Critiques filtrées sur 4 étoiles
Bon, j'avoue. Quand j'ai vu ce livre, je me suis précipitée dessus et je n'ai pas pu attendre pour l'ouvrir.
Me voilà rassurée, l'auteure ne nous ressort pas ses histoires d'univers parallèles et ce tome est dans la mouvance du précédent.
J'ai retrouvé avec énormément de plaisir les personnages que l'on commence à bien connaitre maintenant, et on assiste à l'introduction de nouvelles personnes.
Par contre, je regrette toujours que les sauts dans le temps soient toujours aussi peu approfondis. On survole les évènements la plupart du temps et je reste un peu sur ma faim.
Mais je ne vais pas bouder mon plaisir. J'ai encore passé un très bon moment de lecture et bien-sur, j'attends la suite avec impatience.
Me voilà rassurée, l'auteure ne nous ressort pas ses histoires d'univers parallèles et ce tome est dans la mouvance du précédent.
J'ai retrouvé avec énormément de plaisir les personnages que l'on commence à bien connaitre maintenant, et on assiste à l'introduction de nouvelles personnes.
Par contre, je regrette toujours que les sauts dans le temps soient toujours aussi peu approfondis. On survole les évènements la plupart du temps et je reste un peu sur ma faim.
Mais je ne vais pas bouder mon plaisir. J'ai encore passé un très bon moment de lecture et bien-sur, j'attends la suite avec impatience.
En cas de problème, brisez la vitre ? Non, mauvaise idée, à l'institut St Mary, des vitres sont trop souvent brisées.
On pourrait même dire que ces historiens sont pires qu'une bande de casseurs, tant ils ont "sketté" (cassé) un peu tout. Même les pieds et les couilles de leurs collègues (au sens figuré, mais aussi au sens propre).
Dans ce sixième opus, on ne change pas vraiment de recette, si ce n'est que Maxwell est devenue formatrice (elle ?? Folie pure) et qu'il s'agit de ne pas envoyer les nouvelles recrues au casse-pipe (ou du moins, essayer de ne pas les tuer).
Ce qui ne change pas, c'est le pack « Voyages temporels + grosses emmerdes ». Ou comment arriver à être à deux doigts de se noyer dans un endroit où il tombe 2 cm de flotte par an…
C'est une série drôle, amusante, divertissante, mais il est déconseillé de lire les romans en enfilade, sinon, les répétitions scénaristiques seront trop flagrantes. Non pas que ça me gêne, mais j'aimerais que de temps en temps, leurs voyages ne finissent pas tous en catastrophe.
Qu'ils aient des soucis, c'est tout à fait normal, mais au fil des tomes, tout le monde a frôlé la mort, mais s'en est sorti miraculeusement. Ou pas…
Ce qui ne change pas non plus, c'est l'humour présent dans la narration, notamment avec les pensées de Maxwell, ses petits apartés, ses réflexions, ses réparties avec les autres membres de l'institut, qui continuent, eux aussi, à faire des gaffes. Mention spéciale au petit mammouth (qui n'écrasera pas les prix).
Les voyages dans le temps étaient intéressants, amusants, tragiques, bourré de suspense, mais comme je le disais, une mission calme, sans danger, on apprécierait fortement. Ils en avaient une de programmée, mais elle aussi a tourné au désastre.
Si j'ai été surprise par l'identité de la personne qui avait trahi, j'ai par contre vu venir, de très loin, la personne qui allait leur causer des ennuis à un moment donné. Bingo, sur la fin, ça n'a pas raté.
Une série fantastique qui mêle habilement la science-fiction et l'Histoire, des romans toujours amusants et agréables à lire, les doigts de pieds en éventail (sauf dans les moments critiques), le sourire aux lèvres.
Malgré des redondances dans le squelette scénaristique, j'éprouve toujours du plaisir à suivre cette série, même si c'est à petite dose, un ou deux par an. On a de l'humour, savamment dosé, des trucs de fou, des bêtises, des erreurs, des coups de folie, le tout sans se prendre au sérieux, même si les membres de St Mary pensent être les gens les plus sérieux du monde.
Et puis, on révise son Histoire, de manière bien plus amusante qu'à l'école et plus immersive que dans Secrets D'Histoire. On ne se prend pas la tête, on sourit, on ricane, on a du suspense, de l'adrénaline et du thé, beaucoup de thé (oserais-je leur avouer que je suis plus café que thé ??).
