec les spin-off qui se passent avant le manga original. On voit bien que le mangaka ne peut pas risquer de dévoiler quoi que se soit, sous peine de gâcher la série mère.

Voilà pour le scénario, je vais à présent vous parler des dessins.

On retrouve un mangaka très connu, puisque c'est Boichi (l'auteur de Sun-Ken Rock) qui est chargé des dessins. Et comment dire…c'est du Boichi…C'est beau, parfaitement maitrisé, les corps des hommes sont musclés et transpirent la testostérone tandis que ceux des femmes ont des courbes et des formes magnifiques et transpirent…le sexe. Oui, on retrouve les personnages féminins dans des tenues inappropriées pour se battre, et qui dévoilent toujours un plan décolleté, fesses, culottes, ou les trois à la fois, soyons fous !

Alors je n'ai rien contre le fan service, tant qu'il sert à quelque chose ou qu'il respecte l'esprit du manga. Or, c'est là que le bas blesse, car Boichi ne respecte pas du tout l'esprit de Terra Formars. le personnage de la belle Elena Perepelkina est totalement saccagé par les coups de crayons de Boichi. Dans la série principale, elle a certe, un joli décolleté, mais cela s'arrête là. Lorsqu'elle se bat, c'est un soldat avant tout ! Jamais ce personnage ne va affronter des ennemis en robe (trop décolletée, trop courte, trop moulante) en talons aiguilles (trop hauts) et en string ficelle (bien mis en valeur par la robe trop courte…).

Peut-être que dans ce qu'écrit Boichi, ce genre de personnage est légion, et j'espère que cela a une utilité. J'ai cru comprendre que dans Sun-Ken Rock, il y avait des histoires de gangs, de mafia etc… donc, ça peut coller, mais dans Terra Formars, je trouve que ça n'a pas sa place. N'hésitez pas à comparer sur internet le personnage d'Elena Perepelkina dans les deux versions, vous verrez, ce n'est pas du tout la même. Je pense d'ailleurs me procurer le tome 1 de Sun-Ken Rock prochainement, afin de voir si Boichi a vraiment quelque chose à raconter dans ses manga, ou si c'est juste un prétexte pour dessiner des femmes à trois-quart nues.

Pour conclure, ce premier tome de Terra Formars Asimov se laisse lire sans soucis, c'est divertissant, parfait pour se détendre après une dure journée, mais il ne vaut pas le manga principal.

Lien : https://chezxander.wordpress..
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La terre prépare un vaisseau pour la planète Mars, pour y combattre des hybrides mi-humains et mi-cafards que l'on nomme les Terra-Formars mais aussi pour tenter de mettre au point un vaccin contre une maladie incurable qui serait originaire de cette planète. Elle est provoquée par un virus l'Alien Engine. Des humains ont subit des opérations chirurgicales les Mosaic Organ qui doivent permettre aux soldats de profiter de différentes capacités animales qui les aideront à combattre les cafards.
Le commandant Asimov, surnommé le dieu de la guerre a été sélectionné pour cette mission ainsi que son staff, composé par la superbe et sexy blonde Elena, la jolie et pudique brune Tatiana et l'inexpérimenté Ivan. Mais avant de s'embarquer pour la planète rouge, Asimov et son équipe doivent régler une mission sur terre contre la toute puissante mafia russe qui se livre à de dangereux trafics. C'est l'antenne soviétique de l'U-Nasa et son directeur qui demande au commandant et à sa section de combattre l'organisation criminel car cette dernière collabore avec un organisme génétiquement modifié, tout comme nos héros et qui semble encore plus puissant. Visiblement, la créature ennemie aurait déjà croisé notre héros, sous une forme plus humaine dans le passé…
J'avoue que je n'ai pas lu et que je ne connais pas la série Terra Forma. Je pense que ça fait même deux ans que le premier tome est coincé au fond de ma tablette et je n'ai jamais pris le temps de la découvrir. Achat impulsif ? Peut-être. D'autres priorités ? Sans doute. Mais quand j'ai vu apparaître l'annonce que Boichi était le dessinateur de cette série dérivée, je n'avais qu'une envie, la découvrir. Et quel bonheur. le trait de Boichi fait mouche et merveille. Les paysages sont somptueux, les filles plus belles que jamais, à en faire pâlir Manara de jalousie, les personnages et leurs attitudes sont incroyables mais aussi les monstres, les scènes d'action. Boichi nous livre le meilleur de son art. le scénario n'est pas en reste. Il y a de l'action, de l'humour, c'est assez violent mais nous sommes en guerre contre la mafia et des cafards alors la tendresse n'est pas forcément au rendez-vous. Enfin, voilà un manga extrêmement palpitant, un scénario blindé, des dessins sublimes. Que demande le peuple. S'émerveiller devant ce manga qui tient presque du chef-d'oeuvre. J'attends avec gourmandise la suite et je crois que je vais tout-de-même lire le premier tome de la série originelle.
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Un spin-off dont je ne connais pas la série de base... enfin, seulement de nom, et de réputation. Mon copain insiste beaucoup pour que je lise Terra Formars, ce sera donc chose faite un jour mais, en attendant, je me suis plongée dans le spin-off, qui est centré sur Asimov, et qui m'a bien plu malgré le fan-service que j'ai trouvé bien déplacé dans cette série...

