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Critique de jovidalens
Deux aventures de Gon, mais de la grande aventure, celle qui forme et éduque, où l'on découvre sa très grande capacité d'adaptation, mais aussi sa capacité d'aimer.
Dans la première, Gon tombe sur le cadavre d'une tortue. Curieux comme tout enfant, il va enfiler la carapace devenue vide, comme d'autres ont chaussé les bottes de sept lieues, et nous voici emporté dans l'époustouflante vie périlleuse des tortues, de leurs naissances à leurs vies dans les océans. Quel apprentissage et quelles découvertes.
Et puis la traversée du désert ; celle que je préfère. Une image : quand dans la nuit glaciale, l'autruche accepte que Gon s'endorme au chaud dans ses plumes. Il est son chouchou (faut dire que sans lui...) et le sourire de béatitude et de confiance de Gon endormi, transmet tant de bonheur et de tendresse.
C'est toujours aussi drôle.
Quel talent M. Tanaka ! Chapeau bas.
Dans la première, Gon tombe sur le cadavre d'une tortue. Curieux comme tout enfant, il va enfiler la carapace devenue vide, comme d'autres ont chaussé les bottes de sept lieues, et nous voici emporté dans l'époustouflante vie périlleuse des tortues, de leurs naissances à leurs vies dans les océans. Quel apprentissage et quelles découvertes.
Et puis la traversée du désert ; celle que je préfère. Une image : quand dans la nuit glaciale, l'autruche accepte que Gon s'endorme au chaud dans ses plumes. Il est son chouchou (faut dire que sans lui...) et le sourire de béatitude et de confiance de Gon endormi, transmet tant de bonheur et de tendresse.
C'est toujours aussi drôle.
Quel talent M. Tanaka ! Chapeau bas.
