Elizabeth Taylor
Nicole Tisserand (Traducteur)/5 18 notes
Nicole Tisserand (Traducteur)/5 18 notes
Résumé :
Elle est blonde, douce, paisible, aussi radieuse qu'une Vénus de Botticelli. C'est Flora. Cumulant les privilèges de la beauté et les insidieuses vertus de la bonté, elle ensorcelle son entourage. De l'avis général comme à ses propres yeux, Flora est " la bonté même ". Son mari, sa mère, ses amis et ses proches subissent docilement la tyrannie qu'elle exerce à bas bruit, sur fond de gentillesse et d'altruisme. Autour de Flora, Elizabeth Taylor nous révèle une galeri... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (2)
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Lire Elizabeth Taylor aujourd'hui peut paraître particulier, étrange, suranné. Auteure démodée, dépassée, oubliée.
Pourtant, ce qu'elle met dans ses livres reste d'actualité. Des personnages prétentieux, imbus, imbus de leur beauté, de leur prestance, de leur générosité, de leur bonté.
Et qu'ils sont superficiels ces personnages, qu'ils sont imbuvables, qu'ils sont aveugles et sourds à l'amitié, à l'amour. Elizabeth Taylor met son doigt sur toutes ces superficialités, ces hypocrisies, mais un doigt comme un doigt de lait dans une grande tasse de thé. le nuage de lait.
La lecture de ses livres me repose, me rassure, me fait rire gentiment, m'adoucit, elle a le ton juste et l'écriture assortie.
Pourtant, ce qu'elle met dans ses livres reste d'actualité. Des personnages prétentieux, imbus, imbus de leur beauté, de leur prestance, de leur générosité, de leur bonté.
Et qu'ils sont superficiels ces personnages, qu'ils sont imbuvables, qu'ils sont aveugles et sourds à l'amitié, à l'amour. Elizabeth Taylor met son doigt sur toutes ces superficialités, ces hypocrisies, mais un doigt comme un doigt de lait dans une grande tasse de thé. le nuage de lait.
La lecture de ses livres me repose, me rassure, me fait rire gentiment, m'adoucit, elle a le ton juste et l'écriture assortie.
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Citations et extraits (1)
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Il était troublé et avait mal à la tête. Il s'était déjà disputé avec Liz lorsqu'elle avait tâché sa veste avec ses pinceaux, s'était emporté parce qu'il voulait l'empêcher de travailler, ou parce qu'elle lui avait dit- une fois de plus- de chercher du travail. Mais il ne l'avait jamais connue perfide. Il ne retournerait jamais chez elle. Elle était épouvantable. Vulgaire, brutale, et elle ne se lavait jamais les cheveux.
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