Avant son départ pour Mars, Asimov doit arrêter le trafic de la mafia avant que tous les oeufs de Terraformars n'éclosent. Son équipe et lui partent donc sur les traces de Ded Moroz, un soldat génétiquement modifié très puissant...

Malgré le fan-service un peu trop présent à mon goût, ce spin-off m'aura donné envie de connaître davantage l'univers ! Asimov est déjà un personnage très intéressant : charismatique, froid au premier abord mais tellement humain finalement...
Ce premier tome comporte pas mal de flash-back. Je ne comprenais pas trop au début, surtout que l'auteur passe vite d'une situation à une autre, et je ne suis pas encore familière du langage technique mais, de fil en aiguille, tout s'emboîte et tout devient bien plus prenant. L'univers n'est pas aussi complexe que je ne le craignais et, pour le moment, je m'en réjouis. Par contre, il me reste pas mal de questions en suspens, mais là encore, il faut simplement que je lise Terra Formars...
L'intrigue est donc prenante et la tournure des événements en est même étonnante. Ce que je trouve dommage, c'est le fan-service trop fréquent... C'est complètement décalé dans cet univers, et surtout, totalement inutile. Je trouve que le personnage d'Asimov se suffit à lui-même pour apporter une touche de légèreté, malgré les apparences. Il y a de l'humour, de l'amour, de l'action, du suspense, de beaux combats... Alors pourquoi pousser le fan-service à ce point ?
Enfin bref, ça ne gâche pas la qualité de l'intrigue ou des dessins, c'est juste dommage.

D'ailleurs, en parlant des dessins, je les trouvais trop sombres au départ, ça m'a même gâché un peu mon plaisir et puis, finalement, je restais un long moment à contempler certains dessins tellement ils sont magnifiques. Les détails, les nuances... un vrai plaisir pour les yeux !