Une série à découvrir, à lire, juste pour le plaisir. Ce que je fais depuis le début.
Lien : https://thecanniballecteur.w..
On pourrait même dire que ces historiens sont pires qu'une bande de casseurs, tant ils ont "sketté" (cassé) un peu tout. Même les pieds et les couilles de leurs collègues (au sens figuré, mais aussi au sens propre).
Dans ce sixième opus, on ne change pas vraiment de recette, si ce n'est que Maxwell est devenue formatrice (elle ?? Folie pure) et qu'il s'agit de ne pas envoyer les nouvelles recrues au casse-pipe (ou du moins, essayer de ne pas les tuer).
Ce qui ne change pas, c'est le pack « Voyages temporels + grosses emmerdes ». Ou comment arriver à être à deux doigts de se noyer dans un endroit où il tombe 2 cm de flotte par an…
C'est une série drôle, amusante, divertissante, mais il est déconseillé de lire les romans en enfilade, sinon, les répétitions scénaristiques seront trop flagrantes. Non pas que ça me gêne, mais j'aimerais que de temps en temps, leurs voyages ne finissent pas tous en catastrophe.
Qu'ils aient des soucis, c'est tout à fait normal, mais au fil des tomes, tout le monde a frôlé la mort, mais s'en est sorti miraculeusement. Ou pas…
Ce qui ne change pas non plus, c'est l'humour présent dans la narration, notamment avec les pensées de Maxwell, ses petits apartés, ses réflexions, ses réparties avec les autres membres de l'institut, qui continuent, eux aussi, à faire des gaffes. Mention spéciale au petit mammouth (qui n'écrasera pas les prix).
Les voyages dans le temps étaient intéressants, amusants, tragiques, bourré de suspense, mais comme je le disais, une mission calme, sans danger, on apprécierait fortement. Ils en avaient une de programmée, mais elle aussi a tourné au désastre.
Si j'ai été surprise par l'identité de la personne qui avait trahi, j'ai par contre vu venir, de très loin, la personne qui allait leur causer des ennuis à un moment donné. Bingo, sur la fin, ça n'a pas raté.
Une série fantastique qui mêle habilement la science-fiction et l'Histoire, des romans toujours amusants et agréables à lire, les doigts de pieds en éventail (sauf dans les moments critiques), le sourire aux lèvres.
Malgré des redondances dans le squelette scénaristique, j'éprouve toujours du plaisir à suivre cette série, même si c'est à petite dose, un ou deux par an. On a de l'humour, savamment dosé, des trucs de fou, des bêtises, des erreurs, des coups de folie, le tout sans se prendre au sérieux, même si les membres de St Mary pensent être les gens les plus sérieux du monde.
Et puis, on révise son Histoire, de manière bien plus amusante qu'à l'école et plus immersive que dans Secrets D'Histoire. On ne se prend pas la tête, on sourit, on ricane, on a du suspense, de l'adrénaline et du thé, beaucoup de thé (oserais-je leur avouer que je suis plus café que thé ??).
Une série à découvrir, à lire, juste pour le plaisir. Ce que je fais depuis le début.
Lien : https://thecanniballecteur.w..
Dans ce sixième tome de la saga consacré aux aventures de Max à l'institut Ste Mary, Jodi Taylor prend le lecteur à contre-pied.
Madeleine Maxwell contrainte au repos forcé, est aussitôt parachutée Directrice de la formation. Et ça tombe bien, l'institut reçoit 5 nouveaux apprentis historiens, prêts à en découdre.
On se dit tiens, c'est bien pour notre héroïne, elle va pouvoir lever le pied et guérir tranquillement… Une pause au milieu de la série ? Rassurez-vous, il n'en sera rien.
De la vallée des rois, à la mort de Richard III, en passant avec une rencontre avec Hérodote Himself, ce tome nous fait voyager gentiment et nous offre un nouveau départ avec de nouveaux personnages. Un peu moins complexe que les précédents, il ne nécessite pas de se replonger dans le reste de la série pour l'apprécier.
L'humour caractéristique de l'autrice est toujours au rendez-vous et notre aventurière du temps préférée semble gagner en maturité.
Une série qui se dévore !
Madeleine Maxwell contrainte au repos forcé, est aussitôt parachutée Directrice de la formation. Et ça tombe bien, l'institut reçoit 5 nouveaux apprentis historiens, prêts à en découdre.
