A l'occasion de la sortie de la BD Lanceurs d'Alerte, découvrez cette interview de Flore Talamon, scénariste du livre.
Résumé : Alerter l'opinion publique, rien de plus facile ! En revanche, faire cesser des faits répréhensibles tout en préservant son travail et sa vie privée est une toute autre histoire... Entourée des meilleurs conseils, l'autrice nous explique comment y parvenir.
Encadrée par la loi Sapin 2, la protection du lanceur d'alerte va bientôt évoluer pour faire face aux enjeux écologiques et sociaux de notre époque. C'est un sujet majeur de notre société, avide de transparence et de justice. À travers 9 exemples, les auteurs soulignent les règles à respecter pour réussir l'alerte et se protéger. Avec un conseil ultime : tout faire pour préserver son anonymat…
En savoir plus : https://www.editions-delcourt.fr/bd/series/serie-lanceurs-d-alerte/album-lanceurs-d-alerte
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Flore TalamonRenaud Pennelle/5
8 notes
Résumé :
Bella Goldberg naît en Union Soviétique deux ans avant la mort de Staline. D’origine juive, elle est confrontée à l’antisémitisme dès son plus jeune âge. En pleine déstalinisation, la jeune Bella ne trouve d’espoir que dans la sculpture, activité tolérée que si elle ne sert le communisme. Insubordonnée, elle ne tarde pas à se ranger du côté des artistes dits « dégénérés » qui rejettent le réalisme soviétique. Rapidement, une seule solution s’offre à elle : quitter l... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (2)
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Bella est née juste avant la mort de Staline, à Kiev dans l'URSS des années 50.
Elle y grandit en décallage avec les idées soviétique et se révèle être une artiste née. Cependant elle est de ceux que l'on dit "dégénérés"car pétrie d'un besoin de liberté et d'un rejet du Parti tel qu'à 21 ans elle fait une demande pour quitter définitivement l'union soviétique.
Un oneshot très intéressant sur le décallage entre les idées soviétiques et les pensées liées à cette époque. Très intructif mais aussi très vicérale et empli de colère, l'antisémitisme présent partout, la peur, l'angoisse. J'ai pris de plein fouet l'ambiance de ce volume construit comme une interview de Bella adulte. C'est bien mené, le rythme est bien géré et ma lecture a èté fluide. de même, l'enchainement des scènes a été parfait.
Mon seul regret ira, même si j'ai trouvé la composition des planches hyper lisibles, au style graphique lui-même, du dessinateur. Evidemment, il trluvera son public mais pour ma part, je n'ai pas accroché.
Bref, une bonne découverte !
Elle y grandit en décallage avec les idées soviétique et se révèle être une artiste née. Cependant elle est de ceux que l'on dit "dégénérés"car pétrie d'un besoin de liberté et d'un rejet du Parti tel qu'à 21 ans elle fait une demande pour quitter définitivement l'union soviétique.
Un oneshot très intéressant sur le décallage entre les idées soviétiques et les pensées liées à cette époque. Très intructif mais aussi très vicérale et empli de colère, l'antisémitisme présent partout, la peur, l'angoisse. J'ai pris de plein fouet l'ambiance de ce volume construit comme une interview de Bella adulte. C'est bien mené, le rythme est bien géré et ma lecture a èté fluide. de même, l'enchainement des scènes a été parfait.
Mon seul regret ira, même si j'ai trouvé la composition des planches hyper lisibles, au style graphique lui-même, du dessinateur. Evidemment, il trluvera son public mais pour ma part, je n'ai pas accroché.
Bref, une bonne découverte !
Bella est née en Union Soviétique dans une famille juive. Attirée très jeune par la sculpture, elle découvre très vite que son art ne correspond pas aux canons du Parti. Une seule solution se dessine alors pour elle faire une demande d'émigration vers Israël. Dès lors commence une longue période pendant laquelle Bella n'est déjà plus une citoyenne soviétique à part entière, privée de ses droits les plus essentiels par cette simple demande. Une belle BD qui nous replonge dans une histoire pas si lointaine mais qui paraît appartenir à une autre période.
critiques presse (3)
Finalement, ce récit, qui décrit bien le système d’émigration vers Israël du temps de l’Union soviétique, est une réussite.
Lire la critique sur le site : BoDoi
Présenté comme une interview de l’intéressée, ce roman graphique riche en références et aux préoccupations pédagogiques affirmées a le mérite de nous rappeler une époque un peu oubliée, celle où le pouvoir menait la vie dure aux artistes. Une période entièrement révolue ?
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Ce récit dense et passionnant est porté par un dessinateur plutôt rare, les derniers albums de Renaud Pennelle remontant à 2012 [...] Déjà le style de Renaud Pennelle était à l’œuvre, jouant le contour tremblé, esquissé, multipliant les traits comme pour fragiliser ses personnages (à la façon d’un De Crécy). Son travail de coloriste, au contraire, recadre cette imprécision graphique et permet de donner, qui plus est, une étonnante luminosité à ces pages très originales.
Lire la critique sur le site : BDZoom
Citations et extraits (1)
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Les artistes qui ne respectent pas le réalisme soviétique, les non-officiels, étaient considérés comme dégénérés à écraser.
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Video de Flore Talamon (1)
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