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Critique de LVI


Un goût de vinasse et d'amertume dans la bouche !


Né en 1946, Jacques Tardi, l'un de nos plus célèbres dessinateurs de bandes dessinées, voit ses premiers albums paraître en 1974. ‘Adieu Brindavoine' est un album de 56 pages en couleur qui comprend en fait deux récits : ‘Adieu Brindavoine', qui raconte en 44 pages les folles aventures de Lucien Brindavoine, un jeune héritier désoeuvré, choisi par un industriel fou pour lui succéder, peut-être, s'il arrive au bout des mille et un pièges tendus par celui-ci sur une route qui mène de son domicile parisien à Iron City, en plein coeur du désert afghan, en passant par Istanbul la mystérieuse ; après 2 pages de transition, nous avons ensuite droit au très court récit des mésaventures du même Lucien Brindavoine, ‘La fleur au fusil', mêlé bien malgré lui à la première guerre mondiale (déjà !).


Le tout n'est pas précisément passionnant, mais on y trouve évidemment déjà tous les ingrédients de ce qui allait faire le succès de l'anar Tardi (marié à une chanteuse française engagée et père de quatre enfants chiliens) : l'ambiance ‘julesvernienne', les décors art nouveau et le côté roman-feuilleton.
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