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Critique de Nymphea
Ce roman est probablement le meilleur que j'ai lu dans le genre érotique. Même si pour moi, ce genre littéraire n'est jamais très riche de nos jours.
Endless Love est à mes yeux bien mieux que Cinquante nuances de Grey : beaucoup moins cucul, plus profond, de réelles questions/pistes envisagées, de l'humour (plus d'une fois j'ai esquissé un sourire !) et surtout, surtout, l'auteure ne nous prend pas pour des idiots en répétant sans cesse "je me mords la lèvre" (trouvez la référence...).
La première chose que je reproche dans les lectures érotiques que j'ai lues jusqu'à aujourd'hui, c'est la lassitude que je ressens très vite en les lisant. C'est toujours la même chose, c'est prévisible, les auteurs meublent, meublent, meublent, ils se copient tous et c'est creux, mon dieu !
Tandis que dans Endless Love, les personnages ne sont pas cruches et en ce sens plus humains ; ils sont honnêtes, francs, ne tournent pas autour du pot. Pour une fois, Cecilia Tan a su me rendre sincèrement curieuse de savoir quel était le mystérieux secret qui entoure James ! (même si j'ai un peu peur d'être déçue, mais bon, cela fait partie du jeu)
Moi qui m'attendais à un énième livre érotique nul - il faut bien le dire - en lisant le résumé, j'ai été assez surprise d'apprécier davantage que d'habitude. Je lirai donc la suite.
Ce sera un 3/5 pour moi.
PS : il y a un nombre monstrueux de fautes de frappe/d'orthographe, on dirait que ce roman n'a quasiment pas été corrigé !
Endless Love est à mes yeux bien mieux que Cinquante nuances de Grey : beaucoup moins cucul, plus profond, de réelles questions/pistes envisagées, de l'humour (plus d'une fois j'ai esquissé un sourire !) et surtout, surtout, l'auteure ne nous prend pas pour des idiots en répétant sans cesse "je me mords la lèvre" (trouvez la référence...).
La première chose que je reproche dans les lectures érotiques que j'ai lues jusqu'à aujourd'hui, c'est la lassitude que je ressens très vite en les lisant. C'est toujours la même chose, c'est prévisible, les auteurs meublent, meublent, meublent, ils se copient tous et c'est creux, mon dieu !
Tandis que dans Endless Love, les personnages ne sont pas cruches et en ce sens plus humains ; ils sont honnêtes, francs, ne tournent pas autour du pot. Pour une fois, Cecilia Tan a su me rendre sincèrement curieuse de savoir quel était le mystérieux secret qui entoure James ! (même si j'ai un peu peur d'être déçue, mais bon, cela fait partie du jeu)
Moi qui m'attendais à un énième livre érotique nul - il faut bien le dire - en lisant le résumé, j'ai été assez surprise d'apprécier davantage que d'habitude. Je lirai donc la suite.
Ce sera un 3/5 pour moi.
PS : il y a un nombre monstrueux de fautes de frappe/d'orthographe, on dirait que ce roman n'a quasiment pas été corrigé !