On se dit tiens, c'est bien pour notre héroïne, elle va pouvoir lever le pied et guérir tranquillement… Une pause au milieu de la série ? Rassurez-vous, il n'en sera rien.
De la vallée des rois, à la mort de Richard III, en passant avec une rencontre avec Hérodote Himself, ce tome nous fait voyager gentiment et nous offre un nouveau départ avec de nouveaux personnages. Un peu moins complexe que les précédents, il ne nécessite pas de se replonger dans le reste de la série pour l'apprécier.
L'humour caractéristique de l'autrice est toujours au rendez-vous et notre aventurière du temps préférée semble gagner en maturité.
Une série qui se dévore !
Et me revoilà parti pour chroniquer le sixième tome de cette fantastique série. Encore une fois, je suis toujours autant emballée. Max est cette fois Directrice de la formation ; imaginez !!! 5 nouvelles recrues à former, à la sauce St. Mary. Oui, de la théorie, mais surtout de la pratique. Elle amènera ses apprentis historiens loin, bien loin en arrière dans le temps. Ils traverseront bien des époques, pour notre plus grand bonheur. Plume fluide, histoires captivantes, humour à l'anglaise… mais également des moments touchants, et une p'tite trahison. Mais faut pas en dire trop… Bref, encore une excellente lecture.
Qu'il est bon de retrouver Maxwell et son équipe !
Là voilà dans le rôle de formatrice avec cinq nouveaux apprentis. Pas à l'aise, soupçonneuse et dans la critique. Jodi Taylor va jouer la carte de l'humour plus d'une fois pour mon plus grand plaisir.
Comme à chaque fois, les sauts ne se passeront pas comme prévus. Il y aura du sang, beaucoup, dans ce tome. Donc des blessés et des morts.
Max reste toujours la même tête de mule mais avec le coeur sur la main, car elle trouve finalement du bon dans chaque personne qui l'entoure. Même sa secrétaire sur qui nous en apprendrons, enfin, un peu plus.
Retour également de la Police du temps et comme Max, j'appréhendais de les voir réapparaitre.
Bref, on ne s'ennuie toujours pas dans cette saga et surtout pas sur cet opus que j'ai trouvé plus rythmé encore que les précédents. Je continuerai donc bientôt avec le tome 7 qui m'attend dans ma PAL bien au chaud, comme la dernière révélation de Max...
Là voilà dans le rôle de formatrice avec cinq nouveaux apprentis. Pas à l'aise, soupçonneuse et dans la critique. Jodi Taylor va jouer la carte de l'humour plus d'une fois pour mon plus grand plaisir.
Comme à chaque fois, les sauts ne se passeront pas comme prévus. Il y aura du sang, beaucoup, dans ce tome. Donc des blessés et des morts.
Max reste toujours la même tête de mule mais avec le coeur sur la main, car elle trouve finalement du bon dans chaque personne qui l'entoure. Même sa secrétaire sur qui nous en apprendrons, enfin, un peu plus.
Retour également de la Police du temps et comme Max, j'appréhendais de les voir réapparaitre.
Bref, on ne s'ennuie toujours pas dans cette saga et surtout pas sur cet opus que j'ai trouvé plus rythmé encore que les précédents. Je continuerai donc bientôt avec le tome 7 qui m'attend dans ma PAL bien au chaud, comme la dernière révélation de Max...
Max est en convalescence et la voilà directrice de la formation. Ça tombe bien 5 nouveaux stagiaires arrivent à Ste Mary.
Bien sur tout ne va pas se passer comme prévu autrement ce ne serait pas Max ni Ste Mary.
J'ai encore pas mal ri en lisant ce tome que ce soit pour les dialogues ou les situations rocambolesques.
Bien sur tout ne va pas se passer comme prévu autrement ce ne serait pas Max ni Ste Mary.
J'ai encore pas mal ri en lisant ce tome que ce soit pour les dialogues ou les situations rocambolesques.
Sixième mois, sixième tome et toujours le même plaisir de retrouver les personnages de Jodi Taylor, dans leur visites au travers des siècles.
A la fin du tome précédent, pour se ménager et se remettre de ses blessures, Max a quitté son poste de Directrice des Opérations pour devenir responsable de la formation !
Et voilà l'arrivée d'une nouvelle fournée d'apprentis, tous différents les uns des autres: une jeune fille à la crète d'iroquoise, un américain (mais pourquoi donc !), des historiens très sages, une pimbêche ...
