Le Maître des illusions

Il y a une chose que je ne comprends pas au sujet de Donna Tartt : comment se fait-il qu'il y ait tant de gens qui l'encensent, quand dans le même temps tant de gens rapportent s'ennuyer à la lire?

Phénomène de mode? élitisme? Pourtant, Donna Tartt n'est pas française!

 moins que je n'ai rien compris et pas su voir le génie littéraire dans ce "Maître des illusions" dont la lecture me fut franchement pénible. C'était long, mais long...

Et rebelote avec "le Chardonneret" : à ma droite, applaudissements et prix prestigieux, à ma gauche, baillements et commentaires amers. Sur celui-là, j'ai passé mon tour.

J'ai eu un mal fou à finir ce bouquin énorme. Les critiques étant dithyrambiques, je m'attendais à autre chose et j'ai trouvé ce roman sans intérêt particulier... sombre, compliqué, malsain, bref, pas pour moi !

J'ai été très déçue par ce roman.
L'intrigue est lente à se mettre en place. Il faut bien 250 pages pour que ça deviennent un peu intéressant. Ce livre est basé sur la psychologie ds étudiants et montre pas à pas leur déchéance. Cependant à trop vouloir nous préparer l'auteur nous perd complètement. C'est très répétitif, on passe de soirées en soirées et de beuveries en beuveries. Au milieu du livre il y a un léger frémissement on a l'impression que ça va enfin décoller mais c'est peine perdu, on retombe dans le même schéma en rajoutant toutefois le sentiment de peur. Je me suis accrochée et j'ai tout de même réussis laborieusement à finir le roman. Il est vrai que les 50 dernières pages sont en revanche très prenantes mais que d'efforts pour y arriver! Et finalement après avoir lu 700 pages il ne se passe pas grand chose. On peut résumer l'histoire en une douzaine de phrases. Ce livre est bien creux et ennuyeux!

Dès les premières pages, ce roman m'a rappelé le Complexe d'Eden Bellwether de Benjamin Wood et ce n'était pas un bon point car je n'en avais terminé la lecture tellement je m'étais sentie hermétique à ce qui s'y passait. On retrouve dans le Maître des illusions le même milieu universitaire avec un jeune homme qui tente de s'intégrer dans un groupe "élitiste", la même atmosphère délétère... J'ai essayé de passer outre cette mauvaise impression, mais finalement, comme pour le Complexe d'Eden Bellwether, je me suis arrêtée au tiers du roman. J'avais l'impression que l'intrigue, très sombre, s'étirait en longueur et, même si Donna Tartt est indéniablement douée pour créer une atmosphère et dépeindre des personnages complexes, ce vers quoi elle m'entraînait ne me tentait pas du tout... Au moins j'aurai essayé...

Je n'ai pas du tout aimé ce livre . Les étudiants alcooliques et perturbés, ne sont même pas attachants. Je me suis forcée à lire jusqu'à la fin en espérant un revirement de l'histoire mais non... un supplice jusqu'au bout .

"Le maître des illusions", pour moi, c'est une grosse désillusion!
J'ai acheté ce livre un peu les yeux fermés, suite à une critique très enthousiaste de Yann Quefélec lors de la dernière émission de la saison de "La Grande Librairie".
Je ne suis pas rentré dedans, j'ai trouvé l'histoire sans intérêt,je me suis ennuyé et suis allé au bout dans l'espoir qu'à un moment ou un autre j'allais rencontrer le côté "magistral et d'une effarante perversité" annoncé par Françoise Giroud...
Rien de tout cela! D'autre part, je n'ai pas été séduit par le style littéraire de Dona Tartt.
Je sors d'une cure de littérature américaine contemporaine qui m'a franchement enthousiasmé. J'aurais pu faire l'impasse sur ce roman qui ne m'a rien apporté.

Ouf, c'est fini, 705 pages pourquoi ? je me le demande encore. Même si Il ne restait que 150 pages, je ne changerais pas d'avis, peut-être une étoile de plus. J'appréhende maintenant la lecture du "Chardonneret". Je pense qu'il va rester un bon moment au fond de la pile de mes prochains livres. A moins que quelqu'un arrive à ma faire changer d'avis. En tout cas bon courage ...

Rare sont les livres que je ne finis pas, mais là...
C'est long, c'est lent et c'est ennuyant au possible, rien ne se passe et je capitule au tiers. Certains y trouveront leur compte, il n'y a qu'à voir les commentaires élogieux de certains, mais ce n'est pas pour moi.
Au delà du scénario qui s'embourbe dans des détails qui ne servent en rien l'histoire et surtout sa dynamique, je n'ai pas non plus accroché à l'écriture de l'auteure qui ne cesse de faire des apartés qui m'ont profondément dérangé dans ma lecture et surtout dans mon implication dans l'histoire.
le 4eme de couverture m'avait pourtant bien mis l'eau à la bouche....mais non, je relirai seulement ce résumé, ça me suffira largement...😉

Ma chronique va être assez brève, tout simplement parce que je n'ai pas fini ce roman. Pour faire simple : c'était long et laborieux. Je me suis rarement autant ennuyée en lisant un livre, surtout que celui-ci fait plus de 700 pages !

Je ne suis pas une fana de l'action, mais j'aime quand un roman me donne quelque chose à me mettre sous la langue. Parce que là j'ai été plus que frustrée avec cette histoire qui n'avance pas ! L'autrice prend trop son temps, ce qui fait que mon envie d'en savoir plus s'est estompée avec le nombre de pages…

Les personnages ne sont pas intéressants, pas attachants (même si c'est logique pour ce point). Mais je n'avais pas de quoi m'accrocher pour continuer ma lecture. J'ai abandonné à la moitié… Pourtant le thème du livre était plutôt sympa avec cette ambiance d'université américaine et de sombre secret. Malheureusement, c'est un flop pour moi.
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ENNUI mortel! Voilà comment je pourrais résumer la lecture de ce soit-disant chef d'oeuvre. Je me suis forcée à le finir pensant que ce serait un thriller intense façon huis clos: pas du tout. C'est long, c'est long. Il y a à peine les 100 dernières pages (sur environ 800) où il se passe quelque chose. le livre commence comme un vieil épisode de Columbo: un meurtre, on connaît la victime Bunny et les meurtriers, une bande d'étudiants en lettres anciennes appartenant à un cercle très fermé. La première partie du livre explique comment ces étudiants en sont venus à perpétrer ce meurtre. La deuxième partie explique ce qui se passé après. Tout d'abord, je n'ai eu aucune empathie, ni sympathie, pour le narrateur Richard. Ensuite, on nous "promet" des intrigues, des secrets inavouables, des trucs de dingue quoi. Et bien passez votre chemin si vous voulez du suspens. Par ailleurs, je trouve que l'histoire fait très mauvais téléfilm où on a distillé quelques citations de lettres anciennes pour faire style intello. Soyons sérieux, ce sont juste des étudiants désoeuvrés qui passent leur temps à boire et à se shooter à coup de médocs. Bref, vous l'aurez compris, je n'ai pas du tout aimé ce livre. J'ai perdu mon temps précieux de lecture.