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Critique de Mamzellegazelle
Comment !!... Aucune critique sur ce magnifique roman ???
Bon, je comprend, c'est une édition de 1969, probable qu'on le trouve uniquement dans les vide-grenier où chez les bouquinistes, où effectivement je l'ai acheté il y a quelques années maintenant... Il traînait dans ma PAL, dommage,j'aurais dû le lire plus tôt.
Voici une histoire toute mignonne, même si le sujet principal est la seconde guerre mondiale. On sort des clichés, ici, l'auteur nous sensibilise sur la vie familiale des gens de Leningrad encerclé par les soldats Allemands.
Nous faisons donc connaissance avec Boris, un gamin qui vît et prend soin de sa maman gravement malade à cause de la famine et du froid, le papa étant mort lors d'un convoi.
Tous les matins, Boris et son amie Nadia vont à "la cantine" chercher la soupe aux betteraves, l'unique repas chaud dont ils ont droit. Les deux enfants ramènent tous les jours la soupe à leur famille. Nadia est courageuse, elle tient un journal intime qui lui permet de "mieux supporter la guerre" et son état de santé fragile à cause des carences alimentaire après 500 jours d'occupation Allemande. Après le décès de son père et de son frère, Nadia apprend qu'il y a un champ de pomme de terre dans le No Man's Land, la zone tampon entre le front Allemand et Russe. Elle demande à Boris de l'accompagner afin de chercher cette denrée rare afin de sauver la maman de Boris, et la sienne d'une mort de faim certaine. Courageux, malgré les troupes armées et le froid Sibérien, les enfants prennent la route pensant être de retour à Leningrad le soir même. Ils n'ont pas compter la distance et la difficulté de marcher dans la neige transformée en glace et surtout comment ils vont déterrer les pommes de terre. N'en pouvant plus, Nadia tombe dans le comma laissant Boris complètement perdu ! C'est alors que des militaires Allemands leur viennent en secours ... Boris est complètement décontenancé lui qui les hais ! Grâce à l'ennemi, Nadia est sauvée ... mais pour combien de temps sans les pommes de terre et les bombardements qui font rage sur Leningrad, ville complètement détruite ...
Boris va continuer cette bataille contre la faim, et, va prendre rapidement conscience de certaines choses de la vie en générale.
J'ai beaucoup aimé la moralité de ce roman jeunesse qui en finalité met l'accent sur l'amour de l'humanité. L'auteur a eu écriture émouvante et démontre de façon éloquente que face à la guerre, les humains sont solidaires afin de venir en aide à son prochain.
Je ne connais pas du tout cet auteur, j'ai mis à jour la fiche du livre et la photo de l'écrivain sur ce site, dommage car son histoire est magnifiquement racontée.
J'aimerais découvrir d'autres livres écrits de sa main.
Si vous trouvez ce livre lors d'une chine n'hésitez pas à investir quelques petits euros vous ne serez pas déçus.
Bon, je comprend, c'est une édition de 1969, probable qu'on le trouve uniquement dans les vide-grenier où chez les bouquinistes, où effectivement je l'ai acheté il y a quelques années maintenant... Il traînait dans ma PAL, dommage,j'aurais dû le lire plus tôt.
Voici une histoire toute mignonne, même si le sujet principal est la seconde guerre mondiale. On sort des clichés, ici, l'auteur nous sensibilise sur la vie familiale des gens de Leningrad encerclé par les soldats Allemands.
Nous faisons donc connaissance avec Boris, un gamin qui vît et prend soin de sa maman gravement malade à cause de la famine et du froid, le papa étant mort lors d'un convoi.
Tous les matins, Boris et son amie Nadia vont à "la cantine" chercher la soupe aux betteraves, l'unique repas chaud dont ils ont droit. Les deux enfants ramènent tous les jours la soupe à leur famille. Nadia est courageuse, elle tient un journal intime qui lui permet de "mieux supporter la guerre" et son état de santé fragile à cause des carences alimentaire après 500 jours d'occupation Allemande. Après le décès de son père et de son frère, Nadia apprend qu'il y a un champ de pomme de terre dans le No Man's Land, la zone tampon entre le front Allemand et Russe. Elle demande à Boris de l'accompagner afin de chercher cette denrée rare afin de sauver la maman de Boris, et la sienne d'une mort de faim certaine. Courageux, malgré les troupes armées et le froid Sibérien, les enfants prennent la route pensant être de retour à Leningrad le soir même. Ils n'ont pas compter la distance et la difficulté de marcher dans la neige transformée en glace et surtout comment ils vont déterrer les pommes de terre. N'en pouvant plus, Nadia tombe dans le comma laissant Boris complètement perdu ! C'est alors que des militaires Allemands leur viennent en secours ... Boris est complètement décontenancé lui qui les hais ! Grâce à l'ennemi, Nadia est sauvée ... mais pour combien de temps sans les pommes de terre et les bombardements qui font rage sur Leningrad, ville complètement détruite ...
Boris va continuer cette bataille contre la faim, et, va prendre rapidement conscience de certaines choses de la vie en générale.
J'ai beaucoup aimé la moralité de ce roman jeunesse qui en finalité met l'accent sur l'amour de l'humanité. L'auteur a eu écriture émouvante et démontre de façon éloquente que face à la guerre, les humains sont solidaires afin de venir en aide à son prochain.
Je ne connais pas du tout cet auteur, j'ai mis à jour la fiche du livre et la photo de l'écrivain sur ce site, dommage car son histoire est magnifiquement racontée.
J'aimerais découvrir d'autres livres écrits de sa main.
Si vous trouvez ce livre lors d'une chine n'hésitez pas à investir quelques petits euros vous ne serez pas déçus.
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