Bref Max va avoir du pain sur la planche pour les tenir ! D'autant plus que dans son nouveau programme de formation, les sauts dans le passé interviennent dès le début de la formation ... et les apprentis se révèlent plutôt fantasques et désobéissants !
Bref un volume que j'ai trouvé bien plus drôle que les précédents, sans trop de batailles, mais un peu quand même, sans que St Mary's ne risque de disparaître (ouf) ! Bref presque un peu trop calme !!!
Je ne sais pas si j'arriverai à attendre jusqu'au mois prochain avant de plonger dans le tome 7 qui m'attend déjà !
A suivre ...
Lien : http://les-lectures-de-bill-..
A la fin du tome précédent, pour se ménager et se remettre de ses blessures, Max a quitté son poste de Directrice des Opérations pour devenir responsable de la formation !
Et voilà l'arrivée d'une nouvelle fournée d'apprentis, tous différents les uns des autres: une jeune fille à la crète d'iroquoise, un américain (mais pourquoi donc !), des historiens très sages, une pimbêche ...
Bref Max va avoir du pain sur la planche pour les tenir ! D'autant plus que dans son nouveau programme de formation, les sauts dans le passé interviennent dès le début de la formation ... et les apprentis se révèlent plutôt fantasques et désobéissants !
Bref un volume que j'ai trouvé bien plus drôle que les précédents, sans trop de batailles, mais un peu quand même, sans que St Mary's ne risque de disparaître (ouf) ! Bref presque un peu trop calme !!!
Je ne sais pas si j'arriverai à attendre jusqu'au mois prochain avant de plonger dans le tome 7 qui m'attend déjà !
A suivre ...
Lien : http://les-lectures-de-bill-..
Ce tome est un peu à part dans la série je trouve. On retrouve Max directrice de formation suite à ces blessures. On suit donc la formation de cinq apprentis historiens, les sauts dans le temps servent de formation mais ne sont ni trop courts ni trop nombreux: pléistocène, vallée des rois, Jeanne d'arc est bien d'autres.
C'est donc l'occasion de découvrir cinq nouveaux personnages très différents et bien décrits, je n'ai pas vraiment réussi à m'attacher à eux mais cela viendra peut être dans les prochains tomes. Je trouvais déjà qu'il y avait un peu trop de personnages et je ne sais jamais de quel département est tel ou tel personnage. Mais cela ne m'empêche pas d'avoir apprécié ce tome et de vouloir lire le suivant
C'est donc l'occasion de découvrir cinq nouveaux personnages très différents et bien décrits, je n'ai pas vraiment réussi à m'attacher à eux mais cela viendra peut être dans les prochains tomes. Je trouvais déjà qu'il y avait un peu trop de personnages et je ne sais jamais de quel département est tel ou tel personnage. Mais cela ne m'empêche pas d'avoir apprécié ce tome et de vouloir lire le suivant
Pour une fois, j'ai vraiment trouvé les blagues drôles, l'auteur fait des progrès de ce côté là. Ca rend l'histoire distrayante et permet de passer outre les problèmes d'écriture... Comme par exemple se mélanger dans les noms des apprentis pendant la mission en Egypte ! C'est tellement grossier qu'on se demande si l'éditeur a lu le livre...
On retrouve aussi un problème qui avait disparu dans les derniers tomes : l'introduction et "disparition" rapide de personnages, qu'ils meurent ou soient simplement écartés de l'histoire. Difficile de s'attacher à eux... et donc encore une fois le point culminant de l'histoire arrive avant la fin du roman car l'auteur veut nous faire pleurer à propos de l'un d'eux.
Il y a deux points qui m'ont particulièrement agacé dans l'histoire. Premièrement les remarques sous-entendant que toute personne ne connaissant pas les tenants et aboutissants de la guerre des roses est soit stupide soit inculte. Désolée mais l'histoire médiévale de l'Angleterre n'est pas universelle. On est au septième tome de la série, il y a longtemps que le roman est commercialisé à l'étranger, donc aucune excuse.
Le second point
On retrouve aussi un problème qui avait disparu dans les derniers tomes : l'introduction et "disparition" rapide de personnages, qu'ils meurent ou soient simplement écartés de l'histoire. Difficile de s'attacher à eux... et donc encore une fois le point culminant de l'histoire arrive avant la fin du roman car l'auteur veut nous faire pleurer à propos de l'un d'eux.
