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Critique de mallaurylit
Chère Marie,
Le plus près que j'ai approché de la politique ce sont les 7 saisons de « A la Maison Blanche » de Aaron Sorkin que je recommande sans hésiter, et les stratégies mises en oeuvre par Olivia Pope pour gérer toutes les situations de crise ou période pré-électorale.
A la lecture de ton roman, j'ai pu constater que parfois les retranscriptions télévisuelles n'étaient pas si éloignées de la réalité…On sent dans ton récit, cette frénésie, cette volonté de convaincre à tout prix, ce langage que l'on travaille encore et encore pour faire passer le message adéquat, celui le plus adapté à l'interlocuteur visé du moment.
J'ai vécu ces longues journées avec toi, ce stress et cette hyperactivité quotidienne, cet oubli de soi-même pour donner toute la place au candidat aspirant Président. Mais surtout j'ai compris cette confusion, celle du tout et dans tous les sens, plaire à tout prix, construire en faisant. En te lisant, je ressentais parfois de l'épuisement, de la perplexité, je m'égarais sur ces idées qui fusaient comme un jeu de mikado, les bois se chevauchant, se mélangeant, sans clarté, sans vision sur le long terme, juste morceaux après morceaux, pique après pique, avancer vers la victoire sans plan précis.
J'ai souffert pour toi, pas à ta place, là alors que rien ne semble te correspondre, l'univers, les idées, tout cela loin de ce que tu es. Et cette sensation d'oppression, de crise qui gronde jusqu'à l'effondrement, ce mal-être qui grandit inexorablement, la chute inévitable.
L'écriture c'est ton talent, ton style percutant, vif, retranscrit cette période politique comme un film qui se déroule sous nos yeux. Les émotions, les pensées qui s'agitent, tout est dit avec efficacité, l'oppression des instants difficiles et toujours et encore la confusion, celle à laquelle tu as dû faire face. Alors je confirme, n'écris plus de discours, reste au roman, celui-ci en appelle un autre !
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Le plus près que j'ai approché de la politique ce sont les 7 saisons de « A la Maison Blanche » de Aaron Sorkin que je recommande sans hésiter, et les stratégies mises en oeuvre par Olivia Pope pour gérer toutes les situations de crise ou période pré-électorale.
A la lecture de ton roman, j'ai pu constater que parfois les retranscriptions télévisuelles n'étaient pas si éloignées de la réalité…On sent dans ton récit, cette frénésie, cette volonté de convaincre à tout prix, ce langage que l'on travaille encore et encore pour faire passer le message adéquat, celui le plus adapté à l'interlocuteur visé du moment.
J'ai vécu ces longues journées avec toi, ce stress et cette hyperactivité quotidienne, cet oubli de soi-même pour donner toute la place au candidat aspirant Président. Mais surtout j'ai compris cette confusion, celle du tout et dans tous les sens, plaire à tout prix, construire en faisant. En te lisant, je ressentais parfois de l'épuisement, de la perplexité, je m'égarais sur ces idées qui fusaient comme un jeu de mikado, les bois se chevauchant, se mélangeant, sans clarté, sans vision sur le long terme, juste morceaux après morceaux, pique après pique, avancer vers la victoire sans plan précis.
J'ai souffert pour toi, pas à ta place, là alors que rien ne semble te correspondre, l'univers, les idées, tout cela loin de ce que tu es. Et cette sensation d'oppression, de crise qui gronde jusqu'à l'effondrement, ce mal-être qui grandit inexorablement, la chute inévitable.
L'écriture c'est ton talent, ton style percutant, vif, retranscrit cette période politique comme un film qui se déroule sous nos yeux. Les émotions, les pensées qui s'agitent, tout est dit avec efficacité, l'oppression des instants difficiles et toujours et encore la confusion, celle à laquelle tu as dû faire face. Alors je confirme, n'écris plus de discours, reste au roman, celui-ci en appelle un autre !
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