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EAN : 9789954912218
128 pages
Casa Express (01/01/2013)
2.5/5   4 notes
Résumé :
Hicham Tahir, 23 ans, originaire de Kénitra, « pur produit » du lycée marocain, d’origine populaire et vivant à Casablanca, a écrit ce recueil de nouvelles parallèlement à son travail dans la publicité et chez Hit Radio. Ses premiers pas dans la littérature l’avait auparavant conduit à co-écrire dans « Jean Genet, un saint marocain » en 2010 et « lettres à un jeune Marocain » aux cotés d’Abdellah Taia et Tahar Ben Jelloun.

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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Hicham Tahir, l'individu, m'est fort sympathique. Son côté un peu niais, un brin rebelle, son homosexualité affichée, m'ont fait apprécié l'Homme.

Hicham Tahir, l'auteur, par contre, aurait dû encore attendre avant de sortir son livre. Sa maîtrise de la langue française n'est pas évidente (et pour moi, c'est une raison valable pour ne pas écrire), ses intrigues sont niaise, les tabous qu'il dit dévoiler ont été à maintes reprises dévoilés.

Une nouvelle se démarque un peu par rapport au reste (je ne dirai pas laquelle, car c'est un vécu commun), mais le reste est plat.

J'espère que son deuxième livre me réconciliera avec l'auteur. Et c'est loin d'être gagné.
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Je voulais aller au Liban, m'y installer, y vivre. Car il sont beaux au Liban. Ils sont tous beaux. A la télé il n'y a que de beaux animateurs, dans les journaux, les magazines... partout, partout, PARTOUT. Les Libanais sont les plus beaux (...) Ma passion pour ce pays avait dépassait l'admiration, c'était de l'obsession. Le matin, au salon de coiffure, je parlais avec mes collègues aux mille accents libanais, je travaillais en chantonnant les mille mélodies libanaises. De la nouvelle scène orientale jusqu'au grand répertoire montagneux. Je ne négligeais jamais Fayrouz pour Elissa, jamais Jad Choueiri pour Marcel Khalifa. Ils avaient tous le droit à une chanson de leur catalogue. Le Liban vivait en moi. Le Liban était en moi. Le Liban était moi. J'étais le Liban
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J'ai choisi le meilleur des fqih et les meilleurs cheveux d'Hassan. Une phrase de la part du fqih: " Va... va... Cet homme te reviendra et pour toujours." Il avait fait mon bonheur, j'avais fait le sien, payer en liquide n'était pas suffisant, j'ai dû payer en nature. Le fqih demandait sa part du gâteau. Me baiser et moi, tant qu'Hassan allait me revenir, être le gâteau ne me dérangeait guère. C'était le genre de coup vite fait, pour la bonne cause. Un mois... Il avait fallu un mois pour annuler le mariage. La cousine n'était pas vierge. La pute! Une fille doit garder sa virginité, sinon elle est bonne pour la décharge. Moi, le jour où je deviendrai hétéro, ma femme devra être vierge. C'est obligé, pas d'hymen, pas de mariage.
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Le Maroc est un paradis pour eux, c'est sûr! Si chez eux ils se font pendre, ici, avec un peu d'argent, ils ne se font pendre que la bite quand elle pénètre les centaines de trous qu'ils ramassent dans la rue avec leurs billets.
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