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Critique de AntoAstu
La question qui flotte au-dessus de ce livre n'est pas celle promise sur la quatrième de couverture – c'est-à-dire celle de la fin du monde et ses modalités, notamment à savoir si Dieu pourrait corriger son Oeuvre sans la détruire, et qui n'est véritablement posée que sur 6 pages [p. 232-238] – mais : pourquoi ce livre ?
L’auteur paraît d’ailleurs si conscient de l’aspect totalement bancal de sa composition, qu’il en arrive même à être verbeux dans un court prologue annonçant ce qu’il va tenter de faire avec ce collage de cinq "parties", dont quatre fragments (ou début ?) de romans et une cinquième “partie”, elle-même composée de deux extraits de journal intime sans intérêt et de six lettres à Dieu suintantes de poésie adolescente et un court passage qui n’arrive pas à sauver un livre qu’on ne prendra assurément pas dans l’arche-bibliothèque de Néo-Noé si le Déluge devait revenir et qu’il fallait sauver le patrimoine écrit de l’humanité.
< Lire la critique complète sur (PdB), dont vous avez ici la “substantifique moelle” >
Lien : http://poussieres-de-bulles...
L’auteur paraît d’ailleurs si conscient de l’aspect totalement bancal de sa composition, qu’il en arrive même à être verbeux dans un court prologue annonçant ce qu’il va tenter de faire avec ce collage de cinq "parties", dont quatre fragments (ou début ?) de romans et une cinquième “partie”, elle-même composée de deux extraits de journal intime sans intérêt et de six lettres à Dieu suintantes de poésie adolescente et un court passage qui n’arrive pas à sauver un livre qu’on ne prendra assurément pas dans l’arche-bibliothèque de Néo-Noé si le Déluge devait revenir et qu’il fallait sauver le patrimoine écrit de l’humanité.
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