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Savez-vous qu'aujourd'hui les médecins ne veulent plus s'installer à la campagne. Sans doute ont-ils lu cet ouvrage de Louis Tamain qui leur dit combien il faut déployer de disponibilité, d'abnégation, pour un revenu pas plus alléchant que cela. Sans doute ont-ils lu qu'il ne faut pas craindre d'être réveillé la nuit pour soulager la douleur d'un vieil homme dans ses derniers instants.
Il est vrai que l'époque n'est plus à lire entre les lignes au risque d'y trouver le côté humain qu'oblige le métier, au risque de se rappeler le célèbre serment :
« Je jure par Apollon, médecin, par Asclépios, par Hygie et Panacée, par tous les dieux et toutes les déesses, les prenant à témoin que je remplirai, suivant mes forces et ma capacité, le serment et l'engagement suivants :
Je mettrai mon maître de médecine au même rang que les auteurs de mes jours, je partagerai avec lui mon savoir et, le cas échéant, je pourvoirai à ses besoins ; je tiendrai ses enfants pour des frères, etc… etc...
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Un régal !
C'est bien écrit, comme une suite de petites nouvelles ou d'anecdotes savoureuses.
Ce texte reflète un temps pas si ancien où la vie était tellement différente (Je ne dirai pas si c'était mieux ou moins bien) mais, ayant quelques connaissances médicales, je me suis aperçu que les médecins décris étaient loin d'être ignares et avaient déjà, sans tous les moyens dont nous disposons actuellement des connaissances et des diagnostiques très pointus. On est loin des médecins de Molière.
J'ai vraiment passé un excellent moment à cette lecture.
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Je n'ai lu que 20 pages mais je n'accroche pas à l'univers de ce médecin de campagne et ses couples de fermiers-chasseurs...
Mais la couverture est jolie^^
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Je n'aime guère écrire de mauvaises critiques mais là...
Idéal pour s'endormir (même pour les insomniaques! Si si! Je vous assure)
Il n'y a aucune histoire dans ce livre ou sinon, je ne l'ai pas comprise.
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Livre très sympatique, on passe un agréable moment....
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J'ai commencé à lire le livre. La première anecdote m'a découragée de continuer. Accident de chasse avec une femme Marie la victime. Aucune empathie du médecin pour cette dernière. le pauvre Firmin ! (le tireur) . le pauvre mari ! Mais la victime? Rien pour elle et ses souffrances. J'ai trouvé le texte misogyne. La pauvre Marie n'avait qu'un rôle utilitaire (sexuel?) et était devenue inutilisable dixit l'auteur. Conclusion du récit : le mari a retrouvé le bonheur quand elle est morte. Je ne lirais pas ce livre d'un médecin de campagne misogyne.
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Ce livre n'est pas un roman mais une série d'anecdotes dignes d'un "Don Camillo", plus ou moins exagérées à mon sens, tombant presque dans le ridicule. Des passages sans grands intérêts, qui m'ont fait abandonner le livre à la 180ème page. Je n'ai pas particulièrement pris plaisir à lire ces quelques lignes, pourtant un milieu qui me tient à coeur de par ma profession et mon lieu de vie.
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Style particulier. Douzième chapitre (p147-162), énième histoire de viol ou agression (conjugal ou de médecin sur patient.e), à force un peu de mal à supporter les tournures de phrases choisies... (citation plus complète dans l'onglet correspondant)
" Galapian était vétérinaire.
Il avait un vaste rayon d'action sur deux ou trois cantons. C'était l'un des hommes les plus connus et les plus folkloriques que l'on puisse rencontrer. Comme le médecin, on le croisait de nuit et de jour par tous les chemins et on le trouvait dans chaque ferme. Il était écouté et admiré des fermiers, admiré mais redouté des fermières, et craint de tous les animaux qui, d'instinct, pressentaient que de lui, leur sort dépendait.
[...]
La Marie, bien que déplorant une rapidité d'action rendue nécessaire par les risques du retour de son homme, avait trouvé son compte en cette bousculade. On pouvait même dire qu'elle y avait pris un plaisir, sinon légitime, du moins certain. Et puis, Galapian, c'était tout de même quelqu'un et sans conteste un bel homme, et l'oeil vague, flattée malgré tout dans son amour-propre, elle pensait déjà à la prochaine portée de cochons de l'année, une portée qu'il faudrait bien , elle aussi, arranger d'ici peu."
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Un livre remarquable ! Un témoignage d'un temps passé, des quantités d'anecdotes. le genre de livre que l'on met de côté car on est certain de le relire un jour. Juste un petit reproche : le début est un peu pénible à lire, des histoires de chasse sans aucun rapport avec la médecine. Ce livre fait 600 pages, j'aurais aimé qu'il en fasse le double...
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J'ai pas encore lu le roman
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