Un de mes critères pour noter un livre est le degré d'impatience que j'ai à retrouver ma lecture après une journée de travail.
Pour
le secret du mari, j'ai mis un peu de temps avant de me sentir impliquée par ces histoires de femmes. Lorsque j'ai posé le livre pour la première fois, je n'ai pas eu hâte de retrouver tous ces personnages que j'avais d'ailleurs du mal à identifier.
A partir du moment où Cécilia ouvre la lettre, j'ai été happée et le livre m'a alors accompagné dans le tram pour aller au travail. Oui, j'étais accroché au devenir de ces familles.
L'épilogue fait réfléchir et renforce toutes les questions que l'on se pose au cours de cette lecture.
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