>
Critique de florencem
Les choses sont beaucoup plus sérieuses dans ce tome. Il y a clairement un autre ton et on s'en rend compte dès le départ. Il est vrai que depuis le début, l'histoire même de Haine n'a rien d'un conte de fée, mais entre les scènes d'humour et le sourire et l'enthousiasme de notre héroïne, il a toujours été facile d'oublier ce détail. Et avec ce tome huit tout explose en quelque sorte. C'est douloureux ne serait-ce que par le passage consacré à Ushio, et cela devient plus intense avec Haine.
Pour Ushio j'avais été assez « méchante » dans ma dernière critique. Je n'approuve pas sa façon d'agir mais Arina Tanemura arrive à nous faire comprendre pourquoi l'adolescente a agi de la sorte. C'est un peu comme un enfant qui n'a pas encore la capacité de mettre des mots sur ses émotions mord, frappe, blesse. C'est son seul moyen de communiquer. On retrouve un peu de cela dans le comportement de Ushio. Elle n'arrive pas vraiment à comprendre ce qu'elle ressent, à y faire face, et elle blesse, elle manipule. C'est une sorte d'auto-défense, mais qui revient à une fuir, ou c'est une fuite en avant rien de plus. C'était assez poignant sans rentrer trop dans le mélodrame.
La seconde partie du tome est beaucoup plus difficile. Elle touche Haine, d'une part, qui a toujours été le pilier de ce groupe, celle qui arrive à résoudre les problèmes, à communiquer avec les autres. Et elle veut pour le coup, elle aussi aller de l'avant, ne plus fuir ses peurs. le problème étant qu'une fois encore la communication n'est pas le meilleur atout de ses parents. Et en voulant faire face, Haine découvre une « vérité » qui va beaucoup plus l'ébranler. Elle perd tous ses repères et il est difficile de la voir sombrer de la sorte.
Le point positif, c'est qu'on découvre enfin le passé des parents de Haine, ainsi que celui des parents adoptifs de cette dernière. Nous avons enfin un semblant d'explication pour le coup concernant cette adoption « étrange ». La deuxième chose que je pense qui sera intéressante à voir, car pour l'instant ce n'est qu'une ébauche, est le fait que Haine n'est plus la sauveuse. Ses amis vont devoir la sauver elle, et des alliances qu'on ne pensait pas possible. Les rôles vont devoir s'inverser et j'espère que quelque chose de positif en ressortira.
Il y a aussi un one shot bonus à la fin de ce tome huit. Il est plutôt mignon ce qui ne gâche rien, et je trouve assez pertinent de ne pas avoir poursuivi l'histoire principale et d'avoir donc placé ce bonus. La fin du tome huit nous laisse certes sur notre faim, mais c'est une fin judicieuse.
Pour Ushio j'avais été assez « méchante » dans ma dernière critique. Je n'approuve pas sa façon d'agir mais Arina Tanemura arrive à nous faire comprendre pourquoi l'adolescente a agi de la sorte. C'est un peu comme un enfant qui n'a pas encore la capacité de mettre des mots sur ses émotions mord, frappe, blesse. C'est son seul moyen de communiquer. On retrouve un peu de cela dans le comportement de Ushio. Elle n'arrive pas vraiment à comprendre ce qu'elle ressent, à y faire face, et elle blesse, elle manipule. C'est une sorte d'auto-défense, mais qui revient à une fuir, ou c'est une fuite en avant rien de plus. C'était assez poignant sans rentrer trop dans le mélodrame.
La seconde partie du tome est beaucoup plus difficile. Elle touche Haine, d'une part, qui a toujours été le pilier de ce groupe, celle qui arrive à résoudre les problèmes, à communiquer avec les autres. Et elle veut pour le coup, elle aussi aller de l'avant, ne plus fuir ses peurs. le problème étant qu'une fois encore la communication n'est pas le meilleur atout de ses parents. Et en voulant faire face, Haine découvre une « vérité » qui va beaucoup plus l'ébranler. Elle perd tous ses repères et il est difficile de la voir sombrer de la sorte.
Le point positif, c'est qu'on découvre enfin le passé des parents de Haine, ainsi que celui des parents adoptifs de cette dernière. Nous avons enfin un semblant d'explication pour le coup concernant cette adoption « étrange ». La deuxième chose que je pense qui sera intéressante à voir, car pour l'instant ce n'est qu'une ébauche, est le fait que Haine n'est plus la sauveuse. Ses amis vont devoir la sauver elle, et des alliances qu'on ne pensait pas possible. Les rôles vont devoir s'inverser et j'espère que quelque chose de positif en ressortira.
Il y a aussi un one shot bonus à la fin de ce tome huit. Il est plutôt mignon ce qui ne gâche rien, et je trouve assez pertinent de ne pas avoir poursuivi l'histoire principale et d'avoir donc placé ce bonus. La fin du tome huit nous laisse certes sur notre faim, mais c'est une fin judicieuse.