Il y a deux points qui m'ont particulièrement agacé dans l'histoire. Premièrement les remarques sous-entendant que toute personne ne connaissant pas les tenants et aboutissants de la guerre des roses est soit stupide soit inculte. Désolée mais l'histoire médiévale de l'Angleterre n'est pas universelle. On est au septième tome de la série, il y a longtemps que le roman est commercialisé à l'étranger, donc aucune excuse.
Le second point
Les chroniques de St Mary est une série que je ne me lasse définitivement pas de lire : même si certains schémas sont présents d'un tome à l'autre (voyages dans le temps/péripéties), chacun amène son lot de nouveautés et de nouvelles périodes historiques à redécouvrir.
L'humour est toujours au rendez-vous grâce à Max, cette héroïne du quotidien qui ne cesse de nous étonner par sa capacité à attirer les ennuis sur elle, mais aussi sur les autres. Son évolution professionnelle comme directrice de la formation ne sera pas sans conséquences sur ses élèves et sur elle-même : demander à une personne a qui il arrive 100 malheurs par jour de diriger des nouvelles recrues est un pari osé, risqué mais surtout un choix narratif qui amène de nombreux rebondissements ! Les nouveaux arrivants vont d'ailleurs apporter une petite touche de peps à l'histoire, rappelant les débuts de Max à St Mary.
Toutes les missions engagées dans ce tome vont amener à une quantité de problèmes à gérer : Max va devoir se surpasser pour rattraper les couacs des missions, parce que bien évidemment, rien ne se passe jamais comme ce qui avait été imaginé. Si croiser des mammouths était déjà assez unique, imaginez devoir en “cacher” un, on va aussi découvrir qui est vraiment Hérodote (et croyez moi, vous n'êtes pas prêt.es), assister à la fin de Jeanne D'Arc (gardez le coeur accroché), se retrouver au milieu d'une bataille avec une personne prête à tout pour sauver ses ancêtres… Que d'aventures qui font monter la fréquence cardiaque !
Si on s'amuse sur la majorité de la lecture, il y a tout de même des moments tristes et angoissants : dois-je vous rappeler comment Jeanne D'Arc est rayé de la surface de la Terre ? Certains de nos personnages sont aussi blessés : aucune mission n'est sans risque, l'autrice ne nous fait pas toujours de cadeaux à ce sujet.
Jodi Taylor reste maîtresse de sa série après 6 tomes, mêlant habilement l'humour, les rebondissements et les révélations pour proposer des histoires addictives dont il est difficile de se détacher.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
L'humour est toujours au rendez-vous grâce à Max, cette héroïne du quotidien qui ne cesse de nous étonner par sa capacité à attirer les ennuis sur elle, mais aussi sur les autres. Son évolution professionnelle comme directrice de la formation ne sera pas sans conséquences sur ses élèves et sur elle-même : demander à une personne a qui il arrive 100 malheurs par jour de diriger des nouvelles recrues est un pari osé, risqué mais surtout un choix narratif qui amène de nombreux rebondissements ! Les nouveaux arrivants vont d'ailleurs apporter une petite touche de peps à l'histoire, rappelant les débuts de Max à St Mary.
Toutes les missions engagées dans ce tome vont amener à une quantité de problèmes à gérer : Max va devoir se surpasser pour rattraper les couacs des missions, parce que bien évidemment, rien ne se passe jamais comme ce qui avait été imaginé. Si croiser des mammouths était déjà assez unique, imaginez devoir en “cacher” un, on va aussi découvrir qui est vraiment Hérodote (et croyez moi, vous n'êtes pas prêt.es), assister à la fin de Jeanne D'Arc (gardez le coeur accroché), se retrouver au milieu d'une bataille avec une personne prête à tout pour sauver ses ancêtres… Que d'aventures qui font monter la fréquence cardiaque !
Si on s'amuse sur la majorité de la lecture, il y a tout de même des moments tristes et angoissants : dois-je vous rappeler comment Jeanne D'Arc est rayé de la surface de la Terre ? Certains de nos personnages sont aussi blessés : aucune mission n'est sans risque, l'autrice ne nous fait pas toujours de cadeaux à ce sujet.
Jodi Taylor reste maîtresse de sa série après 6 tomes, mêlant habilement l'humour, les rebondissements et les révélations pour proposer des histoires addictives dont il est difficile de se détacher.
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