En conclusion, un spin-off qui, pour le moment, m'aura convaincue de lire la série d'origine pour découvrir plus en détails l'univers. Asimov est un personnage très plaisant et très attachant ; il dégage quelque chose de fort et de prenant. Une belle découverte malgré le fan-service qui me rebute chaque fois que j'en vois...
Lien : http://uneenviedelivres.blog..
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Je voudrais tout d'abord remercier Kazé éditions et Babélio pour l'envoi de ce manga. Je lis peu de manga, un peu plus de bandes dessinées et j'ai voulu essayer de lire celui-ci dont le thème lié à la science fiction pouvait me plaire. Mais je me suis vite rendu compte que je ne correspondais pas à la cible de ce type de manga beaucoup plus destinés à des jeune adultes masculins. le thème de base sur la colonisation de mars me parlait bien mais il n'est quasiment pas abordé dans ce tome. Les dessins sont assez réussis mais l'histoire est très confuse et j'ai eu beaucoup de mal à la suivre. Et franchement les gros plans sur la poitrine et les fesses de la femme à longueur de temps c'est lourd, même s'il y a la même chose du côté du personnage masculin.
N'étant pas du tout la cible de ce genre de mangas je n'ai vraiment pas accroché et je ne poursuivrais pas ma lecture.
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Au XXIème siècle, les hommes se sont mis en tête de "terraformer" la planète Mars en y implantant des cafards. Cinq cents ans plus tard, une équipe est envoyée sur les lieux pour voir ce que l'essai a donné et découvre avec stupeur que tout ne s'est pas passé comme prévu... Certes, les cafards se sont adaptés à leurs nouvelles conditions de vie, se sont reproduits... mais sont devenus des mutants énormes et dangereux ! La planète rose grouille maintenant de cafards géants qui font "sguish sguish" et la cohabitation avec l'homme n'est pas vraiment envisageable. Pour que les Terriens arrivent à leurs fins, ils devront se débarrasser de ces grosses bestioles ; or ils n'en ont pas les capacités physiques. Cerise sur le gâteau : les explorateurs ont ramené sur Terre un virus inconnu qui n'a guère tardé à se propager.

Dans les couloirs de l'U-NASA de Moscou, le commandant Sylvester Asimov et sa fine équipe rongent leur frein : grâce à leur pouvoir _ils ont bénéficié d'une opération leur permettant de se transformer en bête ou en plante vénéneuse, ils font partie de l'élite chargée d'aller sur Mars casser du cafard et trouver un remède au fléau. Pas de chance, le vaisseau censé les transporter est en panne, mais ils savent qu'ils peuvent compter sur leur boss pour leur donner de quoi s'occuper : un effrayant mafieux sévit à Saint Petersbourg. Surnommé Ded Moroz, l'homme en question semble avoir été opéré lui aussi de façon à pouvoir muter en ours polaire lorsqu'il le juge opportun. Asimov doit le neutraliser sinon le tuer. Jusque là, tout va bien. Sauf qu'en laminant quelques subalternes, il apprend l'existence d'un trafic d'oeufs de cafards mutants au sein de la mafia et là, ça ne le fait plus vraiment rire : en effet, l'éclosion non maîtrisée de ces "bébés" cafards marquerait purement et simplement la fin de l'humanité sur Terre....

Pas de doute, Terra Formars Asimov est un manga qui associe fort bien science fiction et action : ça cogne pour la bonne cause, dans le sens où on sait qu'en arrière plan une vraie histoire suit son cours et qu'un rebondissement nous attend à l'issue du carnage. Deux personnages ultra-virils se démarquent et se font face : Sylvester Asimov, le colosse roux déjà mûr, adepte du cigare, et le jeune Bvak Berbenko, qu'on voit peu dans le feu de l'action mais qui est très présent dans les souvenirs du commandant. On devine qu'ils ont combattu la Russie quelques années auparavant, Bvak étant sous la houlette d'Asimov, mais que leurs destins se sont séparés. L'un a rejoint la mafia, l'autre est passé du côté "des Russes". Il semblerait que Bvak ait gardé rancune de ce retournement de veste. Pour Asimov, l'animosité ne perce pas lorsqu'il pense à son disciple prometteur ; que se passera-t-il si leurs chemins se croisent de nouveau ? Les deux hommes ont assez de points communs pour trouver un terrain d'entente : ils ont des enfants atteints du mystérieux virus pour qui ils remueraient ciel et terre, du courage à revendre et une faculté à muter en animal sauvage. Mais surtout, ils ont partagé une amitié forte et indestructible, dont il doit bien rester quelques bribes !

Lien : http://pulco-suivezlepapillo..
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Bonne entrée en matière mais histoire pleine de poncifs et de situations éculées. Pas de surprise en dehors des graphismes de haute volée.
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